Petit a – Que les choses soient dites : Nicolas Sarkozy est l’homme qu’il nous faut pour sauver la France ! Par son charisme et sa force de conviction, il nous remettra au travail pour, enfin !, sortir le pays du marasme qu’il connaît depuis plus de trente ans !
Petit b – Homme de courage, de conviction, souvent haï par les médias, il a toutes les valeurs morales requises pour nous rassembler, pour dissiper les haines tiraillant les français, exaspérant les banlieues.
Petit c – Il a grandi hors des partis, est monté à la sueur de son travail c’est un homme de raison qui, n’ayant pas fait l’ENA ne se vautre pas dans les méandres de la démagogie.
Entouré d’hommes de valeurs, de grands philosophes, de chanteurs populaires, il a tous les atouts pour bâtir la politique qu’il nous faut.
Il est honnête, beau, propre, bien coiffé, n’a pas de poil dans les oreilles.
J’ai pas fini de raconter des conneries, moi ? Le 1er avril est passé.
Petit a – ses propositions économiques sont dévastatrices pour le modèle social Français en prônant une fiscalité à l’envers et un élitisme inacceptable.
Petit b – il est le chouchou des médias depuis 2002 et les utilise habilement tout en n’hésitant pas à tenir des propos remontant une partie de la société contre l’autre.
Petit c – dès la fin des années 70, il a été lancé par Charles Pasqua, référence internationale.
J’avais essayé. Je ne peux pas.
Petit b – Homme de courage, de conviction, souvent haï par les médias, il a toutes les valeurs morales requises pour nous rassembler, pour dissiper les haines tiraillant les français, exaspérant les banlieues.
Petit c – Il a grandi hors des partis, est monté à la sueur de son travail c’est un homme de raison qui, n’ayant pas fait l’ENA ne se vautre pas dans les méandres de la démagogie.
Entouré d’hommes de valeurs, de grands philosophes, de chanteurs populaires, il a tous les atouts pour bâtir la politique qu’il nous faut.
Il est honnête, beau, propre, bien coiffé, n’a pas de poil dans les oreilles.
J’ai pas fini de raconter des conneries, moi ? Le 1er avril est passé.
Petit a – ses propositions économiques sont dévastatrices pour le modèle social Français en prônant une fiscalité à l’envers et un élitisme inacceptable.
Petit b – il est le chouchou des médias depuis 2002 et les utilise habilement tout en n’hésitant pas à tenir des propos remontant une partie de la société contre l’autre.
Petit c – dès la fin des années 70, il a été lancé par Charles Pasqua, référence internationale.
J’avais essayé. Je ne peux pas.
"diviser pour mieux règner" telle est sa devise , en bon monarque qui se respecte
RépondreSupprimerc'est vrai que Pasqua est un sacré "PARRAIN"
1maman,
RépondreSupprimerJ'ai censuré mon billet (ce qui était après "référence internationale").
j ai presque eu peur a la lecture de ton titre!
RépondreSupprimerFaut bien rigoler
RépondreSupprimerRobin,
RépondreSupprimerElle n'a pas besoin de se faire greffer un cerveau, elle ne vient pas polluer les blogs des autres.
Tiens ! Les commentaires sont modérés ici !
RépondreSupprimerPeut-être que j'ai gonflé Nicolas parce que je suis d'une grossièreté inimaginable et con comme une bite.
Robin,
RépondreSupprimerComme tu as vu, je censure tes commentaires.
Dans les derniers, tu parlais d'information. Ca n'en est pas.
Dire : "Ségolène est nulle à chier" ce n'est pas de l'information. Si encore tu expliquais pourquoi, mais non !
Tu envoies un truc où tu démontre qu'elle s'est fait refaire les dents.
Bravo le niveau !
Ce n'est pas les commentaires contradictoires que je supprime, uniquement les tiens, parce qu'ils n'apportent rien.
A l'attention des autres lecteurs, Robin est vexé, il trépigne. Dans le dernier commentaire, il dit "Pauvre Type".
Le débat progresse.
Pendant ce temps... Robin Machin continue à m'envoyer des trucs d'insultes sans se rendre compte que je suis le seul à les lire...
RépondreSupprimerC'est rigolo, la modération des commentaires.
Vous expliquerez à Robin Truc que ce n'est pas de la censure, c'est du blocage de Troll.
Un troll c'est quoi ? Pour résumer un abruti chiant. Ceci en parle très bien, avec des passages très drôles.
Dans son dernier message, Robin me traite de pleutre parce que je censure.
RépondreSupprimerRappelons à Robin que c'est lui qui publie des abominations avec un pseudonyme.
S'il utilisait son vrai nom, avec l'adresse de son blog, je ne serais pas obligé de censurer.
Mais s'il utilisait son vrai nom, il ne dirait pas de conneries. Sauf s'il est con. Ce que je crois.
Robin est lache et con.
"Je me bouche les oreilles, j'éteins la télé, et je vote Ségo"
RépondreSupprimerLE MONDE | 03.04.07 | 15h16 :
Ils sont électeurs, sympathisants, voire militants socialistes. Ils ne partagent pas la ferveur des meetings et ne sont pas tendres avec Ségolène Royal. Ils sont pourtant sa chance : ils constituent le socle ineffritable de la candidate socialiste. Paradoxalement, alors que Ségolène Royal mène campagne loin de la rue de Solférino, de ses dogmes et de ses caciques, ces électeurs critiques votent pour elle par discipline. Et, surtout, parce qu'ils ne se sont pas remis du choc du 21 avril 2002.
Il y a d'abord les militants qui ne l'avaient pas écartée lors de la primaire. En général, ils serrent les rangs. "Les gens votent comme des autruches : surtout, je ne regarde pas ce qui se passe et je mets mon bulletin dans l'urne", résume un élu proche de Laurent Fabius. Chez Dominique Strauss-Kahn, on traduit le phénomène dans une formule brevetée : "Normalement, chez nous, ils vont voter... les yeux fermés."
Ce vote identitaire concerne aussi les électeurs. Les mêmes mots reviennent, qui font penser à ceux employés par les rocardiens qui se résignaient à voter François Mitterrand, en 1981, ou aux communistes auxquels "le Parti" avait donné consigne de voter pour le même, en 1965. Avec, en 2007, des arguments moins... tranchés. "Ségolène Royal, ça n'est pas mon truc. Plus je l'entends parler, moins j'ai envie de voter pour elle, raconte Rémi L. Il faudrait changer beaucoup de choses. Mais je me suis fixé une ligne, le clivage existe, je vote à gauche. J'irai donc les yeux fermés jusqu'à l'isoloir. Et les oreilles bouchées, accessoirement."
Claire R. , "plutôt écolo", a voté Taubira en 2002, "oui" au référendum de 2005, et choisira Ségolène Royal "en se pinçant le nez". L'encadrement militaire pour mineurs, le drapeau tricolore à la maison, la "une" de Challenges, le 28 mars, ("Les profits sont nécessaires !") "tout ça" la gêne. "Du coup, je n'écoute pas beaucoup la campagne". Avec des amis, elle a eu l'idée de lancer une pétition : "On vote pour toi, mais tais-toi." Elle a renoncé : on aurait pu y lire une adresse machiste. "Mais que l'on soit clair : ce n'est pas parce que c'est une femme que ça me réconforte de voter par défaut."
"VIEILLE INSTITUTRICE"
Jérôme M., du service oecuménique d'entraide Cimade, est une sorte d'anar d'habitude peu soucieux de l'isoloir. Sa logique, c'est le ""tout sauf Sarkozy". Je vote utile", résume-t-il. "Je ne crois plus aux sondages. Donc je ferme les oreilles au premier tour, pour éviter d'avoir à me boucher le nez au second. Le problème, c'est qu'elle fait vraiment rien pour nous aider. A la radio, quand j'entends son mauvais Malraux, c'est quand même pas emballant."
"A gauche, voter Ségolène, c'est aussi plus simple. Une fois qu'on a choisi, les amis arrêtent de vous embêter." Il y a aussi cette militante qui déclare, après la réunion de la candidate à Nantes, le 26 mars : "Je n'irai plus à un meeting, pour ne pas être tentée de l'abandonner." Ou Sophie Aslanian, prof de français, membre du Réseau éducation sans frontières et marraine de sans-papiers, qui éteint sa télé : "Je ne peux pas supporter quand elle me parle comme une vieille institutrice." Elle aurait "aimé voter Besancenot", elle mettra un bulletin Royal dans l'urne "en serrant les fesses, à l'insu de (son) plein gré", en répétant à ses copines : "On vote pas pour elle, on vote à gauche."
Ariane Chemin
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1- href="mailto:0@2">0@2-823448,36-891187,0.html
Pour changer je laisse un commentaire de Robin Hood !
RépondreSupprimerMalheureusement il ne sait pas faire des jolis liens et ne peut pas s'empêcher de faire des collages qui polluent.
Il est très con.
Il pense me faire rager avec ce truc. Or c'est exactement ce que j'écris en permanence sur le blog (quand je ne critique pas Nicolas Sarkozy ou François Bayrou).
Voter pour Ségolène Royal est la seule solution pour avoir un gouvernement de gauche en France !
Donc, il ne faut pas regarder la couleur !
En tout cas les commentaires de Robin Machin sont interessants, pour certains, ils expliquent un peu comment on pense du côté de la droite. Toutefois j'ai vu pas mal de gens ces derniers temps qui, de conviction gaulliste et pas du tout anti-capitaliste, se détournent du vote Sarko, parce qu'ils ne sentent chez cet homme que la soif du pouvoir, chose que même un libéral convaincu peut avoir du mal à digérer. Tout en comprenant le principe de la modération, je la déplore un peu, car il faut bien reconnaître que je viens ici depuis quelques jours pour "ecouter" les gens débattre, et pas seulement se lancer de grandes claques dans le dos. Enfin, ce n'est pas très grave, je dois reconnaître la qualité des billets quotidiens.
RépondreSupprimerIza21,
RépondreSupprimerJe suis obligé de modérer. Mon troll a dépasser les bornes de l'acceptable. Une connerie congénitale ?
Merci pour la fin de ton commentaire (et pour le début aussi !).
Ce qu'il y a de rigolo, c'est que cette anecdote arrive le jour où je me fache aussi avec mon lecteur de droite préféré.
Ils ont le droit de dire que Ségolène Royal est une nunuche incompétente, on n'a pas le droit de dire que Nicolas Sarkozy est un danger pour la France.
Discuter avec des gens avec qui je ne suis pas d'accord, je veux bien. Mais des types sans obectivité, c'est limite.
Mon contradicteur de droite préféré, Loïc, voudrait que je fasse un billet reconnaissant des qualités humaines à Sarkozy mais qu'en même temps je crache sur Ségo.
Ils ne sont pas un peu con, à droite ?
Rhô ça démarrait bien pourtant ! :-)
RépondreSupprimerRobin Hood : Ah enfin, tu ouvres les yeux sur la réalité du monde ! :-)
Iza21 : tu trouves sincèrement que Robin Hood faisait du débat ?
Par contre ce que tu dis à propos des "vrais" gaullistes est plutôt intéressant. C'est vrai que ça commence un peu à sentir l'assoiffé sur l'estrade…
:-)