Nous y voilà. Les élections municipales sont passées, on nous annonce un grand plan d’économie. Qui ne sera pas un plan de rigueur ? Ce qu’il y a de fantastique, avec ce gouvernement, c’est qu’on a l’impression que tout va être réglé dans la semaine. Demain, Nicolas Sarkozy va annoncer des trucs et hop ! le tour est joué, les finances sont sauvées.
Sauf que…
Sauf que ça arrive trois mois après le début de l’exercice fiscal, quelques mois après le vote du budget. Ce vote ne servirait-il à rien ?
Sauf que les mêmes personnes sont aux responsabilités depuis près de 6 ans et, malgré les annonces, les annonces, les annonces, pourrissent les comptes de l’état, la seule observation de l’évolution de l’endettement suffit à le montrer.
Sauf que les six à huit milliards annoncés représentent la moitié du paquet fiscal accordé cet été, paquet fiscal particulièrement injuste surtout car il n’a mené à rien.
Sauf qu’on ne nous a pas encore dit sur quoi allaient porter les économies.
Je suis un intervenu dans les commentaires d’un sympathique blogueur de droite, hier (il n’aime pas que je dise « de droite », tant pis). Dans le billet, il nous expliquait qu’il fallait réduire drastiquement le nombre de fonctionnaire et expliquait que le non remplacement d’un départ à la retrait sur deux équivalait à pisser dans un violon. Il a raison. Vous supprimez 60000 fonctionnaires par an pendant cinq ans, vous arrivez à 300000, soit 6% d’économies sur le seul poste « salaires ».
Je lui demandais alors s’il fallait licencier des fonctionnaires… A demi-mots, il m’a expliqué que oui. Je ne me suis pas attardé sur les modalités juridiques (on connaît à peu près la réponse : pédagogie, incitations, …) et je lui ai demandé quels fonctionnaires supprimer.
C’était hier en milieu de journée. Ce matin, j’attendais la réponse (les précédentes réponses n’avaient mis que quelques minutes à arriver). En fait, je suis assez déçu : la réponse est arrivée pendant la rédaction du présent billet.
La réponse ? Heu… La seule piste est de mettre en concurrence les transports et la sécurité sociale. Je croyais que les transports étaient déjà en concurrence et que la SNCF faisait déprimer Air France et j’ignore comment la sécurité sociale privatisée pourrait coûter moins cher en global tout en continuant à assurer une bonne qualité des soins…
Donc on ne sait pas sur quoi vont porter les économies. Faut-il supprimer les fonctionnaires du terrain : profs, flics, militaires, infirmières, … ? Non bien sûr ! Que reste-t-il alors ? Les fonctionnaires des administrations centrales ? Quelles économies peut-on faire ? Allez ! 3 milliards ? 10 dites-vous ? Et alors ? Le déficit de l’état est de l’ordre de 40 milliards… et le paquet fiscal de 15 milliards.
Tout cela est le fruit d’une mauvaise gestion, d’une logique purement comptable qui n’amène à rien. Jacques Chirac avait commencé son deuxième mandat par une baisse des impôts. Nicolas Sarkozy a commencé le sien par distribuer du pognon sous forme de paquet fiscal.
Il est temps de revenir en arrière, d’arrêter de jouer aux apprentis sorciers, de jeter du pognon par les fenêtres pour faire ensuite des annonces ridicules de plans d’économies.
Ca va durer encore quatre ans ?
Sauf que…
Sauf que ça arrive trois mois après le début de l’exercice fiscal, quelques mois après le vote du budget. Ce vote ne servirait-il à rien ?
Sauf que les mêmes personnes sont aux responsabilités depuis près de 6 ans et, malgré les annonces, les annonces, les annonces, pourrissent les comptes de l’état, la seule observation de l’évolution de l’endettement suffit à le montrer.
Sauf que les six à huit milliards annoncés représentent la moitié du paquet fiscal accordé cet été, paquet fiscal particulièrement injuste surtout car il n’a mené à rien.
Sauf qu’on ne nous a pas encore dit sur quoi allaient porter les économies.
Je suis un intervenu dans les commentaires d’un sympathique blogueur de droite, hier (il n’aime pas que je dise « de droite », tant pis). Dans le billet, il nous expliquait qu’il fallait réduire drastiquement le nombre de fonctionnaire et expliquait que le non remplacement d’un départ à la retrait sur deux équivalait à pisser dans un violon. Il a raison. Vous supprimez 60000 fonctionnaires par an pendant cinq ans, vous arrivez à 300000, soit 6% d’économies sur le seul poste « salaires ».
Je lui demandais alors s’il fallait licencier des fonctionnaires… A demi-mots, il m’a expliqué que oui. Je ne me suis pas attardé sur les modalités juridiques (on connaît à peu près la réponse : pédagogie, incitations, …) et je lui ai demandé quels fonctionnaires supprimer.
C’était hier en milieu de journée. Ce matin, j’attendais la réponse (les précédentes réponses n’avaient mis que quelques minutes à arriver). En fait, je suis assez déçu : la réponse est arrivée pendant la rédaction du présent billet.
La réponse ? Heu… La seule piste est de mettre en concurrence les transports et la sécurité sociale. Je croyais que les transports étaient déjà en concurrence et que la SNCF faisait déprimer Air France et j’ignore comment la sécurité sociale privatisée pourrait coûter moins cher en global tout en continuant à assurer une bonne qualité des soins…
Donc on ne sait pas sur quoi vont porter les économies. Faut-il supprimer les fonctionnaires du terrain : profs, flics, militaires, infirmières, … ? Non bien sûr ! Que reste-t-il alors ? Les fonctionnaires des administrations centrales ? Quelles économies peut-on faire ? Allez ! 3 milliards ? 10 dites-vous ? Et alors ? Le déficit de l’état est de l’ordre de 40 milliards… et le paquet fiscal de 15 milliards.
Tout cela est le fruit d’une mauvaise gestion, d’une logique purement comptable qui n’amène à rien. Jacques Chirac avait commencé son deuxième mandat par une baisse des impôts. Nicolas Sarkozy a commencé le sien par distribuer du pognon sous forme de paquet fiscal.
Il est temps de revenir en arrière, d’arrêter de jouer aux apprentis sorciers, de jeter du pognon par les fenêtres pour faire ensuite des annonces ridicules de plans d’économies.
Ca va durer encore quatre ans ?
Salut Msieur Nicolas
RépondreSupprimerTon ami blogueur de "droite" commet une erreur importante.
La plupart des employés de la Sécurité Sociale ne sont pas des fonctionnaires. Ils dépendent d'une convention collective de branche et bénéficies des mêmes droit que les employés d'une entreprise privée.
Il y a des fonctionnaires détachés mais qui sont minoritaires dans les effectifs, et qui travaillent essentiellement pour les caisses nationales. Ce n'est donc pas là que le gouvernement pourra réduire le nombre de fonctionnaires, puisqu'il n'y en a pas.
Chouette billet, je souscris à ton propos (comme indiqué par ailleurs, mais il paraît que ça ne se fait pas ;-))
RépondreSupprimerVoili voilou...
Didier,
RépondreSupprimerOui, mais c'est un détail : les comptes de la sécu plombent aussi le déficit global.
Il a d'ailleurs oublié que la plupart des employés des entreprises nationales ne sont plus fonctionnaires et qu'ainsi, son billet se mord la queue...
Ant,
Ah !
@ Nicolas
RépondreSupprimerLe jour où les mecs de droite arrêtreront d'avoir une posture purement idéologique dès qu'on parle des entreprises publiques, on pourra peut-être avoir un échange avec eux.
Ant,
RépondreSupprimerOui. C'est purement idéologique.
Si tu imagines que Sarkozy va reconnaître l'erreur du paquet fiscal ! En plus que le contre argument du gouvernement de dire qu'en fait ça finance les heures sup est aussi en train de couler puisque le nombre de celles-ci est en chute libre !
RépondreSupprimerEt puis, nos amis les riches qui souffrent tellement que l'Etat leur a remboursé tant et tant de pognon ne vont quand même pas devoir repayer, non ? Ca ferait de frais de traitement inutile !
Tiens, si on tapait dans le budget militaire, non ?
:-))
Poireau,
RépondreSupprimerLe pire c'est qu'ils vont le faire ! J'ai lu un truc à ce sujet je ne sais plus où, dans un blog je crois (un plan global de réorganisation des métiers militaires est nécessaire : trop de non militaires, coût élevé des retraites "précoces", ...).
si on allait voir qui se sert de la sécu ?? A part les malades qui voient leurs droits de plus en plus restreints, il y a certains nombres d'"aficionados".On pourrait peut-être récupérer certaines sommes à dépenser qui pourrait combler des trous..
RépondreSupprimerMême pas. C'est toute l'organisation qui à revoir. Il faut revenir sur toutes les mesures prises pour la sécu et l'hôpital depuis quelques années : elles obligent à enchaîner les consultations, les dossiers ne suivent pas, ...
RépondreSupprimerElles obligent aussi à multiplier les actes courts et rentables au dépend d'actions plus longues et côuteuses.
RépondreSupprimertu as raison, j'en sais justement quelque chose mais je maintiens qu'il y a certains qui plongent leur notes de frais dans le trou de la sécu.
RépondreSupprimer@ christie
RépondreSupprimerJe ne dis pas le contraire,mais j'aurais tendance à penser que c'est marginal (sans pouvoir l'étayer) et que l'incohérence profonde est de vouloir appliquer des méthodes comptables à visées rentabilistes (quel beau mot) à un secteur qui ne peut par essence pas être rentable.
Très franchement, s'il fallait faire le bilan de ce que j'ai déjà coûté à la sécu par rappport à ce que je rapporte à la société en terme de création de valeur ajoutée, je pense qu'on m'aurait déjà laissé crever.
La santé n'est pas rentable. A court terme. Car à long terme, on verra le coût social d'avoir laissé les gens les plus démunis sans soins. C'est pareil que 'éducation, c'est pas rentable à court terme. Mais à long terme, une politique de soutien à la recherche fondamentale se retrouve dans le PIB. Mais va faire comprendre ça à un connard de libéral de droite...
Christie,
RépondreSupprimerIl y a certainement des abus à la marge, tel que la voisine de ma mère qui accepte les médicaments prescrits mais ne prend que ceux qu'elle juge bon.
Mais ce n'est pas ce qui coûte cher ! Un jour j'ai eu un problème de tension : je vais voir un toubib à côté du bureau. comme il ne m'a pas fait d'examen sérieux et qu'au bout de trois jours j'étais aussi "mal", je suis allé voir une toubib à côté de chez moi, elle me demande une prise de sang. Je retourne la voir. Elle m'envoie chez le cardiologue. Je retourne voir la toubib.
3 consultations de généraliste, une de spécialiste, une prise de sang... Tout ça pour rien, puisqu'un peu après j'ai eu une visite médicale pour le boulot : c'est ce toubib qui a trouvé ce que j'avais (manger de la charcuterie et des patates à chaque repas n'est pas génial).
Ainsi, c'est tout ce système auto entretenu qu'il faut réformer ! Le premier toubib aurait du m'envoyer faire une prise de sang. Le second toubib n'aurait pas du m'envoyer chez le cardiologue et, à la limite, aurait pu éviter de facturer la deuxième consultation.
D'un autre côté, à Paris, on a des toubibs partout alors qu'un province il faut attendre plusieurs jours pour une consultation.
Ant,
Tu as raison. Le problème n'est pas la rentabilité mais son financement !
Ok, j'ai bien compris, tu as raison, à nous , on n'a pas arrangé les comptes de la sécu à Montauban, vu qu'on avait à faire à des médecins nuls à pleurer, et je peux même te dire que quand il y a un problème de tension trop élevé autant aller chercher de suite dans l'alimentation. Trop de sel et de charcuterie, comme les chips d'Ellie, le chocolat ne vaut pas mieux nuit à la santé.
RépondreSupprimerje ne pensais pas à la voisine de ta mère mais à tous ceux qui ont un rapport quelconque avec la sécu et qui se font payer des voyages et des restos (et sans doute d'autres chose aux frais des cotisants de la sécus). J'ai fait partie à une époque où je travaillais dans un syndicat de ceux qui bénéficiaient des restos gratuits à raison de 300 francs par personne, et ceci tous les midis, sans compter tous ce qui était passer sur le compte de notre sécu..Et il y en avait des frais !!
Pour mon fils quand on voit le nombres d'actes qu'il faut pour un seul (comme tu le dis si bien) j'en ai les cheveux qui se dressent sur la tête.. D'une part pour le persuader d'aller là et là, et ensuite , le temps perdu dans les salles d'attentes et enfin l'argent que ça coûte, à raison de consultations spécialisées. A se demander si ceux qui ont pondu le système n'avait pas une case de libre...
Et je suis aussi d'accord sur l'école. Rendre rentable ce qui intrinsèquement ne l'est pas ne résoudra strictement rien.. Mais quand on marche sur la tête ..ça fait mal, donc faut soigner..
Christie,
RépondreSupprimerIl ne faut pas focaliser sur les exceptions.
1. Par rapport aux types qui bouffent sur le compte de la sécu : s'il y en a 100 à bouffer pour 300 euros 200 jours par an, ça fait 6 millions par an ! Autant dire une paille par rapport aux 8 ou 10 milliards de trou annoncé. Ce qu'ils font est scandaleux, il faut les virer, mais pas focaliser.
2. Par rapport à ton fils. Oui, traiter un malade, quel qu'il soit, est couteux, mais c'est le principe de la Solidarité Nationale.
Ca me rappelle une fois, ou un type de droite avait pondu un truc sur les fraudes à la sécu qui couteraient 2 ou 300 millions : on s'en fout, par rapport au budget global c'est dérisoire (et en plus les mecs qui fraudent, la plupart, c'est pour se soigner quand ils n'ont pas les droits... on ne peut pas leur en vouloir).
L'abruti de député en question avait préparé un plan pour mettre des photos sur chaque carte. Ca coûterait entre 20 et 30 euros par carte (le coût de la carte et surtout le coût pour que chacun vienne déposer sa photo). Pour 45 millions de personnes, calcule la facture !
C'est bien, comme tu dis, la multiplication des actes imposés et l'organisation administrative des hôpitaux qui sont à repenser.
tu calcules mieux que moi, je ne suis pas très douée. je me souviens de cette idée de vouloir mettre les photos sur les cartes vitales. Il ne me semble pas que ce soit vraiment oublier.
RépondreSupprimerje peux donc me déculpabiliser d'avoir à l'occasion m'être faite gavée par le trou de la sécu. Par contre je maudis vraiment cette obligation de voir le généraliste avant le spécialiste..Bien qu'il me semble avoir lu quelque part que pour les maladies chroniques ce n'était pas obligatoires mais à chaque fois, de toutes façons, les spécialistes me renvoient faire la prescription chez lz généralistes. Fiston aura toujours le dernier mot:
"on voit bien que ce n'est pas eux qui doivent rattraper les heures de cours"..
Dans ces cas là , nous râlons en coeur..
@christie
RépondreSupprimerC'est valable pour trois disciplines : la gynéco, l'ophtalmo et la pédiatrie.
Dans le cadre de patients chroniques soignés dans un cadre hospitalier, il est évident aussi que le généraliste n'intervient pas avant le spécialiste hospitalier.
A propos de médecins hospitaliers : est-il normal que des toubibs hospitaliers se fassent en plus du libéral dans l'hôpital, profitant ainsi de l'infrastructure publique pour s'engraisser tranquillement, avec dépassements d'honoraires à la clé ? Je n'ai jamais compris ça. Voilà une mesure qu'elle serait de gauche (suivez mon regard).
Non, ce n'est pas normal !
RépondreSupprimerC'est toujours la même chose avec Sarko (j'en sais quelque chose, j'ai son clone comme patron), pour punir 1 ou deux éventuels fraudeurs, on pénalise tout le monde. A la ville de Châteauroux, au delà de 7 jours par an, le congé maladie est retenu sur le salaire...
RépondreSupprimersalut à tous,
RépondreSupprimer1. si je n'aime pas que tu dises "de droite", c'est parce que je ne me considère pas comme "de droite" ou "de gauche". Cela n'a pas de sens très net pour moi ; je ne viens pas d'un milieu politisé. J'attends donc que l'on m'explique clairement ce que signifie "être de droite" pour dire si je le suis. Mais si ça peut arranger quelqu'un de m'appeler "de droite", ça ne me pose aucun problème.
2. pour les temps de réponse, il faut savoir que je gère quand même avec mon emploi du temps professionnel, et qu'il y a des moments où je ne suis pas dispo. Ca explique une partie du délai. L'autre, c'est simplement que je ne voulais pas faire une réponse idéologique, justement, et que je suis retourné voir les chiffres, et consulter certains "dossiers" pour te donner une réponse construite et chiffrée. La rapidité n'est pas forcément de mise ; je préfère te répondre de manière carrée.
3. je n'ai pas - contrairement à ce que tu sembles penser - de parti pris idéologique ; je respecte la fonction publique. Je suis même favorable - farouchement - à son existence dans certains secteurs (justice, police, éducation). Mais je pense que l'Etat en France joue dans un nombre beaucoup trop important de domaine un rôle qu'il n'a pas à prendre. Par ailleurs, dans les secteurs où son intervention me parait légitime, je ne vois pas pourquoi ça devrait se faire avec un nombre incalculable de fonctionnaires (au sens propre du terme puisque l'educnat ne sait pas exactement combien elle embauche de personnes), et avec une opacité digne des admnistrations centrales soviétiques. Une gestion rationnelle des ressources humaines et budgétaires me parait être le moindre des respects que l'on doit aux citoyens / contribuables.
à bientôt !
Lomig,
RépondreSupprimerPas de soucis pour le délai de réponse... On a tous des impératifs !
Si j'en parle dans le blog, c'est pour rigoler, au moment où j'ai rédigé le billet, tu n'avais pas répondu.
On va dire que tu es "de droite" parce que tu es opposé à nous autres "gauchistes" sur la plupart des sujets économiques.
re-salut,
RépondreSupprimerdisons que je suis de droite si ça permet à certains de mieux se faire une idée de mon positionnement. Je me sens plutôt réformiste et libéral, mots qui ont plus de sens que "droite" ou "gauche"...passons.
Juste une remarque : une autre chose qui me parait importante à mettre en oeuvre c'est de supprimer le statut de fonctionnaire POUR LES NOUVEAUX ENTRANTS. Je ne vois pas en quoi le fait de remplir une mission de service public devrait impliquer une garantie d'emploi à vie...
à bientôt !
C'est déjà plus ou moins le cas dans plusieurs secteurs, notamment La Poste et la SNCF, je crois. Partout, il y a de plus en plus de "contrats de droit privé".
RépondreSupprimerCelà dit, je ne vois pas l'intérêt de supprimer des avantages ! Un type qui rentre en IUFM pour devenir prof l'est bien pour être enseignant toute sa vie. Où est le problème ?
le problème c'est que la masse salariale connait une inflation forcée de ce fait...que nous allons payer, et que nous payons déjà.
RépondreSupprimerJe ne vois pas pourquoi un enseignant devrait avoir un emploi à vie. Je préfererais que les enseignants soient mieux payés, et virables quand ils sont mauvais.
à bientôt !
Sur quels critères vas-tu juger qu'un enseignant est bon ou mauvais ?
RépondreSupprimer