Jean a l’excellente idée de nous rappeler l’évolution de la dette publique Française. Je n’ai rien à ajouter à son analyse brillante. Sauf rappeler qu’Alain Lambert a été nommé Ministre du Budget en 2002.
La réalité vraie de la blogosphère ?
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
La réalité vraie de la blogosphère ?
je ne suis pas un encarté, donc j'espère avoir un regard objectif (tout du moins politiquement) sur ce tableau.
RépondreSupprimerEn 1993, il y a la crise du SME (système monétaire européen) et en 2001 il y a l'éclatement de la bulle spéculative internet(la « nouvelle économie ») . Une crise s'accompagne fort logiquement d'une hausse de la dette publique non ?
Par contre pour la crise de 2008, je ne sais pas ce que l'on va bien pouvoir creuser ah ah, notre trou peut-être.
Logiquement, oui... Mais pas de bol ! Ca tombe toujours quand la droite est au pouvoir...
RépondreSupprimerquelle mauvaise foi partisane ! ah ah ah
RépondreSupprimerHéhé
RépondreSupprimerLe budget de l'Elysée passe de 32,3 à 112,3 millions d'euros en trois ans !
RépondreSupprimerLisez cet article :
Les crédits de l’Elysée en hausse de 11,4 %.
112,3 millions d’euros.
Pour 2009, le projet de loi de Finances prévoit des hausses de crédits significatives pour la mission « Pouvoirs publics ». La présidence de la République voit son enveloppe budgétaire augmenter de 11,4 %, pour atteindre 112,3 millions d’euros. L’an passé, le périmètre de l’Elysée avait été modifié par le Parlement, de façon à consolider tous les crédits de fonctionnement et de rémunération des personnels, sommes jusqu’alors assumées par une douzaine de ministères. L’enveloppe de la présidence de la République était ainsi passée de 32,3 millions d’euros à 100,8 millions d’euros.
http://www.lesechos.fr/info/france/4780472.htm?xtor=EPR-1083
Ba, est-ce que vous employez "consolider" au sens comptable (dans ce cas je n'ai jamais pigé ce que cela signifie) ou dans le sens travaux publics (là, vu les augmentations, on suppose que l'Élysée et ses occupants seront bétonnés) ?
RépondreSupprimerMoi, si je regarde le tableau à l'envers, j'observe la "croissance négative". Trop bien. Ok, des explications sur comment sont dépensés les sous qu'on a pas, on les aura toutes revues cette année. Mais y'a t'il des solutions crédibles à proposer (plutot que de taxer le "petit" peuple)?
RépondreSupprimerUn économiste disait ce matin, sur France Culture, cette vérité : "une banque non solvable est sauvée par un Etat non solvable, et ça rassure tout le monde" !
RépondreSupprimerCe en quoi il n'avait pas tout à fait tort.
Avec son endettement, l'Etat français ne pourra rien garantir du tout, sauf en belles paroles...
:-))