A la une de l’actualité ce matin : Nicolas Sarkozy lance un plan de soutien à l’immobilier. Je résume : il va aller chercher des sous (on ne sait pas où, ça serait trop facile) et va racheter des logements pas encore construits pour aider les artisans qui les construisent.
Je rappelle l’actualité d’hier : Nicolas Sarkozy va piquer des sous dans la caisse du Livret A pour participer au financement de PME.
Je n’ai pas besoin de faire un billet de trois pages pour démontrer le ridicule de la situation et la grotesquitude de la politique menée :
Le Livret A était destiné à financer le logement social et donc l’immobilier.
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
02 octobre 2008
La politique du n'importe quoi
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C'est ridicule !
RépondreSupprimerMais il faut croire que Bouygues Immobilier avait besoin d'aide pour vendre (trop chers) les appartements construits ou à construire ! Voilà une explication !
:-))
Bon, c'est le matin, j'oublie de cocher la case adéquate ! J'aimerais bien que Blogger change ce réglage et qu'elle soit cochée par défaut, ce serait plus simple !
RépondreSupprimer:-)
Coche, bordel !
RépondreSupprimerTiens Poireau ! Je viens de conseiller à Jeffane de t'envoyer un mail pour te poser une question.
RépondreSupprimerhe ben si avec ça on est pas sauvés...
RépondreSupprimerOuais...
RépondreSupprimerComme je l'ai dit, on est shizophrène...
RépondreSupprimerOuaip !
RépondreSupprimerPour ma part, je rigole en relisant la profession de foi, vous savez, la pub pour inciter à voter...
RépondreSupprimerici
Drôle mais déprimant aussi...
Quand le n'importe quoi se superpose au tout des promesses, les possibilités offrent le vrai visage d'un monde conservateur où l'inepte se dispute à l'ânerie dans un combat idéologique où les peuples perdront leurs illusions à la faveur d'un horizon sans issue.
RépondreSupprimerJe n'ai plus envie de rire :-(
Mais si, mais si.
RépondreSupprimerLa politique du chat qui se mord la queue, ou la variante du chien, ou de ce que l'on voudra ?
RépondreSupprimerDu moment que c'est SA queue et pas la mienne.
RépondreSupprimerTiens, ils m'ont de nouveau coupé la ligne ! :-(((
RépondreSupprimerPfffffffffffff
Monsieur POireau, du moment que c'est pas la queue, enfin la file!!
RépondreSupprimerEn tout cas cette fois c'est officiel: jospin etait plus liberal que sarkozy, y compris au niveau economique.
RépondreSupprimer"relancer" l'immobilier en pleine bulle, c'est vraiment nimporte quoi. non seulement c'est de l'interventionisme pur jus, mais en plus c'est con.
N'importe quoi, tu peux le dire...
RépondreSupprimeren plus de ces quelques mots, Nicolas, je fais un test.
Merci
Réussi.
RépondreSupprimerLa banque Dexia devait faire faillite. Mardi 30 septembre, le gouvernement français, le gouvernement belge, et le gouvernement luxembourgeois ont injecté 6,4 milliards d’euros pour renflouer la banque Dexia. Les contribuables vont verser 6,4 milliards d’euros pour sauver la banque Dexia de la faillite.
RépondreSupprimerScandale supplémentaire : le patron de Dexia, Axel Miller, va partir en empochant 3,73 millions d’euros en parachute doré.
Axel Miller a osé éclater de rire quand on lui a parlé de son parachute doré. Regardez cette video insupportable :
http://aliceadsl.lci.fr/infos/economie/conjoncture/0,,4108048-VU5WX0lEIDUzNg==,00-le-fou-rire-du-patron-de-dexia-sur-son-parachute-dore-.html
Et moi qui ne veut même pas que mon Luminaire Céleste touche à mon livret... Il faut revenir au bas de laine, moi je vous le dis.
RépondreSupprimerloooool
RépondreSupprimertu as trop raison !!
(c'est bouygues qui doit être content en tous cas)
Je viens de voir une interview de Peillon sur i-télé qui enchaine la politique de Sarko (http://www.vincent-peillon.fr). juste jouissif.
Catherine,
RépondreSupprimerVotre luminaire ne voit pas toujours très clair !
Comme vous avez raison...
RépondreSupprimerAh, la politique du n'importe quoi, il me semblait que c'était une idée de Rémi Gaillard.
RépondreSupprimerAh.
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