Depuis ce matin, j’entends en boucle le journal de France Info avec Ségolène Royal et son allusion au code de l’honneur perdu du Parti Socialiste. J’en ai marre.
On n’est pas en train de préparer un remake des tontons flingueurs ou de batifoler dans une cour d’école.
Jouer sur l’honneur perdu…
Les gouttes d’eau s’accumulent tellement que le vase n’en peut plus de déborder.
Il est temps que tout ce cirque cesse.
Je ne me souviens pas d'un parti dans lequel les courants avaient l'honneur de s'allier, pourtant…
RépondreSupprimer:-))
Moi, j'ai honte pour eux.
RépondreSupprimerIl est tellement temps qu'il en est en retard.
RépondreSupprimerOuais...
RépondreSupprimersur France Inter ce matin, elle a été très bien.
RépondreSupprimerElle aurait mieux fait d'aller sur France Info...
RépondreSupprimerEt argument sur le fait que parfois, elle est très bien, me parait limite...
RépondreSupprimersi si moi je l'ai trouvée très bien, c'est tout dire...
RépondreSupprimer(non j'ai pas mis de lien !)
(hum, c'est vraiment pas clair chez blogger l'inscription au fil - on oublie à chaque fois)
RépondreSupprimerOui, il faut que je change une option (mais l'autre option bugue parfois).
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RépondreSupprimerBenjii,
RépondreSupprimerJe supprime ton message. Fais gaffe à ce que tu dis ! On n'insulte pas les personnalités (ni mêmes les simples quidams, à part les troll).
Si je voulais être polémique, je sourirais devant l'hôpital qui se moque ouvertement de la charité... Et d'une Royal qui appelle aujourd'hui au respect d'un code de l'honneur qu'elle n'a peut être pas forcément respecter par le passé...
RépondreSupprimerMais je suis sincèrement triste pour vous... Parce que ce cirque est épuisant.
Et pour la France, qui mérite un PS fort... Ca n'en prend pas le chemin. Bon courage à vous.
Bonne soirée
Chers camarades
RépondreSupprimerChers amis
Le PS vit des heures graves, sombres mais aussi des heures de fol espoir!
Ne baissons ni la tête ni les bras!
Notre combat est digne de Jaurès que jamais nous n'avons hué ni sifflé!
Oui les heures sont graves! Bien sûr, il y a pire dans le monde. Nous n'en sommes pas le centre...sans jeu de mot politique. Mais ce qui s'est passé à Reims était le début du glas qui sonne lugubrement sur notre cher Parti. Jamais je n'avais entendu autant de mots bas, de propos infâmants, de mensonges!
Martine, quand tu oses affirmer que Delanoë et Hamon sont d'accord avec toi, qu'ils l'étaient pendant la nuit des "longs couteaux", tu ne dis pas la vérité. Tu tiens des propos qui t'arrangent, sur le dos des militants, comme d'habitude.
D'ailleurs, le camp Delanoë ne s'y trompe pas et nombreux sont déja ceux qui ont voté pour sa motion mais qui se désolidarisent de son appel. Ils seront très nombreux jeudi soir! On ne peut pas faire ni dire n'importe quoi!
Martine, Bertrand et Benoit, je suis, nous sommes aussi socialistes que vous, ni plus, ni moins. Quoi que "ni moins", je commence à m'interroger!
Jusqu' à jeudi, selon les vieilles méthodes honteuses du vieux parti que vous avez dirigé et amené là où il est, c'est à dire au plus bas, ridiculisé par les médias, moqué par l'Europe, ignoré par le monde, vous allez poursuivre le tir à vue. Mais vous ne nous atteindrez pas!
Car quoi qu'il arrive, nous avons sauvé l'essentiel: l'honneur d'être socialiste, cet honneur que vous avez foulé aux pieds depuis des mois, car cela ne remonte pas à Reims!
Qu'as tu fait Martine, toi la responsable des affaires sociales au PS ces dernières années? Qu'as tu fait? RIEN! Ton seul fait d'arme fut ton alliance avec le MODEM à Lille, autorisée par le Parti qui a donc validé depuis longtemps une alliance de fait avec ce parti!
Qu'avez vous fait, camarades, de l'héritage de Jaurès à celui de Mitterrand? Vous l'avez dilapidé, à commencer par toi Lionel, triste "déserteur" après ton calamiteux premier tour de 2002!
Ségolène Royal a bien de la patience et du courage d'avoir aujourd'hui encore déclaré qu'elle vous tendrait toujours la main.
Nous voterons en masse jeudi pour Ségolène, Vincent, Jean Louis, Najat, Aurélie, Delphine et tant d'autres. Nous serons 10 000, 100 000, nous serons demain des millions! Pour le Parti SOCIALISTE!
Rien ne nous arrêtera! Ni personne!
Falconhill,
RépondreSupprimerFaut pas être triste ! On s'en remettra ! En 2022.
Machin,
Quand tu auras compris que ton discours type est plus nocif pour la cause que toute autre action, tu auras peut-être compris quelque chose en politique.
Andouille ! La ségomania tue ségolène, ce n'est quand même pas compliqué à comprendre ? Avec tes propos, tu la rends ridicule... C'est tout.
Bravo anonyme !!!!! ce sont, exactement, les propos que j'ai entendus ce soir, au cours d'une réunion, dont je rentre tout juste et j'adhère totalement à ce point de vue. Il faut que les militants, qui ont "subi" le cirque de ce WE à Reims, se mobilisent pour que l'équipe de Ségolène soit en mesure de sauver le Parti Socialiste, sinon, il est mort .........et enterré par les vieux éléphants !!!!!
RépondreSupprimerL'andouille à Nicolas :
RépondreSupprimerC'est le drame du double langage en politique.
Dire une chose en faire une autre.
Martine Aubry déclarait le 28 Mai 2008 sur RTL :
"Quand nous aurons dit "NOUS" en travaillant pendant quelques mois au congrès, nous aurons la sagesse de choisir la ou le meilleur qui pourra guider le travail de la Gauche".
Hier soir sur RTL, Martine Aubry, encore Secrétaire Nationale du PS, réitère la critique : "C'est vrai le Parti Socialiste est en mauvaise santé, il a trop parlé en disant "JE" pendant des années".
Au cours de la même journée, Martine Aubry candidate au poste de Premier Secrétaire du Parti Socialiste, envoie aux militants sa "profession de foi".
C'est simple, Martine Aubry écrit 10 fois "JE" et 3 fois "NOUS".
Et encore, c'est pour décrire ce qui s'est mal passé : "Je regrette avec vous que nous n'ayons pas réussi à nous rassembler à Reims autour d'une orientation."
La veille, Ségolène Royal, Vincent Peillon et toute son équipe, envoyaient eux aussi leur "profession de foi" aux militants.
L'équipe ainsi formée écrit 23 fois "NOUS" et 3 fois "JE".
Ils signaient la profession de foi: Ségolène Royal et Vincent Peillon, et toute l'équipe
Une anecdote qui dit toute la différence entre donner des leçons et se les appliquer.
Un peu comme pour l'éventuelle alliance avec le démocrates.
Un discours pour le congrès du PS et un autre lorsqu'il s'agit d'aller devant les électeurs de Lille.
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