Ce qu’il y a de tant avec les soirées de blogueurs, c’est le compte rendu rituel à faire le matin avec la liste des participants. Mais c’est largement compensé par le plaisir qu’on a eu à passer la soirée avec eux !
Ont participé au repas :
Nous ont accompagnés à l’apéro :
Nous a rejoints en fin de repas :
Les principaux thèmes abordés sont : le cul de Fiso, les montres de Dray et la marque du désespoir lors de sa description de la décadence de l’empire dans les œuvres de Jean-Paul Sarthe pendant la deuxième partie de sa vie.
Le fait de rater ce genre de truc fait presque regretter de ne pas vivre en Ile-de-France
RépondreSupprimerRomain,
RépondreSupprimerEn partant de Lyon à 17 heures, tu étais à La Comète à 19h30, en repartais en 22h30 et rentrait chez toi à 1h : c'est jouable, non ?
Jean-Paul Sarthe ?
RépondreSupprimerCelui qui habite Le Mans ?
Des sujets de conversations variés!
RépondreSupprimerEric,
RépondreSupprimerOui. Au fait ! Que fais-tu ce soir ? Je dîne à LC avec Poireau, Melle Ciguë et Jim. Tu te joints à nous ?
Dorham,
RépondreSupprimerOups ! Je corrige. Non. Finalement c'est drôle, on va dire que j'ai fait exprès. D'autant que la dernière fois, j'avais fait la boulette dans l'autre sens...
Pourquoi les mails de commentaires me parviennent dans le désordre ?
RépondreSupprimerLa conversation sur les mntres de Jean-Paul Sarthe était elle-même de bel accabit !!!
RépondreSupprimer:-)))
Pourquoi les mails de commentaires me parviennent dans le désordre ?
RépondreSupprimerc'est sûr je ne sais pas!
bien le billet sur l'influence!
Poireau,
RépondreSupprimerOui.
Anonyme,
Heu. Merci.
Tu ne t'es pas trompé de blog ?
RépondreSupprimer;)
Zoridae,
RépondreSupprimerNon. Un blog politique "doit" se diversifier pour amuser la clientèle.
Plus sérieusement : je n'avais rien à diffuser ici. Pas le temps d'éplucher l'actualité alors que j'avais un billet prêt dans ma tête pour les autres...
J'aurais dû rester pour le dîner ! Moi aussi j'avais envie de parler des montres de Dray (par contre, pas trop du cul de Fiso...)
RépondreSupprimerPourtant, il y a matière à dire.
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