En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
1 - s'adresse à tous les beaux parents (donc je ne vois absolument pas pourquoi on axerait essentiellement le débat sur l'homoparentalité).
2 - ne va pas assez loin. Les actes de la vie quotidienne ne posent pas réellement problème. Un beau-parent (ou un tiers) peut par exemple aller chercher son "bel enfant" à l'école. Les directeurs d'école se sont déjà adaptés sans qu'une loi viennent leur dire comment faire, ils ne sont pas si cons.
En revanche, un beau-parent, ou en effet, un parent homosexuel non reconnu par le droit ne peut en aucun cas prendre les décisions importantes : médicales par exemple. Pas de possibilité non plus de faire hériter l'enfant.
Pour ces deux cas, on a la même absence de droit mais pas du tout la même implication. On pourrait penser que donner plus de droit au beau-parent, c'est en enlever à l'autre parent naturel (celui qui n'a pas la garde).
Pour les parents homos, là, pas de référent à qui piquer du droit. Il faut donc soigneusement scinder ces débats, à mon sens. Et enfin, définir quelque chose de viable.
Le hic, c'est que j'ai du mal avec cette idée particulièrement répandue que la politique et la loi soient mues par la nécessité d'accompagner les mutations sociétales. Ce me semble être même contraire à l'idée de politique, et à l'idée de justice.
Faut-il rappeler que ce n'est pas seulement l'intérêt de l'enfant qui prévaut mais l'intérêt de la structure familiale dans son intégralité. Et que cette structure doit être protégée en tant que tel, à tous niveaux.
Enfin, et là, j'aborde un autre sujet (mais qui est lié) (puisqu'on parle du tiers), il ne me semble pas étonnant que l'homoparentalité ne soit pas reconnue. Car elle subodore que deux hommes (je sais que les lesbiennes existent, laissez-moi poursuivre) éduquent un enfant. Or, déjà, dans les cas de divorce et de détermination de droits de garde, la mère, la plupart du temps (et ce, même si elle n'a pas la carrure pour enfiler le costume) sort victorieuse et blanche comme une colombe de paix, les chiards sous le bras. Bien souvent, les droits des pères sont bafoués, leur rôle relégué au rang de simple figurant.
C'est déjà une carence législative, qui s'appuie sur une vision fausse, rétrograde (dans son sens le plus primaire) de l'éducation, du rapport de l'enfant à ses parents.
Il y a donc tout à repenser. Qu'on ne vienne donc pas nous gonfler avec le bien de l'enfant, puisqu'en France chaque jour, à tous niveaux, on le bafoue allègrement au nom d'idéologies sans fondements. (et je ne parle de comment on traite la petite enfance, ou le sort de nos orphelins).
Là aussi (comme pour le congé parental), le sujet est vaste : tout est à repenser. Cessons de sectoriser, de communautariser les débats. Dans le premier nous avions la politique de la petite enfance. Dans le second : celle de la famille.
En l'occurence, mon billet ne parle pas de la loi sur le parent tiers, il parle de l'homoparentalité, qui se trouve tout à fait par hasard être de nouveau venue en débat, et avoir donné lieu à d'épouvantables lieux communs réactionnaires, à l'occasion de cette loi.
Merci d'avoir répondu. Je ne te "cache pas" que les différents propos sur les trucs "naturels" lu dans différents billets ou commentaires m'ont énervé !
Oh!91, c'est parfaitement ce que je lui reproche. Je ne suis pas opposé à ce que l'on appelle l'homoparentalité. Bien au contraire. Pour moi, c'est en effet : parents avant tout, mais comme je crois avoir tenté de l'expliquer, le problème est plus vaste, il fait écho à d'autres choses, d'autres tenants et aboutissants.
Bref, le débat circonscrit à l'homoparentalité (alors qu'en fait, sans qu'on ose le dire, il découle de la vision totalement fausse que l'on a de l'homme, du mari et du père dans nos sociétés) selon moi empêche d'avoir une vision transversale du problème.
Changer l'image du père et ses droits, légiférer autrement pour améliorer la politique familiale, c'est garantir le basculement des a priori relatifs à l'homoparentalité. J'en suis on ne peut plus certain.
Notre problème majeur dans ce pays tient en ceci : les débats annexes occultent les débats d'ampleur.
---
Didier,
Désolé pour ça, ça m'écorche pareillement. Tout comme un mauvais accord, un peu plus haut me violente la rétine...
-> Doham -> En même temps, vois-tu, et même si j'adhère à ton plaidoyer pour repenser la structure familiale, pour reconsidérer le rôle du père, autorise-moi à réagir comme un homme ordinaire, mais comme un homme à qui l'on dénie un droit que l'on reconnaît à beaucoup d'autres hommes, celui d'être candidat à l'adoption, un homme à qui l'on dénie cela en fonction d'un seul et unique critère : son homosexualité. Je crois que le combat contre cette discrimination porte en lui, le combat que tu prônes pour changer la politique familiale. Je ne crois pas, contrairement à toi, que ce combat - que je ne te remercie pas de considérer annexe - peut s'offrir le luxe de se mettre à la remorque de ton combat, parce que sinon, on va pouvoir encore attendre pendant quelques générations. Je crois par contre que quand on aura aboli cette discrimination, on en aura fait avancer des idées sur la famille et sur la place de chaque parent, et des autres...
Nicolas, vous avez vu ? J'AI RÉUSSI À ME TAIRE ! Je crois que ma psychothérapie de groupe commence à produire ses effets bénéfiques. Encore 12 séances et je passe au Modem ; 15 de plus et je m'encarte au PS ; trente autres encore et je file chez le petit Besancenot ou la vieille Buffet.
l'avantage d'avoir fait un tour sur ce blog réside dans le fait que j'ai pu réaliser à quel point ton argumentaire est varié d'un blog à l'autre, avec des qualificatifs d'une grande profondeur: "connard" par exemple, ou encore des mises en valeurs pointues des défauts dans l'argumentation des autres: "se croient plus intelligents que les autres"...
t'inquiéte nico, si les faibles d'esprits volaient tu serait sûrement déjà au septième ciel, mais tu n'y serait pas seul. sans les "idiots utiles" notre super système politique ne parviendrai pas à ses fins, alors heureusement que tu es la pour faire avancer les choses, n'est ce pas?
Oui, connard, mais tu ne sais pas pourquoi j'ai viré l'autre commentaire. Tu peux d'ailleurs aller lire la charte des commentaires, là, dans la colonne de gauche.
cela dit le sous titre de ton blog est presque parfait, mis à part "l'interet de la démocratie"
"S'il fallait connaître quelque chose en politique pour en parler, ça limiterait la recette des bistros" serait parfait.
quant au fait de permettre à quelqun de parler d'un sujet qu'il ne maitrise absolument pas, je dirai que ce n'est pas l'interet de la démocratie, mais bien celui des politiques.
exemple: quant on a effectué le referendum sur la constitution européenne, combien des votants s'étaient vraiment renseignés sur les textes, et combien s'étaient contentés de prendre pour argent comptant ce qui transpirait dans les médias?
moins on informe les masses et plus elles sont faciles à diriger, çà s'était avant la démocratie moderne, et maintenant c'est plus on distille des informations bien orientées aux masses et plus elles réagissent dans le sens que l'on recherche
je suis bien placé de par mon travail pour savoir et voir tout cela...
sans rancune pour la partie de tennis par clavier interposés...
bien vu pour la charte, je suppose que je rentre dans la catégorie des casses c...
en réalité, je n'avait pas fait particulièrement attention au fait que ce blog t'appartenait,c'est seulement en voyant ton pseudo je j'ais était pris d'une irrésistible envie de te brancher. sûrement le "connard" sur le blog de nemo sur lequel j'ai d'ailleurs laissé un petit mot, car on ne va pas monopoliser son blog ...
j'essaye d'arréter depuis tout à l'heure, mais tu à manifestement un don pour relancer les dialogues
NON je ne prétends pas détenir la vérité sur tout et pour tout, et JUSTEMENT, c'est cela que je remettais en cause dans mon dernier post.Pour sujet que je ne connais pas face à qqun qui connais mieux: je me tais et j'écoute.
quant à toutes les piques balancées avant, je les concoit surtout comme des suggestions de regarder les choses sous un autre angle...
je me suis permis d'évoquer mon emploi, car il m'as donné l'occasion de voir comment un pauvre commentaire balancé sur RFI par un journaliste bien à l'abri à Paris, peut valoir le lendemain à quelques uns de ses compatriotes de subir un violente manif anti français...Côte d'Ivoire, Fin 2002 max
tu parle de mon commentaire precedent qui t'as bien plus insulté que le mot connard : duquel parle tu? jusqu'à me faire traiter je n'avais aucune intention agressive, et même apres, je me garde bien d'etre grossier
ok alors pour ce qui es de la pensée unique il n'y a rien qui sous entend que les gens soit des abrutis et je me range aussi dans ceux qui la subisse ou plutot qui subissent les pression d'un systeme qui veut arriver à nous faire penser tous plus ou moins pareil parfois avec des ruses cousue de fil blanc: regarde l'emploi mediatique de l'insecurite et de tout ce qui es national, dès qu'il sentent que leurs rangs se rompent
c'est un exemple assez connu mais qui sert dans bien d'autre cas
ily a 15 un de mes supérieurs m'avait dis regarder ils commencent à nous prechauffer sur l'euthanasie avec des exemples de cas dramatiques, pour faire passer la loi dans 20 ou 30 ans à l'époque je m'était dis qu'il délirait et maintenant je pense qu'il avait bien raison car elle ne va pas tarder, la loi
maintenant je prends note qu' en plus des mots, tu me prends aussi pour un abruti fini. Ah bon c'est des vrais gens comme moi qui tapent sur leur clavier et avec qui je communique? mais va j'essaye de ne pas le prendre mal au point de t'insulter, après tout t'es sur ton blog...
Je te dis juste de faire attention à ce que tu écris. C'est trop facile de dire ensuite qu'on t'a mal compris. Non. Tu t'es mal exprimé tu as été insultant.
Arrêtons là. Si tu veux manier les mots, apprends leur valeur.
J'ASSUME COMPLETEMENT ET SANS REMORDS LE FOND DE TOUT CE QUE J'AI PU ECRIRE?, JE VOULAI SIMPLEMENT SIGNIFIER QUE J'AURAI PU LE DIRE DE FACON PLUS SOFT
APRES DEUX SOIREES PASSEES SUR UN BLOG JE REALISE LE TEMPS QUE CELA FAIT PERDRE,SURTOUT AU VU DE LA STERILITE DES DISCUSSIONS (MIS A PART M'INSULTER ET DIRE QUE JE SUIS AGRESSIF, TU N'AS CONTRE AUCUN DE MES ARGUMENTS)
BREF, N'AYANT PAS LE TEMPS DE LE PASSER A LE PERDRE? JE TE LAISSE A TES CERTITUDES DE BON CITOYEN GAUCHISANT ET TE SOUHAITE BIEN DU PLAISIR
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La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...
le billet, pas le bébé, hein... Faut pas charier. Merci pour le lien.
RépondreSupprimer...............................................
RépondreSupprimer.................... (silence pieux)..........
...............................................
Oui.
RépondreSupprimerBon.
Sauf qu'en fait cette loi :
1 - s'adresse à tous les beaux parents (donc je ne vois absolument pas pourquoi on axerait essentiellement le débat sur l'homoparentalité).
2 - ne va pas assez loin. Les actes de la vie quotidienne ne posent pas réellement problème. Un beau-parent (ou un tiers) peut par exemple aller chercher son "bel enfant" à l'école. Les directeurs d'école se sont déjà adaptés sans qu'une loi viennent leur dire comment faire, ils ne sont pas si cons.
En revanche, un beau-parent, ou en effet, un parent homosexuel non reconnu par le droit ne peut en aucun cas prendre les décisions importantes : médicales par exemple. Pas de possibilité non plus de faire hériter l'enfant.
Pour ces deux cas, on a la même absence de droit mais pas du tout la même implication. On pourrait penser que donner plus de droit au beau-parent, c'est en enlever à l'autre parent naturel (celui qui n'a pas la garde).
Pour les parents homos, là, pas de référent à qui piquer du droit. Il faut donc soigneusement scinder ces débats, à mon sens. Et enfin, définir quelque chose de viable.
Le hic, c'est que j'ai du mal avec cette idée particulièrement répandue que la politique et la loi soient mues par la nécessité d'accompagner les mutations sociétales. Ce me semble être même contraire à l'idée de politique, et à l'idée de justice.
Faut-il rappeler que ce n'est pas seulement l'intérêt de l'enfant qui prévaut mais l'intérêt de la structure familiale dans son intégralité. Et que cette structure doit être protégée en tant que tel, à tous niveaux.
Enfin, et là, j'aborde un autre sujet (mais qui est lié) (puisqu'on parle du tiers), il ne me semble pas étonnant que l'homoparentalité ne soit pas reconnue. Car elle subodore que deux hommes (je sais que les lesbiennes existent, laissez-moi poursuivre) éduquent un enfant. Or, déjà, dans les cas de divorce et de détermination de droits de garde, la mère, la plupart du temps (et ce, même si elle n'a pas la carrure pour enfiler le costume) sort victorieuse et blanche comme une colombe de paix, les chiards sous le bras. Bien souvent, les droits des pères sont bafoués, leur rôle relégué au rang de simple figurant.
C'est déjà une carence législative, qui s'appuie sur une vision fausse, rétrograde (dans son sens le plus primaire) de l'éducation, du rapport de l'enfant à ses parents.
Il y a donc tout à repenser. Qu'on ne vienne donc pas nous gonfler avec le bien de l'enfant, puisqu'en France chaque jour, à tous niveaux, on le bafoue allègrement au nom d'idéologies sans fondements. (et je ne parle de comment on traite la petite enfance, ou le sort de nos orphelins).
Là aussi (comme pour le congé parental), le sujet est vaste : tout est à repenser. Cessons de sectoriser, de communautariser les débats. Dans le premier nous avions la politique de la petite enfance. Dans le second : celle de la famille.
Très bien dit, Monsieur Dorham !
RépondreSupprimer(À part ce "je ne parle pas de comment..." qui m'écorche violemment les oreilles.)
En l'occurence, mon billet ne parle pas de la loi sur le parent tiers, il parle de l'homoparentalité, qui se trouve tout à fait par hasard être de nouveau venue en débat, et avoir donné lieu à d'épouvantables lieux communs réactionnaires, à l'occasion de cette loi.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerTa gueule.
Dohram,
Merci d'avoir fait le billet à ma place.
Oh!91,
Merci d'avoir répondu. Je ne te "cache pas" que les différents propos sur les trucs "naturels" lu dans différents billets ou commentaires m'ont énervé !
Oh!91, c'est parfaitement ce que je lui reproche. Je ne suis pas opposé à ce que l'on appelle l'homoparentalité. Bien au contraire. Pour moi, c'est en effet : parents avant tout, mais comme je crois avoir tenté de l'expliquer, le problème est plus vaste, il fait écho à d'autres choses, d'autres tenants et aboutissants.
RépondreSupprimerBref, le débat circonscrit à l'homoparentalité (alors qu'en fait, sans qu'on ose le dire, il découle de la vision totalement fausse que l'on a de l'homme, du mari et du père dans nos sociétés) selon moi empêche d'avoir une vision transversale du problème.
Changer l'image du père et ses droits, légiférer autrement pour améliorer la politique familiale, c'est garantir le basculement des a priori relatifs à l'homoparentalité. J'en suis on ne peut plus certain.
Notre problème majeur dans ce pays tient en ceci : les débats annexes occultent les débats d'ampleur.
---
Didier,
Désolé pour ça, ça m'écorche pareillement. Tout comme un mauvais accord, un peu plus haut me violente la rétine...
-> Doham -> En même temps, vois-tu, et même si j'adhère à ton plaidoyer pour repenser la structure familiale, pour reconsidérer le rôle du père, autorise-moi à réagir comme un homme ordinaire, mais comme un homme à qui l'on dénie un droit que l'on reconnaît à beaucoup d'autres hommes, celui d'être candidat à l'adoption, un homme à qui l'on dénie cela en fonction d'un seul et unique critère : son homosexualité. Je crois que le combat contre cette discrimination porte en lui, le combat que tu prônes pour changer la politique familiale. Je ne crois pas, contrairement à toi, que ce combat - que je ne te remercie pas de considérer annexe - peut s'offrir le luxe de se mettre à la remorque de ton combat, parce que sinon, on va pouvoir encore attendre pendant quelques générations. Je crois par contre que quand on aura aboli cette discrimination, on en aura fait avancer des idées sur la famille et sur la place de chaque parent, et des autres...
RépondreSupprimerNicolas, vous avez vu ? J'AI RÉUSSI À ME TAIRE ! Je crois que ma psychothérapie de groupe commence à produire ses effets bénéfiques. Encore 12 séances et je passe au Modem ; 15 de plus et je m'encarte au PS ; trente autres encore et je file chez le petit Besancenot ou la vieille Buffet.
RépondreSupprimerPour une fois...
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerJ'aime bien virer des commentaires de connards divers qui se croient plus intelligents que les autres. Ils sont mignons...
RépondreSupprimerl'avantage d'avoir fait un tour sur ce blog réside dans le fait que j'ai pu réaliser à quel point ton argumentaire est varié d'un blog à l'autre, avec des qualificatifs d'une grande profondeur: "connard" par exemple, ou encore des mises en valeurs pointues des défauts dans l'argumentation des autres: "se croient plus intelligents que les autres"...
RépondreSupprimert'inquiéte nico, si les faibles d'esprits volaient tu serait sûrement déjà au septième ciel, mais tu n'y serait pas seul. sans les "idiots utiles" notre super système politique ne parviendrai pas à ses fins, alors heureusement que tu es la pour faire avancer les choses, n'est ce pas?
max skyvéner
Oui, connard, mais tu ne sais pas pourquoi j'ai viré l'autre commentaire. Tu peux d'ailleurs aller lire la charte des commentaires, là, dans la colonne de gauche.
RépondreSupprimercela dit le sous titre de ton blog est presque parfait, mis à part "l'interet de la démocratie"
RépondreSupprimer"S'il fallait connaître quelque chose en politique pour en parler, ça limiterait la recette des bistros" serait parfait.
quant au fait de permettre à quelqun de parler d'un sujet qu'il ne maitrise absolument pas, je dirai que ce n'est pas l'interet de la démocratie, mais bien celui des politiques.
exemple: quant on a effectué le referendum sur la constitution européenne, combien des votants s'étaient vraiment renseignés sur les textes, et combien s'étaient contentés de prendre pour argent comptant ce qui transpirait dans les médias?
moins on informe les masses et plus elles sont faciles à diriger, çà s'était avant la démocratie moderne, et maintenant c'est plus on distille des informations bien orientées aux masses et plus elles réagissent dans le sens que l'on recherche
je suis bien placé de par mon travail pour savoir et voir tout cela...
sans rancune pour la partie de tennis par clavier interposés...
max skyvéner
bien vu pour la charte, je suppose que je rentre dans la catégorie des casses c...
RépondreSupprimeren réalité, je n'avait pas fait particulièrement attention au fait que ce blog t'appartenait,c'est seulement en voyant ton pseudo je j'ais était pris d'une irrésistible envie de te brancher. sûrement le "connard" sur le blog de nemo sur lequel j'ai d'ailleurs laissé un petit mot, car on ne va pas monopoliser son blog ...
max
Ah ! Faudra que je présente mes excuses à Nemo, en principe, je n'insulte les gens que chez moi.
RépondreSupprimer"je suis bien placé de par mon travail pour savoir et voir tout cela..."
Oui. Toi tu connais tout, nous rien.
j'essaye d'arréter depuis tout à l'heure, mais tu à manifestement un don pour relancer les dialogues
RépondreSupprimerNON je ne prétends pas détenir la vérité sur tout et pour tout, et JUSTEMENT, c'est cela que je remettais en cause dans mon dernier post.Pour sujet que je ne connais pas face à qqun qui connais mieux: je me tais et j'écoute.
quant à toutes les piques balancées avant, je les concoit surtout comme des suggestions de regarder les choses sous un autre angle...
je me suis permis d'évoquer mon emploi, car il m'as donné l'occasion de voir comment un pauvre commentaire balancé sur RFI par un journaliste bien à l'abri à Paris, peut valoir le lendemain à quelques uns de ses compatriotes de subir un violente manif anti français...Côte d'Ivoire, Fin 2002
max
reponse du mot sue le blog de nemo:
RépondreSupprimertu parle de mon commentaire precedent qui t'as bien plus insulté que le mot connard : duquel parle tu?
jusqu'à me faire traiter je n'avais aucune intention agressive, et même apres, je me garde bien d'etre grossier
peut tu donc me preciser ce qui t'a insulté
max
Ton passage sur la pensée unique. Qui sous-entend qu'on ne peut pas penser nous-mêmes donc qu'on est débiles profonds.
RépondreSupprimerSi tu ne connais pas la valeur des mots, laisse tomber les blogs. Tu ne t'adresse pas à un journal mais à des vrais gens.
ok alors pour ce qui es de la pensée unique il n'y a rien qui sous entend que les gens soit des abrutis et je me range aussi dans ceux qui la subisse ou plutot qui subissent les pression d'un systeme qui veut arriver à nous faire penser tous plus ou moins pareil
RépondreSupprimerparfois avec des ruses cousue de fil blanc: regarde l'emploi mediatique de l'insecurite et de tout ce qui es national, dès qu'il sentent que leurs rangs se rompent
c'est un exemple assez connu mais qui sert dans bien d'autre cas
ily a 15 un de mes supérieurs m'avait dis regarder ils commencent à nous prechauffer sur l'euthanasie avec des exemples de cas dramatiques, pour faire passer la loi dans 20 ou 30 ans
à l'époque je m'était dis qu'il délirait et maintenant je pense qu'il avait bien raison car elle ne va pas tarder, la loi
maintenant je prends note qu' en plus des mots, tu me prends aussi pour un abruti fini. Ah
bon c'est des vrais gens comme moi qui tapent sur leur clavier et avec qui je communique?
mais va j'essaye de ne pas le prendre mal au point de t'insulter, après tout t'es sur ton blog...
Je te dis juste de faire attention à ce que tu écris. C'est trop facile de dire ensuite qu'on t'a mal compris. Non. Tu t'es mal exprimé tu as été insultant.
RépondreSupprimerArrêtons là. Si tu veux manier les mots, apprends leur valeur.
J'ASSUME COMPLETEMENT ET SANS REMORDS LE FOND DE TOUT CE QUE J'AI PU ECRIRE?, JE VOULAI SIMPLEMENT SIGNIFIER QUE J'AURAI PU LE DIRE DE FACON PLUS SOFT
RépondreSupprimerAPRES DEUX SOIREES PASSEES SUR UN BLOG JE REALISE LE TEMPS QUE CELA FAIT PERDRE,SURTOUT AU VU DE LA STERILITE DES DISCUSSIONS (MIS A PART M'INSULTER ET DIRE QUE JE SUIS AGRESSIF, TU N'AS CONTRE AUCUN DE MES ARGUMENTS)
BREF, N'AYANT PAS LE TEMPS DE LE PASSER A LE PERDRE? JE TE LAISSE A TES CERTITUDES DE BON CITOYEN GAUCHISANT ET TE SOUHAITE BIEN DU PLAISIR
TU SAIS QUI...
Anonyme,
RépondreSupprimerArrête de crier. Si tu perds ton temps ici, je vois bien une solution...
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RépondreSupprimeryou can also combat a awareness up our additional [url=http://freecasinogames2010.webs.com]casino[/url] orientate at http://freecasinogames2010.webs.com and substitute with a view in verifiable adventures !
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