En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
Je viens de supprimer Extra Ball de ma blogroll. C'est un truc que je fais souvent (les blogs non actifs) mais c'est la première fois que ça me fait de la peine.
Ah, zut alors. zut, trois fois zut et merde aussi. J'espère qu'il a fait une fausse manoeuvre. Qu'il s'agit d'une réaction intempestive (les Italiens sont impulsifs et souvent très cons) à une scène de ménage (Je t'avais prévenu, si tu laisses encore notre fille seule dans son bain jusqu'à ce que l'eau soit plus froide que celle de ton pastis et que la peau de la pauvre petite devienne aussi ridée et bleue que celle d'un vieillard mourant, j'explose tes quatorze ordinateurs et je mets ton I phone dans le puits.) Dorham est un des internautes que je préfère lire un peu partout. Je ne veux pas qu'il s'en aille.
S'il a eu un coup dur et veut consacrer son temps disponible à autre chose qu'au blogage-commentage, je lui adresse toute ma compassion. S'il a eu un coup de vague à l'âme aussi.
Reviens, Dorham, on te fera des liens ! Je lirai tous tes textes abscons, je te ferai des chouettes commentaires, je chanterai tes louanges, je serai plein de fois de ton avis, reviens avec ta femme aussi qu'est rigolote, reviens avec tes dix-sept filles...
Demain on rase gratis, merde c'était hier, bonne continuation Dorham, peut être viendrez vous quand même commenter? quand le jazz est, quand le jazz est là, je suis sur que vous n'êtes pas loin :)
C'est toujours triste, même choquant, de tomber sur ce genre de page. J'ai le souvenir d'une grande tristesse il y a quelques temps, de ce genre de choc de voir la page bloggueur, celle là, s'afficher. Je ne dis pas ça avec ironie. J'ai eu énormément de peine. Parce qu'une part de vie s'en allait un peu. Beaucoup de peine.
Donc Dorham aujourd'hui, Mtislav hier, ça me fait toujours un petit quelque chose. UN blog qui meurt, c'est un peu la personne derrière qui s'en va dans un coin où ça sera difficile de la voir... C'est, pas marrant.
Je dis ça, je ne connais pas trop Dorham, ni son blog. Réflexion personnelle qui allait ailleurs... (avec le soupir que je pense très fort)
C'est la vie ! Ce n'est qu'un blog qui ferme... Dorham (le type avec qui je papote par mail et avec qui je bouffe deux fois par an) est toujours bien vivant !
J'ai eu le même message quand j'ai essayé de télécharger mes -superbement magnifiques...- photos ce matin! Quelques jurons sont sortis tout à fait inopinément de ma bouche, mais j'ai vaincu !
Nicolas, je suis sur que tel un poisson il renaitra de ses sandres, je suis pour son retour, je ne pourrai pas longtemps consoler la Mere castor. Je partage absolument l'avis de FalconHill
Une pareille déclaration, ça me rend tout chaud :) même, je suis touché !
Pas de malaise ni rien, il s'agit d'une décision réfléchie (aboutie paradoxalement sous l'impulsion en effet), pas de coup de blues ni rien. Il n'est pas exclu qu'un beau jour, je commette encore un blog (ou autre choses) mais en l'état actuel des choses, sur le moyen terme, c'est plus trop possible... J'ai d'autres choses auxquelles j'ai choisi de me consacrer.
Et oui, je continuerai à lire certains élus d'entre vous. (dont vous of course).
Monsieur Poireau, si, si, raison de plus ! (voyons voyons... je vais méditer un article anticléricaliste primaire, puis un sur le cinéma italien largement surévalué, puis un sur...)
Suzanne a le nez, un billet sur une surévaluation du cinéma italien. Genre un truc pour dire que Visconti, c'est surfait peut provoquer chez moi une sorte d'attaque pulsionnelle...
La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...
Je veux bien signer, mais où?
RépondreSupprimerJ'ai dit "lançons", je n'ai pas dit que c'était fait !
RépondreSupprimerJe viens de supprimer Extra Ball de ma blogroll. C'est un truc que je fais souvent (les blogs non actifs) mais c'est la première fois que ça me fait de la peine.
RépondreSupprimerAh, zut alors.
RépondreSupprimerzut, trois fois zut et merde aussi.
J'espère qu'il a fait une fausse manoeuvre. Qu'il s'agit d'une réaction intempestive (les Italiens sont impulsifs et souvent très cons) à une scène de ménage (Je t'avais prévenu, si tu laisses encore notre fille seule dans son bain jusqu'à ce que l'eau soit plus froide que celle de ton pastis et que la peau de la pauvre petite devienne aussi ridée et bleue que celle d'un vieillard mourant, j'explose tes quatorze ordinateurs et je mets ton I phone dans le puits.)
Dorham est un des internautes que je préfère lire un peu partout. Je ne veux pas qu'il s'en aille.
Il l'a fait volontairement (mais a sauvegardé ses textes).
RépondreSupprimerJ'espère que "le commentateur" Dorham continuera à passer...
S'il a eu un coup dur et veut consacrer son temps disponible à autre chose qu'au blogage-commentage, je lui adresse toute ma compassion. S'il a eu un coup de vague à l'âme aussi.
RépondreSupprimerIl y a un tas de raisons ! Pas de coup dur !
RépondreSupprimerFlute, même pas de message d'adieu. Pas moyen de polleur son blog avec 500 commentaires...
RépondreSupprimerNon, le message d'adieux aurait été impossible puisque le blog est fermé !
RépondreSupprimerPourquoi lui, pourquoi lui ? alors que des millions de blogs ne disparaissent PAS ?
RépondreSupprimerC'est vrai, c'est la bonne question !
RépondreSupprimerReviens, Dorham, on te fera des liens ! Je lirai tous tes textes abscons, je te ferai des chouettes commentaires, je chanterai tes louanges, je serai plein de fois de ton avis, reviens avec ta femme aussi qu'est rigolote, reviens avec tes dix-sept filles...
RépondreSupprimerDemain on rase gratis, merde c'était hier, bonne continuation Dorham, peut être viendrez vous quand même commenter?
RépondreSupprimerquand le jazz est, quand le jazz est là, je suis sur que vous n'êtes pas loin :)
Où c'qu'on signe ?
RépondreSupprimerArrêtons d'être hypocrites ! C'est quand même une personnalité très trouble. Un commentateur d'une mauvaise foi palpable.
RépondreSupprimerBalmeyer va gagner une place au classement Miko. Je ne suis pas sûr qu'il soit plus "équilibré". C'est la décadence.
Fidel,
RépondreSupprimerN'espérez pas vous débarrasser de Dorham comme ça.
Zoridae,
Je ne sais pas comment faire une pétition. Tiens ! Je vais la lancer sous Twitter, il y a un truc exprès.
mtislav,
De toute manière, aucun des deux n'est crédible.
C'est toujours triste, même choquant, de tomber sur ce genre de page. J'ai le souvenir d'une grande tristesse il y a quelques temps, de ce genre de choc de voir la page bloggueur, celle là, s'afficher.
RépondreSupprimerJe ne dis pas ça avec ironie. J'ai eu énormément de peine. Parce qu'une part de vie s'en allait un peu. Beaucoup de peine.
Donc Dorham aujourd'hui, Mtislav hier, ça me fait toujours un petit quelque chose. UN blog qui meurt, c'est un peu la personne derrière qui s'en va dans un coin où ça sera difficile de la voir... C'est, pas marrant.
Je dis ça, je ne connais pas trop Dorham, ni son blog. Réflexion personnelle qui allait ailleurs... (avec le soupir que je pense très fort)
bonne semaine
C'est la vie ! Ce n'est qu'un blog qui ferme... Dorham (le type avec qui je papote par mail et avec qui je bouffe deux fois par an) est toujours bien vivant !
RépondreSupprimerJ'ai eu le même message quand j'ai essayé de télécharger mes -superbement magnifiques...- photos ce matin! Quelques jurons sont sortis tout à fait inopinément de ma bouche, mais j'ai vaincu !
RépondreSupprimerNicolas, je suis sur que tel un poisson il renaitra de ses sandres, je suis pour son retour, je ne pourrai pas longtemps consoler la Mere castor.
RépondreSupprimerJe partage absolument l'avis de FalconHill
Ciguë,
RépondreSupprimerIl y a eu un arrêt pour maintenance de blogger ce matin.
Fidel,
Oui, ce type ne peut pas s'empêcher d'écrire. Il reviendra !
Je ne connais pas bien Dorham, mais un blogqui ferme c'est un peu de liberté qui s'en va...
RépondreSupprimerEstelle92,
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c'est le terme ! Il n'a pas été fermé sous la contrainte...
Suzanne,
RépondreSupprimerUne pareille déclaration, ça me rend tout chaud :) même, je suis touché !
Pas de malaise ni rien, il s'agit d'une décision réfléchie (aboutie paradoxalement sous l'impulsion en effet), pas de coup de blues ni rien. Il n'est pas exclu qu'un beau jour, je commette encore un blog (ou autre choses) mais en l'état actuel des choses, sur le moyen terme, c'est plus trop possible... J'ai d'autres choses auxquelles j'ai choisi de me consacrer.
Et oui, je continuerai à lire certains élus d'entre vous. (dont vous of course).
Merde ! Il est revenu.
RépondreSupprimerMtislav,
RépondreSupprimerla décadanse même...
Ben pourquoi ?
RépondreSupprimerParce que.
RépondreSupprimer@ Nicolas : c'est dommage. Son blog va me manquer.
RépondreSupprimerVisiblement, on aura toujours ses commentaires !
RépondreSupprimerZut, on ne peut pas dire de méchancetés, il lit encore les commentaires ! :-)))
RépondreSupprimer[A bientôt Dorham… ;-)) ]
Monsieur Poireau, si, si, raison de plus !
RépondreSupprimer(voyons voyons... je vais méditer un article anticléricaliste primaire, puis un sur le cinéma italien largement surévalué, puis un sur...)
Suzanne a le nez,
RépondreSupprimerun billet sur une surévaluation du cinéma italien. Genre un truc pour dire que Visconti, c'est surfait peut provoquer chez moi une sorte d'attaque pulsionnelle...
Heureusement que l'orgueil sarde est plus fort :)
C'est bien quand tu disparais, je reçois plein de commentaires.
RépondreSupprimerOh, vraiment, quel dommage...! (méchante ironie, cela va de soi).
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