En salle

18 juillet 2009

La drogue dans les banlieues


"Drugs Lovers" de Romuald Parshad
envoyé par 6tmd. - Découvrez plus de vidéos créatives.

Découvrez Romuald Parshad à l'occasion de cette conférence (2006). Les photos défilent en bas de page.

23 commentaires:

  1. Bouh on se sent drogué en regardant cette vidéo, c'est bien fichu ! Les photos aussi sont très fortes.

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  2. J'ai peur de ne pas comprendre. Il y a un sens à cette vidéo? D'abord le petit message moral sur "nous sommes tous des drogués en puissance" puis des images violentes et hyper-marginales...
    "Requiem for a dream" vous connaissez? Parce que sinon au sujet des pratiques addictives, voila un film qui dépote. Dites moi svp que j'ai rien compris parce que sinon cette vidéo n'a pas lieu d'être et nie toute possibilité de penser. Merci quand même!

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  3. MGP,

    tu peux répondre à l'andouille, j'ai la flemme.

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  4. A propos de drogue, les films me paraissent toujours un peu caricaturaux. Par exemple, ça ne montre pas le petit cadre sup qui s'envoie sa dose pour être performant au travail, ça parle toujours des banlieues comme point central.
    En y réfléchissant, je me demande comment on pourrait aborder ce sujet de manière plus "réalisteé, mais je ne vois pas ! :-))

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  5. MGP,

    Oui. Tiens, des photos de Romuald.

    Poireau,

    Le sujet du film est "la drogue dans les banlieues" ! En outre, le petit cadre sup n'est pas emblématique, il n'est pas confronté aux problèmes de délinquance et autres misérabilités de ces banlieues pourries. Il a son fournisseur attitré, à qui il passe des commandes comme au commerçant de proximité, en bas de chez lui.

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  6. L'artisanat, première entreprise de France.
    ;-D

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  7. C'est vrai, ça, Monsieur Poireau...
    Pourquoi toujours stigmatiser les banlieues ? Ce n'est guère réaliste.

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  8. C'est du grand n'importe quoi. Des clichés complètement à coté de la plaque. Celui qui a fait ce film n'a visiblement jamais fumé un joint de sa vie.

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  9. Abruti,

    pourquoi faudrait-il avoir fumé un pétard pour en parler. Aujourd'hui on parle beaucoup des premiers pas sur la lune.

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  10. L'abruti a un DEA de droit public avec mention très bien en fumant quotidiennement des joints depuis l'âge de 17 ans.
    C'est à cause des gens comme vous qui sortent leurs airs de sainte nitouche dès qu'ils entendent le mot "drogue" que les amateurs de cannabis sont relégués au rang de délinquants et poursuivis par les milices sarkozystes.

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  11. On frôle le sublime ! J'ai un commentateur qui au bout d'un échange nous sort ses diplômes. Un DEA en fumage de petards, si j'ai bien compris. Tous les autres n'ont plus que le droit de fermer leurs gueules.

    Il va encore falloir que je fasse un billet sur les trolls. Si je n'arrive pas, je ferai un billet sur les types qui se tournent en ridicule et qui vont continuer à argumenter pour sauver la face.

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  12. Bah, inutile d'aller plus loin. Continuez à jouer les moralisateurs, c'est dans l'air du temps.

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  13. Quel moralisateur, connard ? Tu m'explique que tu as un DEA et que je dois fermer ma gueule... Tu rentres donc à merveille dans la case "trou du cul" de mon carnet d'adresses.

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  14. Quelle susceptibilité ! Je n'ai dit à personne de fermer sa gueule, j'émettais une opinion divergente par rapport à celle de la vidéo présentée ici, qui est, je le répète à coté de la plaque.
    Allez bon après midi, pensez à prendre vos calmants.

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  15. C'est toi qui parle de moralisateur et dit que je n'y connais rien, abruti.

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  16. Et qu'est ce que le DEA vient faire là dedans ? :-(

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  17. Hey, Nicolas, moi aussi j'ai un DEA ! Bin quoi ?
    La drogue dure, la piquouze, j'ai vécu ça de très près alors les fumeurs qui se la pètent ils sont mignons mais je ne vois pas pourquoi ils viennent se poser en spécialistes.
    Pour préciser : le réalisme ou le fait de faire ou non le tour des différents cas de figures en matière de drogue m'importe peu, c'est une production filmique que je trouve bien foutue. Personne ne songe à hurler au cliché quand un film parle d'une histoire d'amour entre un homme et une femme alors zut. C'est une fiction bordel, dont le propos est de "retracer le chemin de la dépendance", pas un docu exhaustif !

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  18. Mgp,

    je n'ai rien contreles dea ! C'est juste l'autre andouille qui me dit que je dois la fermer parce que jen'en ai pas (pour résumer)

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  19. le fumeur de joint tu as le droit de ne pas aimer mon film, mais j'ai pas trop l'habitude de m'exprimer sur un blog bref passe me voir à la comète je t'expliquerai parce que tu pars en couille! Quant à Suzanne si ce n'est pas la réalité qu'est-ce? Il ne s'agit pas de stigmatiser mais plutôt de comprendre sans juger! Sinon nico à demain!

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  20. J'ai oublié de remercier ceux qui ont apprécié mon travail et ceux qui ne l'ont pas apprécié!
    Romuald

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  21. Romuald,

    Merci pour ton passage !

    On se voit vers midi (j'ai rendez-vous avec Patrice et Tonnegrande pour l'apéro !).

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  22. Il y a eu incompréhension, je n'ai jamais tenté d'imposer quoi que ce soit comme argument d'autorité. Je voulais simplement dire que très loin des clichés ici répandus, on peut avoir fait des études et se bouger le cul tout en fumant pour faire mieux passer la chose. J'aurais pu dire : "j'ai un ami qui est le plus gros fumeur que je connaisse et le caïd de son école d'ingé".
    Y'en a pour qui c'est l'apéro, d'autres c'est le pétard, chacun son truc. Et à chacun de tolérer que l'autre vive différemment.


    à Romuald : ce film passe à coté du sujet. Il est influencé par des films comme "requiem for a dream" ou "trainspotting" qui parlent tous de l'héroïne. Le cannabis n'a rien à voir, c'est encore moins dangereux que l'alcool.
    Cela dit sur les qualités cinématographiques du film je n'ai rien à dire. Je suis à Marseille si tu passes dans le coin je t'offre un pétard puisque tu n'es pas très blog.

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