En salle

10 juillet 2009

Salaire des patrons - communiquons !

Xavier Bertrand, chef de l'UMP, déclare ce matin que son parti est favorable à une loi sur les salaires des patrons. Ah ! Et qu'y trouverons-nous ? Ca... Il a oublié de l'indiquer. Pourrait-il nous indiquer de quelle manière il va interdire les primes et autres machins ?

"Il a dit penser en particulier à légiférer pour interdire le cumul entre contrat de travail et mandat social" !

Ouais... Supprimer un truc ! Et doubler l'autre ?

Quelqu'un peut-il lui rappeler que la seule solution est de jouer au niveau des impôts ? Et que ça n'est pas vraiment dans l'esprit de l'action de Nicolas Sarkozy ?

20 commentaires:

  1. J'en parle à Xavier, je lui rappelle que cela serait bien qu'ils oublient leur promesse électorale de bouclier fiscal et autres trucs qui favorisent l'inégalité.

    Je pense qu'il va me comprendre...

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  2. Ah ah, Xavier Bertrand ou l'art de brasser du vent.

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  3. il est bien propre sur lui comme tout ces ex petits b....leurs du XVIème arrdt ou de Neuilly ou de Boulogne qui sont nés avec une cuillère d'or dans la bouche...

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  4. Ah ! la cuiller d'argent (et non d'or : révisons nos classiques...) dans la bouche : elle en aura fait du profit, celle-là ! Presque autant que les "200 familles" de vos arrière-grands-pères, mes drolets !

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  5. L'expression « deux cents familles » désignait les deux cents plus gros actionnaires (sur près de 40 000) de la Banque de France pendant l'Entre-deux-guerres.

    Tu fais référence à cela ?

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  6. Oui. Mais en fait, plutôt à l'espèce de "tic de langage" que cette invocation était devenue, notamment dans la bouche des dirigeants communistes de l'époque : tout et n'importe quoi était de la faute des 200 familles. Pendant ce temps, à droite, on voyait du complot judéo-maçonnique partout : même connerie simplificatrice et bien commode.

    Après la guerre, les communistes ont laissé tomber les 200 familles (elles se sont évanouies ?) et tout est devenu la faute de la CIA : c'était marrant aussi.

    Donc, pour résumer, j'ai trouvé que le lieu commun, le "syntagme figé" du jeune branleur de Neuilly né avec une cuiller d'argent dans la bouche relevait à peu près du même type de réflexe conditionné.

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  7. Ca voudrait dire que le décret Fillon n'a rien réglé????

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  8. Plutôt qu'une loi sur les salaires des patrons, il conviendrait de légiférer au niveau européen sur la répartition des richesses dans l'entreprise.
    La disproportion en faveur des revenus du capital est aberrante.

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  9. @Didier

    Je pense que tu n'a pas assez fréquenté la haute du NAP, les soirées où ces jeunes c..s font péter le champagne sur le Picasso de Papa, c'est ethnologiquement intéressant,..

    Ce n'est pas du gateau,
    Tel est notre ghetto,
    Salut, tu vas bieeeeeen

    Mais bon, feuj d'origine, je ne me permettrais aucun ostracisme

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  10. L'impôt ? Nicolas, tu n'y penses pas !
    :-))

    [Manquerait plus qu'on soit en république, tiens ! ].

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  11. Feuj ? Feuj ? C'est ce que j'appelle : employer les mots de l'ennemi...

    Quand on a l'honneur d'être juif, on ne dit pas "feuj".

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  12. Oui, un honneur gagné à Dachau

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  13. Comme d'hab, tu frôles les limites, Didier, cela te va

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  14. Ah ? Quelles limites ?

    Et Dachau n'était pas précisément un camp pour les juifs, mais plutôt pour les opposants politiques : les juifs étaient plutôt dirigés vers la Pologne, à ma connaissance.

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  15. Didier Goux : Dachau était un camp pour opposant au début (comme Auschwitz en Pologne d'ailleurs) mais est devenu un camp d'extermination plus tard !
    :-|

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  16. A part ça, c'est moi qui suis hors-sujet, à l'occasion...

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  17. Poireau : dachau n'a jamais été un camp d'extermination, mais de concentration (ce qui ne veut pas dire qu'on n'y mourrait pas en grand nombre, du reste).

    Les camps d'extermination, tous situés en Pologne, on été au nombre de six = Auschwitz-Birkenau, Treblinka, Sobibor, Maïdanek, Belzec et Chelmno.

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  18. Les typologies on s' en fout, ma famille paternelle a crevé a dachau, et chez les juifs on dit souvent feujs cher monsieur goux même si cela ne vous sied pas

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