Vive Loudéac, d'ailleurs. Le règlement de compte amusera des générations de blogueurs. La démocratie exemplaire... Et l'agression de la Sénatrice par le Maire. Il fallait l'inventer. Loudéac l'a fait. En tant que number one du bazar, j'ai une certaine chance : ce que Nicolas Sarkozy n'ose pas faire au niveau national, le maire de mon patelin de naissance le fait au niveau local.
Décidément, il me plaît de plus en plus, votre maire ! Je me demande si je ne vais pas me faire Loudéacien, moi...
RépondreSupprimerDidier Goux : Loudéac a déjà un troll (au moins !) ça suffit comme ça !!! :-))
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerAh, non, hein ! On est déjà assez sinistrés.
Poireau,
Merci de nous défendre.
Sans étiquette le maire ? Sans façons devrait-on dire.
RépondreSupprimerMaire sans étiquette (certes non)
RépondreSupprimerMaire sans façons (certes oui)
Alors à quand un maire sans reproches ?
Il a un beau gland à son écharpe, et comme un vide à sa veste. Le monde est mal fait!
RépondreSupprimerUn village gaulois sans bagarre n'est pas vraiment un village hein ? Même si cela ne ressemble pas vraiment à un village...
RépondreSupprimerAh, mais c'est qu'il a besoin de soutiens, ce brave Français-là !
RépondreSupprimerBon, dans un esprit de conciliation, je propose un moyen terme : je vais faire Loudéacien clandestin, comme job. Comme ça, on me verra moins. ça joue ?
haha. trop marrant l'histoire du troll.
RépondreSupprimerJe trouve l'histoire assez marrante. Un maire a le droit de se révolter et pour se faire entendre il faut frapper fort.
Là effectivment il aurait frappé un peu fort il faut l'avouer.