Hasard du calendrier (nous sommes matinaux et c’était son anniversaire), avec Yann, hier, nous avons ouvert le bal des billets de blogs à propos de la mort de Mitterrand. Comme prévu, les hommages sont partagés, dans tous les sens du terme (voir par exemple Elmone et Marc, mais aussi Gildan et tant d'autres).
Melclalex a la riche idée de nous repasser l’hommage de Jacques Chirac.
Le Coucou se souvient de cette autre époque, où la fonction Présidentielle n’était pas dégringolée dans des bas-fonds politiques. Nicolas Sarkozy annonçait son mariage à EuroDisney. Jacques Chirac relançait les essais nucléaires. François Mitterrand abolissait la peine de mort.
Surtout, Guy Birenbaum se souvient qu’il était au cœur de l’actualité, en ce matin du 8 janvier 1996.
Le coup de fil qui change une vie.
Bon anniversaire Nicolas !
RépondreSupprimerCe matin c'est une somme de très beau texte à lire. Avec une pointe d'émotion.
RépondreSupprimerNicolas,
RépondreSupprimerMerci !
David,
Tiens ! J'ai oublié le tien... Y'en avait vraiment beaucoup, ce matin.
Bon anniversaire.
RépondreSupprimerLa fonction présidentielle n'a pas attendu Chirac ou Sarko pour dégringoler...
L'utilisation des fonds publics pour Mazarine, les écoutes illégales, la libéralisation du secteur bancaire, c'est lui. Hélas.
Bon, ce n'est pas mon anniversaire, les gars.
RépondreSupprimerDPP,
Ne mélenche pas tout.
Je l'aime bien mon texte...
RépondreSupprimerJe l'aime bien mon texte...
RépondreSupprimerAlors là, grandiose ! Ce n'est même plus "Mitterrand et moi", mais "Moi et Mitterrand" (je parle de l'articulet de votre ami) !
RépondreSupprimerLa cerise sur le gâteau, ce sont les "personnalités" convoitées : Attali, Séguéla et Benamou : la trilogie des baudruches.
Guy,
RépondreSupprimerIl est très bien ton billet. La preuve : Didier Goux en dit du mal.
Didier,
On s'en fout. Vous faites bien des billets sur vos relation avec Renaud Camus.
J'aimerais VRAIMENT qu'à défaut de changer LA vie, ça ait au moins, déjà, changé DES vies... (en vérité je crois bien que oui)
RépondreSupprimerDidier n'a aucun "Gout"
RépondreSupprimerOn le lui a déjà fait non ?
Monsieur Burlot : non, non, jamais, je vous assure. D'ailleurs, l'inventivité de votre humour me laisse sans voix.
RépondreSupprimerDavid,
RépondreSupprimerN'oublie pas mon propre patronyme, certains jeux de mots ne m'amusent pas.
Didier,
Bah !
J'ai bien aimé le billet de Guy, moi aussi. Quelle histoire ! Même si je suis surpris de la surprise des protagonistes : les simples citoyens savaient l'ancien président près de la mort, alors des gens informés…
RépondreSupprimerQuel aigri grisonnant ce Didier Goux…
RépondreSupprimerPour Mitterrand, bon, trop de billets hommage tue l'hommage ? :-)
[Mais je vais lire Guy juste pour embêter Didier, ça lui fera les pieds ! :-) ].
Hommage ! O désespoir !
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