Je n’aime pas réagir aux faits divers. Toujours l’impression qu’on va nous pondre une loi « il faut interdire de laisser des enfants seuls dans une pièce avec une fenêtre. » Ainsi, la nouvelle du suicide de la fillette de 9 ans m’a laissé de marbre, hier soir, avec néanmoins une pensée pour les parents : il n’y a pas de drame plus affreux que de perdre un enfant. Par suicide, je n’arrive pas à imaginer ce qu’ils peuvent ressentir.
Elle m’avait laissé de marbre jusqu’à ce que je lise ce billet de Zette, en faisant ma revue de blog, ce matin.
Emu, le Nicolas…
(à lire également chez FalconHill, à qui je pique la photo)
On a eu la même réaction en lisant le billet de Zette...
RépondreSupprimerJ'ai omis de dire pour l'info qui sert à rien, mais la photo, c'est Bordeaux... (une semaine avant un soir d'aout sympa par chez toi)
certains enfants subissent des souffrances de grands, et envisagent des solutions de grands, c'est le prix à payer dans une société où les gamins doivent être autonomes et "compétents" dès leur rentrée en maternelle, à 3 ans !
RépondreSupprimerOulala,
RépondreSupprimersans commentaires...
Pareil que Dorham.
RépondreSupprimerPareil que les deux ci-dessus.
RépondreSupprimerFalconHill,
RépondreSupprimerOuais...
Isabelle,
Bah ! Crois tu vraiment que les enfants sont plus malheureux maintenant qu'il y a cinquante ans ?
Dorham, Didier, Suzanne,
Bon, d'accord.
Je ne comprend pas comment on peut se suicider dans ces conditions à 9 ans. Bordel…
RépondreSupprimer:-|
Poireau,
RépondreSupprimerEst-ce compréhensible ?