En salle

28 janvier 2011

La révolution fiscale

Je n’ai pas vraiment le temps de vous faire un joli billet politique, ce matin. Je vous envoie donc chez Polluxe. « A l’heure où le gouvernement planche sur une réforme fiscale, l’économiste Thomas Piketty et deux de ses confrères ont eu la bonne idée de lancer un site proposant une « révolution fiscale ». »

J’ai survolé le site et l’étudierai ultérieurement. Il permet notamment des simulations d’imposition, ça a l’air très rigolo (surtout pour un gugusse comme moi qui aime bien jouer avec les chiffres).

Je n’ai fait que survoler le billet de polluxe (je suis abonné : je viens de recevoir un mail) mais je vois que je suis tagué. Je n’ai pas encore lu la question…

Allez étudiez ça chez Polluxe et répondre à ma place sur vos blogs.

Et que ça saute, bordel ! On ne fera pas la révolution fiscale sans bouger les oreilles et les doigts sur les claviers.

2 commentaires:

  1. La principale révolution fiscale devrait consister à :
    - taxer le carbone (sans aucune dérogation),
    - taxer les déchets non ré-exploités (reconditionnés, recyclés, etc.),
    - taxer les rejets polluants de l'industrie et de l'agriculture.

    Toutes ces taxes pourraient ensuite être réparties selon le système bonus-malus directement au moment de payer ses impôts.

    RépondreSupprimer
  2. Green IT,

    Je ne suis pas partisan d'une fiscalité verte : les riches n'ont pas plus de droit que les pauvres à détruire la planète. La fiscalité verte est une hérésie sociale et morale : je ne sais pas si tu te rends que ça correspond à acheter un droit à polluer.

    Par contre, je suis pour une fiscalité verte au cas pas cas. Par exemple, il faudrait taxer beaucoup plus le transport des marchandises (pour qu'il devienne moins cher de produire sur place et qu'on évite de polluer). Autre exemple : ne subventionner que l'agriculture bio (ça tient en 4 mots, c'est plus compliqué).

    Pour le reste, ça n'est que de la foutaise. J'ai deux brosses à dents électriques qui sont tombées en panne consécutivement. Je n'avais pas d'autre choix que de les foutre dans la poubelle normale (avec la batterie).

    Alors, j'ai arrêté les brosses à dents électrique. La question ne devrait pas être la taxation des batterie des brosses à dent électriques en fonction des recyclages mis en oeuvre mais l'utilité des brosses à dent électriques.

    Si les brosses à dents électriques ne sont pas utiles à la santé publique et sont mauvaises pour l'environnement, il faut les interdire.

    Je caricature, évidemment. Il n'empêche que monter des usines à gaz fiscale n'est pas sérieux...

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...