Jean-Pierre Raffarin a un don pour aiguiser ma jovialité par les quelques petites phrases qu’il peut sortir à l’occasion. « Moi j'ai toujours été favorable à un acte II du quinquennat. Je pense qu'il faudra marquer un temps nouveau, avant l'été probablement. »
Quelqu’un peut-il prévenir M. Raffarin que différents remaniements ont déjà eu lieu, dont, le dernier important, il y a environ trois mois ?
L’acte II du quinquennat, à un an de sa fin, ça commence à faire un peu tard, non ?
« Je pense qu'il faudra une relance politique après les élections cantonales. » N’est-ce pas un peu tard ? Souhaite-t-il redevenir Premier Ministre ? Mesure-t-il les conséquences de ses propos ? Autant les français ne serait probablement pas fâchés du départ de Michèle Alliot-Marie (ce qui reste d’ailleurs à prouver, notamment pour ce qui concerne les nostalgiques de l’ancien RPR), autant un nouveau changement majeur confirmerait la totale incapacité de l’UMP à trouver une équipe de Gouvernement fiable et marquant une stabilité dont tout groupe a besoin pour travailler sereinement.
« C'est au président de le définir, mais ça peut être des remaniements, ça peut être des textes à l'Assemblée nationale, ça peut être aussi des grands débats, ça peut être un congrès. »
Tiens ! Il pourrait organiser une coupe du monde de foot, ça plait toujours au peuple…
« Il y beaucoup d'initiatives politiques que peut prendre le président de la République. Je pense qu'il faut une initiative politique après les cantonales. »
Enterrer la réforme territoriale ?
Jean-Pierre Raffarin est en fait un éternel optimiste. Il devrait pourtant voir que le gouvernement est en déroute totale. Ou alors, il le voit, il a raison, il faut tout changer.
Si Raffarin commence à avoir raison...Mieux vaut tard que jamais.
RépondreSupprimeracte I : illusion
RépondreSupprimeracte II : disparition
Ah, si la route est droite...
RépondreSupprimerLe gouvernement est mort mais Raffarin grimpe encore ?
RépondreSupprimer:-))
Le gouvernement n' y est pour rien. Raffarin se trompe de cible encore une fois, il veut dédouaner son favori. Pourvu que ça dure encore !
RépondreSupprimerCa peut être une bonne guerre comme en 14
RépondreSupprimerAu Moyen Age, et jusqu'au début du XVIIIe siècle , le congrès était une épreuve judiciaire, généralement demandée par l'épouse et ordonnée en justice, que devait subir son mari dans le but de prouver son impuissance sexuelle en vue d'une annulation de mariage ou d'un divorce.
RépondreSupprimerIl a raison organisez un congrès pour officialiser l'impuissance actuelle des gouvernants
Suite sur l'épreuve du congrès (du latin congressus pouvant signifier “commerce charnel”), qui supposait l'accomplissement intégral du “devoir conjugal” en présence de témoins
RépondreSupprimerhttp://saadiennes.unblog.fr/2010/03/05/autrefois-le-congres/
Yann,
RépondreSupprimerMais non, mais non.
Elc,
Le gosier est raide.
Poireau,
Tant qu'il ne bande plus...
Captain,
Il veut surtout vivre...
Nicocerise,
Ah ! Une page culture !