Ce n’est pas sans tristesse (si…) que j’apprends
ce matin que la Société Générale et le Crédit Agricole ont vu leurs notes
dévaluées par Moody’s alors que la BNPP tire son épingle du jeu. Disparitus
l’avait prédit dès dimanche.
C’est une phrase de la dépêche qui m’interpelle : « la révision tient à la réévaluation de l'aide que
pourraient fournir les pouvoirs publics en cas de crise grave. »
Vous avez le droit de lire plusieurs fois pour bien comprendre.
Je vais traduire : les porteurs de cravates de cette
honorable société américaine spécialisée dans l’évaluation des machins, nous
fait dire qu’en filant du pognon de nos impôts à ces boites, ils pourraient
augmenter leurs notes afin de satisfaire les actionnaires.
Notre réponse est unanime : mouarf.
Merde, ma banque...
RépondreSupprimer"Le bon sens à côté de chez vous ..."
RépondreSupprimerBen ...
Je rajouterais foutage de gueule, où bien, c'est ça t'as raison...
RépondreSupprimerMouarf, pareil.
RépondreSupprimerCette phrase est clef, tu as raison.
RépondreSupprimerBaroin est en Chine, deux jours, c'est une autre news aussi.
Je comprends différemment la phrase. Les banques voient leur note dégradée à cause de la "réévaluation de l'aide publique" disponible en cas de "crise grave".
RépondreSupprimer=> Moody's juge que, l'Etat étant dans la merde, il ne renflouera pas (ou pas autant que prévu) le CA en cas de crise grave. D'où dégradation collatérale de sa note.
Quand vous aurez des nouvelles fraîches du Crédit mutuel, pensez à me les transmettre…
RépondreSupprimerréevaluation de l'aide publique : Oui, on les nationalise , on vire les dirigeants nuls sans prime, on contrôle les rémunérations et on change le périmètre d'action de ces banques.
RépondreSupprimer