« Il n'a occulté aucune des
difficultés que nous traversons » a dit Jean-François
Copé à propos de l’interview de Nicolas Sarkozy. C’est grâce à ce genre de
petites phrases, finalement, que je finis par m’amuser avec la politique.
A ma connaissance, Nicolas Sarkozy n’a pas parlé de chômage.
Je n’ai pas vu d’articles de presse où on disait qu’il avait parlé de logement, ni même vraiment de pouvoir d'achat.
Ni même d’ailleurs des thèmes fétiche de son électorat : la sécurité, l’immigration
et tout ça.
Ce ne sont donc pas des difficultés que nous traversons.
Ce ne sont donc pas des difficultés que nous traversons.
Au fait ! Vous avez vu ? Les prestations
familiales ont été gelées jusqu’en avril.
Elles seront donc augmentées entre les deux tours ?
Il est parfaitement vrai que nous ne traversons pas les difficultés dont tu parles ...
RépondreSupprimeron s'y enfonce, on s'enlise, on s'y vautre,
et on voudrait bien les traverser pour aborder sur l'autre rive !
Quel tête d'abruti il a le défenseur de son maître, avec son petit poing levé!
RépondreSupprimerJe n'ai jamais vu quelqu'un comme lui. Buté, aveugle, fidèle comme un petit toutou sans ambition ni carrure. Il parle comme il pense, nous amuse, se ridiculise... On peut en rire, mais pas trop longtemps.
RépondreSupprimerVivement 2012.
S'il n'a pas parlé de nos priorités politiques, c'est de la faute des 35 heures ! :-)
RépondreSupprimer[Il est beau le p'tit Copé avec son poing serré, tel un révolutionnaire en cravate ! :-) ].
Merci pour le lien. Quand j'ai vu cela j'étais tellement en colère qu'il a fallu que j'en fasse une courte note, même si je disposais de peu de temps.
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