C’est ma copine
Karine qui a mis cette photo sur son profil Facebook et je vous invite à la
lire, la photo, pas Karine, encore que une copine est souvent plus lisible qu’une
photo qui est surtout regardable. Karine aussi est très regardable mais je m’égare.
Revenez lire les conneries que j’ai à raconter ensuite avant de vous désabonner
définitivement de mon blog.
Nous avons donc des
scientifiques, des vrais, avec une blouse blanche et un stylo sur l’épaule,
comme mon boucher, qui ont démontré avec des scanners, des imageries médicales,
des électrodes et un fut de bière que « les
voix de femmes, plus aiguës et musicales, sont plus difficiles à décoder et
nécessitent une plus grande activité cérébrale, expliquant une certaine fatigue
au bout d’un moment. »
Je ne voudrais pas
me faire haïr par mes amies féministes. Olympe, par exemple, n’oubliera pas que
j’ai fait de la pub pour son bouquin, hier. D’ailleurs, je soutiens son
dernier billet. Les propos d’Ivan Levaï sont inacceptables et grotesques. « Pour un viol il faut un couteau ou un pistolet. »
D’ailleurs, je me demande ce que vient faire l’ancien mari de l’épouse de
Dominique Strauss-Kahn dans cette histoire.
Toujours est-il qu’on peut imaginer un débat entre un homme
et une femme, quelques jours avant le deuxième tour de l’élection
présidentielle, en mai prochain. La femme sera fatalement moins écouté que l’homme.
Les scientifiques viennent ainsi de donner un nouvel
argument en faveur de ceux qui hésitent encore pour la primaire de dimanche.
A noter que ce n’est pas une nouvelle très fraiche, une
requête google nous permet de trouver ce texte dans des billets de blogs datant
de plus de cinq ans. Karine et moi sommes bien en retard.
Ça expliquerait bien des choses, alors.
RépondreSupprimerEffectivement, ma copine s’appelle Karine, tu peux me dire ce qu'elle fout dans ton blog, dis donc ?
Je vais prévenir quelques féministes tendance "voix aiguë et ciseaux dans la poche."
RépondreSupprimerSi en plus de les regarder on devait les écouter…
RépondreSupprimer:-)
MHPA,
RépondreSupprimerElle se promène...
Suzanne,
Ah non, hein !
Poireau,
Ouais, on n'a pas que ça à foutre !