Lors de sa visite en Bretagne dont je parlais samedi, Claude Guéant a posé la première pierre d'une nouvelle gendarmerie, à Merdrignac. Très bien.
Mais le permis de construire n'a pas encore été obtenu.
(via Le Télégramme)
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
Quel couillon...
RépondreSupprimerMerdrignac : quel nom magnifique ! On dirait du Jarry…
RépondreSupprimerFalconhill,
RépondreSupprimerOui hein !
Didier,
Je ne sais pas : j'habite (ma mère plus exactement) à une trentaine de kilomètres depuis 45 ans.
Ce qui est étonnant, c'est qu'on plus de faire penser à Jarry (le "merdre !" du Père Ubu), ce nom fait irrésistiblement penser au Bordelais et non à la Bretagne.
RépondreSupprimerÀ cause de l'aéroport de Merignac ?
RépondreSupprimerDu grand n'importe quoi.
RépondreSupprimer"C'est la faute à l'insécurité ma bonne dame, et aux fonctionnaires qui font qu'à faire traîner les dossiers..."
Et je suppose qu'il doit y avoir une criminalité exponentielle à Merdrignac !
(confondu avec Médréac, proche de Montauban de Bretagne et à la frontière des Côtes d'Armor...)
Je connais bien Merdrignac j'ai aussi grandi pas loin !! ;o)
RépondreSupprimerLes tâches
RépondreSupprimerJ'ai été conviée au dernier conseil des ministres en tant que porte-parole de tous ceux qui ont un problème d'identité...
J'étais assise à côté de notre ministre de l'intérieur... et juste au moment de retirer ma plume de l'encrier, je l'ai un peu éclaboussé... taché un tout petit peu son beau costume... tous les regards se sont aussitôt jetés sur mon âme désolée... pour la déchiqueter et la réduire en poussières... j'exagère ?
Non... pour eux, c'était une déclaration de guerre... la tâche a tout tâché...
Et comme pour rectifier le tir ou effacer mon péché, je me suis emparée de l'encrier et je l'ai vidé sur la tête de monsieur Claude... Guéant... c'était géant comme acte inconséquent ... médusé le ministre des infractions m'a aussitôt sauté dessus pour me mettre hors d'état de nuire puis m'a demandé avec son sens du sérieux légendaire de justifier au moins mon forfait
Monsieur Claude lui dis-je... je ne voulais pas être chassée de votre beau pays pour une tâche insignifiante... j'ai cru bon renverser toute la vapeur, pour que, ni vous, ni moi, ne regrettions ma reconduite à la frontière... pour que justice soit pour une fois justifiée... bonne et malheureuse année.