« Le pacte de stabilité budgétaire
voulu par Angela Merkel pourrait être revu en accord avec François Hollande
s'il remporte les présidentielles. La Chancelière allemande, constatant que,
selon les sondages, Nicolas Sarkozy serait battu, fait preuve de réalisme. »
Outre le fait qu’elle commence à être persuadée de la
victoire de François Hollande, elle vient de valider
la démarche du candidat-entrant, à savoir qu’il sera possible de renégocier le
pacte de stabilité, comme il s’y est engagé.
Comme quoi, elle a raison de croire aux sondages... et de constater qu'elle ne pourrait plus faire ce qu'elle veut.
Le changement, c'est quand, déjà ?
Comme quoi, elle a raison de croire aux sondages... et de constater qu'elle ne pourrait plus faire ce qu'elle veut.
Le changement, c'est quand, déjà ?
(merci à MajicWoofy
pour l’information)
Mais vous vous gardez bien de citer la fin de l'article, qui dit ceci :
RépondreSupprimerDu coté socialiste, un membre de l’équipe de campagne cité par le Nouvel Observateur relativise les craintes de l’exécutif allemand concernant une victoire socialiste, en déclarant :
"On ne touche pas au traité lui-même, et en particulier aux clauses concernant l'automaticité des sanctions et la réduction des déficits".
Ça va faire plaisir à vos futurs alliés du second tour, les mélenchouineurs, ça !
Tiens, d'ailleurs, je vais vous envoyer GdC, ça vous apprendra à plastronner depuis votre comptoir.
On ne peut pas tout citer, non plus. Quant à GdC, il est toujours le bienvenu. Dans trois semaines on sera ensemble. Derrière Melenchon ou Hollande.
SupprimerEt vous serez derrière Sarko. Ça vous apprendra à ne pas être de gauche.
Vous derrière Mélenchon ? Mais je paierais pour avoir le bonheur de voir ça !
SupprimerFaites pas le con, bordel !
SupprimerCela étant, je n'ai jamais dit de mal de lui dans ce blog. Faut voir ce que GdC a sorti sur Hollande.
Didier,
RépondreSupprimerça n'entre pas en contradiction. Hollande n'a jamais dit qu'il voulait supprimer des choses dans le traité mais plutôt y faire rajouter ce qui manquait. Il n'empêche qu'on constate un étonnant revirement. Enfin, étonnant, je me comprends...
Tu vas nous contrarier le vieux.
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