Selon Le Lab, The Economist, joyeux hebdomadaire libéral anglais, va lancer une nouvelle
charge contre François Hollande. « Investisseurs,
fuyez : Hollande est là !" : les bons conseils de The Economist. »
« Une France affaiblie n’a
pas d’autre choix que de recourir à des réformes structurelles et libéraliser
son économie. »
Ce canard ne devrait pas oublier que la crise actuelle a été
provoquée par le libéralisme et qu’au bord du gouffre il est assez rarement
recommandé de faire un grand pas.
« Loin de réduire les dépenses
du secteur public qui représentent 56% du PIB, soit la plus grosse part de la
zone euro, il semble vouloir l’augmenter. Avec cette politique, il fait l’inverse
des autres pays européens. »
« François Hollande est en
passe de conduire la France dans la mauvaise direction plus rapidement que ce
qui était redouté. »
Ce sympathique (non) canard devrait nous expliquer le « plus
rapidement » dans la mesure où tout a été annoncé pendant la campagne. Par
exemple, il a obtenu un plan de relance de 130 milliards de la part au niveau Européen (ce qui n’est certes pas libéral
mais conforme aux engagements).
D’ailleurs, les mesures qu’il prend semblent moins
importantes que prévues, comme, par exemple, le coup de pouce au SMIC qui
semble dérisoire
(moins de 10 euros par mois).
J’invite The Economist à attendre les premières mesures qui
seront prises. Pour l’instant, l’équipe de François Hollande a annoncé une
augmentation de la prime de rentrée scolaire et l’emploi de 1000 profs pour la
rentrée, ce qui ne représente pas une somme considérable, d’autant qu’il s’est
engagé à faire revenir le déficit de l’état à 3% en 2013.
Wait en see…
"Ce canard ne devrait pas oublier que la crise actuelle a été provoquée par le libéralisme"
RépondreSupprimerJe suis désolé Nicolas, mais c'est totalement faux !!
La crise actuelle a été causé par des états qui dépensent beaucoup plus qu'ils ne gagnent. C'est plutôt la crise du Keynésianisme donc du socialisme.
Elle est où ma réponse ?
SupprimerBref arrête ta propagande libérale.
Tiens, moi j'aurai plutôt dit qu'une partie du problème venait du fait que les banques avaient prêté de l'argent qu'elles n'avaient pas et que c’était bien la crise du libéralisme.
SupprimerBen oui.
SupprimerJe pense que la crise a été plus provoquée par manque de productivité. Car chaque contribuable ne contribue-t-il pas déjà beaucoup? Chaque contribuable est déjà humaniste par sa feuille d'impôts, et il devrait l'être encore plus? Je pense qu'on enfonce un peu fort la taupe dans son trou...
RépondreSupprimerIl y a beaucoup de raisons !
SupprimerJ'aime bien Le titre , Un journal liberal dit tu ? Comme ces angliches sont has been :.))
RépondreSupprimerOui. Les ringards.
SupprimerNon. Vous avez une vision idéaliste du libéralisme. Et arrêtez donc de faire de la propagande libéral dans mon blog, je n'ai pas que ça à foutre.
RépondreSupprimerLe libéralisme tel que vous le voyez n'existe pas.
Ah ! Voilà ma réponse. J'avais merdé.
Supprimerc'est le socialisme qui a mis en faillite les banques après les subprimes
RépondreSupprimeret c'est le libéralisme qui les a renflouées
d'où la crise et la spéculation marxiste contre les états
Refais l'histoire. Ce sont les états qui ont renfloué les banques qui étaient à deux doigts de couler ce qui aurait été une catastrophe pour l'économie.
Supprimer@bobcestmoi
SupprimerVous rêvez éveillé, vous n'avez aucune notion d'économie, vous écrivez n'importe quoi et vous mélangez tout. Allez donc prendre quelques cours d'économie pour le nuls, dont vous faites partie.
David75
allez vous reposer
Supprimervotre humour est défaillant
Non Bob, tu commences à me les briser, tes prochains commentaires pourraient atterrir directement dans la poubelle. Tu peux faire de la propagande libérale si tu veux mais sans insulter les commentaires et sans raconter des mensonges aussi gros.
SupprimerEn d'autres termes : j'ai mieux à faire que de lire tes conneries.
me traiter de propagandiste libéral est à la limite de la diffamation
SupprimerJe ne traite personne de propagandiste libéral et le fait de le dire est de la diffamation. Relis donc tes commentaires...
SupprimerEn plus, diffamer un anonyme est cocasse.
Fout le camp de ce blog.
Je sens que l'Economist va finir au fond de la Tamise. Y'a des fois, y'a plus q'ça ! ... Je sais de quoi je parle, c'est arrivé à Mme Figaro qui a fini au fond du canal de l'Ourq dans le conflit de l'usine de Labeur que je vous ai évoqué :))))
RépondreSupprimerBon ben c'est marrant mais c'est simplement que nous avons de nouveaux concurrents qui sont très efficaces: l'euro est trop fort, nous nous affaiblissons.
RépondreSupprimerLes pays émergents s'organisent en libre-échange sans nous.
La Chine a envahi l'Afrique et les Africains préfèrent passer des marchés avec eux.
Et nos vautours nous dévorent, n'ayant plus d'autre victimes dans le monde.
je dis ça mais je dis rien...
Effectivement,le libéralisme n'est pas bon, un peu d'éthique serait le bienvenu.
Incompatible.
Supprimerque je t'explique pourquoi au fond du canal de l'Ourq : parce que le taulier avait fait sortir les films de l'usine qu'il lock ouautais et fait imprimer les journaux ailleurs ... bien mal acquis ne profite jamais :))) partout où les ouvriers sont organisés.
RépondreSupprimerQuand le tertiaire sera capable d'en faire autant, on aura une bouffée d'oxygène.
Dire que la crise a été provoquée par le libéralisme ou bien le socialisme, c'est une manière idéologique de voir les choses, et cela évite que les responsabilités des uns et des autres soient clairement énoncées. C'est la faute du système, changeons de système, mais surtout ne regardons pas nos erreurs en face !
RépondreSupprimerLes torts sont partagés, les banques sont en partie responsables, mais les états le sont en grande partie aussi, qui cherchent à financer l'endettement par la croissance à tout prix.
Malheureusement, la croissance de ne se décrète pas, elle ne va pas non plus se chercher avec les dents, elle dépend d'un grand nombre d'acteurs économiques dont les réactions sont très difficiles à prévoir. La planification, l'intervention de l'Etat dans l'économie coûte le plus souvent bien plus qu'elle ne rapporte, c'est une question de bon sens.
Le problème actuel pour la France est arithmétique : avec un déficit très supérieur à la croissance, on ne peut pas rembourser la dette qui s'acroit alors qu'elle atteint déjà des niveaux insoutenables. Il faut de toute urgence réduire les dépenses somptuaires de l'Etat, il faut froidement, sans idéologie, supprimer ce qui n'est pas utile à la simple survie.
Derrière les promesses démagogiques et idéologiques des socialistes, se cachent un certain réalisme, et une réelle capacité à gérer les affaires de l'Etat avec lucidité. L'espoir est là.
Tu es un parfait idéologue...
SupprimerMerci du compliment, et à part cette petite pique, tu as des arguments ?
SupprimerDis donc, crétin, c'est toi qui me traite d'idéologue sans te rendre compte de ce que tu fais. Vas chier. J'ai mieux à faire que de supporter tous les tarés de la terre.
SupprimerJe t'explique : tu es en train de pondre une théorie en disant que c'est la seule solution et tu refuses de reconnaitre que tu le fais au nom de l'idéologie.
Je me répète : j'ai mieux à faire que de supporter tous les guignols sans la moindre objectivité.
Le socialisme est une idéologie, non ? Si tu es socialiste, tu a forcément cette idéologie comme grille de lecture, il n'y a là rien de particulièrement choquant.
SupprimerInutile d'épiloguer, rendez vous dans quelques mois, et on verra bien où en sont le programme socialiste, et les promesses du candidat.
En attendant, à ta santé ! Et tu ferais mieux de ne pas t'énerver pour si peu.
Je ne m'énerve pas. Ça fait six ans que je tiens ce blog et trouve des lascars qui se croient plus intelligents que les autres. Maintenant tu peux aller troller ailleurs.
SupprimerNicolas a raison, le problème de la crise actuelle n'est absolument pas du au fait que la plupart des états européens dépensent beaucoup plus que ce qu'ils gagnent, empruntent systématique même s'ils ne peuvent rembourser leurs dettes...
RépondreSupprimerLe fait que la Grèce, l'Espagne, le Portugal et la France soit en faillite, c'est de la faute du libéralisme et non pas celle de ceux qui dépensent plus qu'ils ne gagnent...
Pas de propagande libérale sur mon blog. L crise n'est pas due aux banquiers, aux escrocs divers ?
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