« Voilà la vidéo, en
compagnie de l'idole de Breivic, Finkelkraut ». Voilà le
commentaire d’un billet de blog que je lis au réveil de la sieste. Rosa, ça en
est trop. Ton blog va disparaître de ma blogroll et j’espère que tu vas disparaître
de ma vie.
Ca n’est pas bien grave mais avec tout ce que j’ai entendu
en 48 heures, ça fait beaucoup trop. Je n’en peux plus. Dans ton dernier
billet, tu écris : « Maintenant, il
faut des actes pour ceux qui caricaturent l'Islam, que ce soit les barbus fous
ou les islamophobes, des actes aussi fermes que ceux qui caricaturent la
Religion Juive et propagent la haine. »
Dans mon dernier billet, je disais que tous ces sujets m’échappaient.
Je me demande si Finkelkraut n’est pas un peu juif et si tu ne viens pas
explicitement de l’accuser d’avoir influencé ce taré qui a commis ce massacre.
Adieu. Non pas que je ne t’aime pas mais je ne peux pas tout
cautionner. Je ne peux pas cautionner ce tweet, par exemple (voir l’illustration),
où je suis indirectement désigné. Ce n’est pas que je t’en veuille, tu me
diras, c’est que je ne peux pas tout supporter, toute la misère du monde, tous
ces gens qui entament des croisades sans comprendre ce qu’ils écrivent.
Je suis influencé par des gros fachos qui ont probablement
du poil dans les oreilles. Amen. Dans son
dernier billet dont au sujet duquel je pique l’illustration, Didier Goux
dit qu’on s’est bien amusé quelques temps. Je n’aime pas qu’on se moque de ce
que je considérais pendant un temps comme une amie. Je l’ai engueulé par mail.
Je lui aurais bien téléphoné mais c’est sa femme qui répond et je me retrouve
illico invité à déjeuner. Mais depuis 48 heures, tu dépasses les bornes. Je
suis d’accord avec le gros nazi : on s’est bien amusé. Mais à un moment,
il faut que ça cesse.
Alors je vais continuer à aller rigoler et raconter des
conneries avec mes copains fachos. Au moins, il leur reste un fond d’objectivité.
Adieu. Ton commentaire, que j’ai peut-être mal compris au
réveil de la sieste fut de trop.
Depuis six ans, je blogue pour le plaisir. C'est la première fois que je vire une copine. Il ne fallait pas dépasser les bornes. C'est ainsi. Comme en plus, tu me prends pour un con (voir le tweet), je n'ai aucun scrupule à prendre une décision qui me tendait les bras...
Je vais quand même te donner un conseil : dans les blogs, ne tombe pas dans les bras d'un autre tordu ou d'une autre tordue, comme l'espèce d'autre folle dont on parlait l'autre jour. Tu finirais bien bas. Il te reste la possibilité de remonter. Courage.
Et Rose elle vécut ce que vivent les Roses : l'espace de quelques tweets ...
RépondreSupprimerOuais. Je lui ai donné de la visibilité et je peux me les arracher.
Supprimeryep. c'est rude.
RépondreSupprimerBah !
SupprimerMais cette andouille donne du peps aux blogs! C'est vrai, c'est un monument de connerie. Mais c'est comme un nain de jardin, on se dit c'est pas possible, ben si c'est possible...
RépondreSupprimerBah aussi! Mais je ne peux pas tout cautionner...
SupprimerOuais. Je partage (hélas) ton avis... Mais je ne l'ai pas virée. J'ai mollement exprimé mon idée chez moi. Et de loin, de très loin puisque j'étais loin.
RépondreSupprimerEt comme dirait un célèbre philosophe cyborg... Hasta la vista baby.
merde je me répète, je l'ai déjà faite celle-là.
Bah ! Peut on faire les choses à moitié?
SupprimerJe crois oui. Je suis un peu partagée. Car je comprends que tu l'ai virée mais je n'en suis pas là moi.
RépondreSupprimerParfois, il faut...
SupprimerMazette, il s'en est passé des choses ce week-end.
RépondreSupprimerComme Fred, j'ai loupé quelques étapes. La télé c'est nul ! Ils ne mettent jamais les épisodes dans le bon sens.
RépondreSupprimerOui, c'est un peu le bordel.
SupprimerUrvoytwit est urvoytriste
RépondreSupprimerFaut pas.
SupprimerOuch ! Sujet cadré, c'est devenu plus aigre pendant que j'étais pas là.
RépondreSupprimerPlein de bises.
Je peux te comprendre.
RépondreSupprimerJe suppose que ce n'est pas une décision facile à prendre...
J'aurais plutôt du la prendre avant.
SupprimerMerci.
Ah, la castration ! On ne s'ampute jamais de gaîté de cœur, c'est un fait,
RépondreSupprimermais si c'est pour aller mieux après, pourquoi pas ?