En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
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30 novembre 2012
Les carnets de Robert B.
P. a retrouvé le carnet que son père tenait quand il a débuté sa carrière d'infirmier psy, en 1962. C'est à suivre ici. Passionnant.
Oui, c'est vraiment saisissant. Les vies d'êtres abîmés, au fonctionnement déglingué. Il y a quelque chose de douloureux dans ces portraits, qui ont la pudeur de ne pas parler de la souffrance des malades, mais juste de simplement décrire les personnes. C'est le père de poireau, qui était infirmier ?
Si ce sont les vrais noms des patients, comme je crois le comprendre qui figurent sur le blog, tu devrais lui conseiller de les masquer sans perdre une seconde : même si les patients ne sont plus,le secret médical est absolu et sanctionné pénalement. Pimpon, urgence !
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Oui, c'est vraiment saisissant. Les vies d'êtres abîmés, au fonctionnement déglingué. Il y a quelque chose de douloureux dans ces portraits, qui ont la pudeur de ne pas parler de la souffrance des malades, mais juste de simplement décrire les personnes. C'est le père de poireau, qui était infirmier ?
RépondreSupprimerComme si c'était le miroir de nous-mêmes, souffreteux, branlant, le visage de l'humanité.
RépondreSupprimerSi ce sont les vrais noms des patients, comme je crois le comprendre qui figurent sur le blog, tu devrais lui conseiller de les masquer sans perdre une seconde : même si les patients ne sont plus,le secret médical est absolu et sanctionné pénalement.
RépondreSupprimerPimpon, urgence !