En salle

30 novembre 2012

Les carnets de Robert B.




P. a retrouvé le carnet que son père tenait quand il a débuté sa carrière d'infirmier psy, en 1962. C'est à suivre ici. Passionnant.

3 commentaires:

  1. Oui, c'est vraiment saisissant. Les vies d'êtres abîmés, au fonctionnement déglingué. Il y a quelque chose de douloureux dans ces portraits, qui ont la pudeur de ne pas parler de la souffrance des malades, mais juste de simplement décrire les personnes. C'est le père de poireau, qui était infirmier ?

    RépondreSupprimer
  2. Comme si c'était le miroir de nous-mêmes, souffreteux, branlant, le visage de l'humanité.

    RépondreSupprimer
  3. Si ce sont les vrais noms des patients, comme je crois le comprendre qui figurent sur le blog, tu devrais lui conseiller de les masquer sans perdre une seconde : même si les patients ne sont plus,le secret médical est absolu et sanctionné pénalement.
    Pimpon, urgence !

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...