Le Gouvernement a organisé « la
Convention interministérielle pour l’égalité entre les filles et les garçons,
les femmes et les hommes dans le système éducatif. » Je n’étais pas
au courant (le sujet m’intéresse mais pas spécialement en tant que blogueur). C’est
Corto,
un blogueur de droite, qui nous le signale. Mais c’est un blogueur de droite et
son texte est plein d’inepties et se transforme assez rapidement en caricature
de texte réactionnaire. C’est très drôle mais aussi très instructif de la
pensée d’une certaine droite qui ne vit plus que par opposition, tant le champ
de réflexion est laissé vide par l’UMP…Il faut s'opposer pour s'opposer. Tant pis si on ne comprend rien à ce qu'on lit...
Je propose donc d’étudier ce texte dans mon blog, pour
rigoler. Je commence par le milieu. Il cite des exemples extrait du document
gouvernemental. Le dernier, tiens ! « Donner
aux élèves, étudiants et étudiantes les outils nécessaires pour mieux appréhender le traitement du genre. »
Il a oublié la fin : « dans les médias ».
C’est de la pure malhonnêteté intellectuelle. Je vais vous donner un conseil :
quand vous lisez un blog politique, vérifier les sources.
Le principe est simple et j’y reviendrais : le
Gouvernement (et c’est un des engagements de François Hollande) veut promouvoir
l’égalité entre les hommes et les femmes. Le blogueur de droite peut
difficilement s’y opposer sauf s’il habite au Plessis-Hébert. Du coup, il va être
dans l’obligation de casser le texte sur le principe. Et quand il ne trouve pas
la petite bête, il l’invente.
Je vais reprendre son billet dès le début. « La théorie du genre, c'est le truc à la mode chez nos
socialistes. » C’est faux. La théorie du genre n’est qu’une
locution utilisée par les opposants aux travaux de scientifiques qui bossent
sur le genre. Notons bien que je m’en fous. J’utilise Wikipedia pour me
renseigner. Corto aurait pu faire pareil. Nous notons donc qu’il fait un billet
pour démonter un truc n’existe que dans les esprits de ses opposants. C’est
fort ! Le débat politique a fait un grand pas...
La suite ! « C'est quoi
au juste la théorie du genre ? C'est pour faire simple le fait de nier que le
petit garçon est un petit garçon avec kiki et nier que la petite fille est une
petite fille avec foufoune, seule la vie qui passe et les expériences feront
que le petit garçon, s'il le souhaite, devienne un homme, que la petite fille
devienne une femme. » Ces propos, surtout le début, – certes ironiques puisqu’il le dit dans un
deuxième billet – sont bien la preuve qu’il travaille sur du vent.
Vous imaginez le candidat de droite à une élection : « Mesdames messieurs ! Les socialistes veulent que les
garçons et les filles soient strictement identiques d’un point de vue physique ».
Le type serait emmené au cabanon immédiatement. Voilà ce qui attend Corto.
Il continue pourtant ! « Avec
cette théorie, ce n'est donc pas la morphologie et les attributs qui font le
devenir et la sexualité des êtres humains; c'est à chacun, en fonction de ses
choix, de ses goûts et de son histoire de décider s'il veut s'assumer en tant
que femme ou homme. » Corto essaie réellement de faire croire que
les socialistes voudraient que les gens choisissent s’ils veulent être des
hommes et des femmes. Le degré de crédibilité atteint zéro. Ce n’est pas très
grave : il s’adresse essentiellement à des blogueurs réactionnaires qui
vont aimer taper sur les socialistes. Du coup, ils tournent entre eux (et
perdent les élections, ce qui pourrait changer). Au moins, mon blog, il est lu
et commenté par autant de réacs que de gauchistes…
A ce stade du billet, quand même, je vais lui expliquer. Le
document s’appelle : « la Convention
interministérielle pour l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes
et les hommes dans le système éducatif. » Le but du jeu est de
faire en sorte que l’école ne participe pas aux stéréotypes habituels : la
femme fait la vaisselle et l’homme conduit la voiture. Vous prenez un bouquin
de math. Un problème sera intitulé ainsi : « Maman
fait les courses et elle achète un poireau pour se filer les deux tiers dans la
moniche. Le poireau coute 3 euros. Le tiers restant restera mangeable. Quel est
le coût de la partie du poireau utilisé à des fins purement ludiques ? »
C’est mal ! Papa peut aussi faire les courses (ce qu’il pourrait faire du
poireau, néanmoins, ne sera pas étudié dans ce billet).
Je présente mes excuses par avance aux lecteurs de ce billet
qui sera vulgaire mais, quitte à parler de sexe, autant rigoler un peu. Oui !
Corto confond sexe, sexualité, genre, … Quand on n’a rien à dire, il faut bien
inventer.
Ceux qui ne veulent pas qu’on apprenne aux enfants que ce n’est
pas vrai que seules les mamans font les courses disent qu’on fait de la théorie
du genre. Ca sonne un peu comme « théorie du complot ». La grosse
conspiration visant à détruire un monde réactionnaire…
Reprenons le billet de Corto… « nos idéologues pensent ainsi gagner une nouvelle lutte: Parvenir, au
nom de l'égalité, à une société sans classe de sexe. » Qu’est-ce
qu’une classe de sexe ? C’est le problème du billet fait pour taper sur
quelque chose, il manque de précision. On va essayer d’imaginer…
« La théorie du genre est
donc censée porter le fer dans un autre bastion des (supposées) inégalités: les
différences entre les sexes ». Pas du tout ! S’ils n’étaient
pas différents, l’un ne pourrait pas rentrer dans l’autre et baiser entre
hétéros serait beaucoup moins rigolo. « En
clair la sexualité ne doit pas être un critère de différenciation entre les
hommes et les femmes. L'altérité sexuelle disparaîtrait ainsi. » Je
me demande s’il ne confond pas sexe et sexualité. Moi, par exemple, j’aime bien
la cravate de notaire, élément de sexualité assez réservé aux hétéros sauf si
madame a des trop petits nichons. Toujours est-il que je ne vois pas pourquoi
cette fascination pour les gros nichons devrait être un critère de
différenciation.
Ils sont moches, les blogueurs qui bavent pour le principe,
car il s’agit bien de ça : rebondir sur le mariage pour tous pour sabrer
les textes du Gouvernement. Notons bien que ce texte aurait pu être fait par la droite (il ne s’agit
pas d’un texte de loi mais d’un texte de collaboration interministériel…),
Corto en aurait alors dit du bien.
« Nous le voyons, la théorie
du genre relève totalement d'une démarche idéologique, charge à nos politiques
de gauche de la mettre en œuvre » : effectivement, ce sont toujours
ceux d’en face qui font de l’idéologie. Même quand ils apprennent aux enfants
que Maman peut aussi tondre la pelouse pendant que Papa fait la vaisselle.
L’idéologie c’est mal. Surtout que j’ai horreur de tondre la pelouse et de
faire la vaisselle.
« Egalité pour tous, y
compris en matière de sexualité, par delà les différences morphologiques et
biologiques. » C’est
intéressant, cette utilisation du mot « égalité ». On ne veut pas l’égalité
en matière de sexualité mais que chacun ait la sexualité dont il veut sauf avec
les animaux et les enfants parce qu’il ne faut pas déconner quand même. Encore
que, si l’animal est consentant et a plus de quinze ans…
Il faut que je consulte un Larousse :
« sexualité - nom féminin - Ensemble des
phénomènes sexuels ou liés au sexe, que l'on peut observer dans le monde
vivant. - Ensemble des diverses modalités de la satisfaction sexuelle. » Je vais expliquer à Corto : Maman ne
pourra pas enfoncer sa bite en érection dans la chatte de papa. Même avec le
mariage pour tous…
Reprenons Corto : « A
terme, une société uniformisée. Avec pour base la transformation de
l'enfant-roi (voulu et choyé par un papa et une maman) en être à élever et
éduquer. » On ne dit pas « un papa » et « une
maman » quand on est réactionnaire. Quand on est réactionnaire, on essaie
aussi de considérer qu’il revient aux parents d’élever et d’éduquer les
enfants. S’il faut que les socialistes le rappellent, maintenant, la réaction
est mal barrée ! C’est l’enfant roi qui est un truc de gauchiste. Je vous avais
prévenu : j’ai un côté réac.
Après il parle de la convention : « Cette convention rédigée à l'initiative de divers
ministères (droit des femmes, Education nationale, Agriculture...) est pilotée
par Vincent Peillon et Najat Vallaud Belkacem. » L’implication du
Ministère de l’Agriculture dans ce dossier m’a beaucoup amusé. Corto aussi,
visiblement. D’ailleurs, il a oublié de citer les autres ministères, notamment
de celui du travail. Il a donc fait une manipulation. Une de plus.
« Il s'agit ni plus ni moins
d'assurer la promotion à tous les niveaux de la vie éducative, scolaire et
universitaire de l'égalité - la négation ? - sexuelle et, accessoirement, de
bannir toutes discriminations à l'égard des femmes et ce dès le plus jeune âge. »
Ben oui, c’est mal. Défendre l’égalité entre les gens et lutter contre les
discriminations est odieux dans l’esprit de Corto.
Ensuite, il cite des extraits du document donc celui
« coupé » dont je parlais et nous en venons à la longue conclusion.
« En lisant ce texte on
s'aperçoit que tout a été prévu à quelques niveaux que ce soit (éducation
sportive, histoire, médias, littérature, manuels scolaires, corps enseignants,
etc...) pour imprimer à toutes et à tous, dès le plus jeune âge (la circulaire
insiste plusieurs fois sur ce point), le bien fondé et l'utilité de cette
théorie. » Que veut dire « imprimer à toutes et à
tous » ? Peu importe. Il n’y a pas de théorie. Il y a une volonté d’améliorer
l’égalité entre les hommes et les femmes, à l’école, dans la vie
professionnelle et même ailleurs (même si cela ne nous regarde pas toujours…).
C’est un des engagements du président de la République.
« Théorie dont la mise en
œuvre n'a, à mon sens, qu'un but unique : nier les différences sexuelles
et remettre en cause tous les fondements de la famille traditionnelle et le
modèle de société hétérosexuelle dans lequel nous vivons. » C’est
un mensonge. Les sexes sont différents. Dommage pour ceux qui en ont une
petite. Il ne s’agit même pas de nier les différences entre les hommes et les
femmes mais de les faire disparaître là les différences de comportement en
fonction du sexe là où elles n’ont pas lieu d’être. Par exemple, il faut
laisser les femmes monter les escaliers en premier, par galanterie, par
convention, pour les rattraper si elles se cassent la gueule et pour regarder
leurs fesses.
Corto veut-il nous expliquer qu’à travail égal et pour une
même compétence qu’il est légitime qu’un homme soit plus payé qu’une
femme ?
C’est dommage, la caricature à outrance fait perdre toute
crédibilité. Actuellement, je ne suis pas la caricature : je n’invente
rien au
billet de Corto. Il joue son rôle de blogueur réactionnaire surfant sur les
suites du mariage pour tous. Pour ma part, en tant que blogueur politique, ça
ne m’intéresse pas. Je n’ai pas besoin d’exciter des gens de mon bord dans les
commentaires, ce qui m’intéresse est d’exciter les autres…
« A quelles fins ?
L'uniformisation, la modélisation des générations futures, la négation de
l'altérité. » Ce n’est que le début de la conclusion. La suite est
assez drôle. Néanmoins, il faudrait que Corto réfléchisse au sens des mots. On
veut simplement l’égalité de traitement entre les hommes et les femmes. Quand
je dis « on », c’est une façon de parler, je ne suis pas militant et
je suis célibataire. Je suis solidaire avec un programme. Amen. Cette égalité
doit commencer très jeune parce que la petite fille apprend à l’école que c’est
elle qui fera les confitures pendant que son mari ira jouer à la belotte avec
les copains.
L’école n’a pas à apprendre cela. Les parents font ce qu’ils
veulent. Pour ma part, il me semble que c’est aux parents d’apporter
l’éducation aux enfants, l’école devant apporter l’instruction.
C’est très drôle. En disant cela, c’est moi qui suis le
réac. Corto se mange les pieds dans sa seule volonté de taper sur le
Gouvernement, visiblement sans connaître le sujet.
Je vous laisse lire la conclusion. Elle est grotesque, il
invoque Robespierre qui doit se retourner dans sa tombe s’il a résisté à la
chaux vive. Puis le Genre Humain, l’Etre Suprême et tout ça. Moi, je ne suis
pas blogueur intello mais blogueur bistro avec quelques lettres. Celles de
Corto sont timbrées.
Corto a fait un texte pour faire plaisir à ses lecteurs. C’est
bien. Il est heureux. J’ai déjà épinglé ce billet dans un autre blog. Il a fait un
billet pour démontrer à ses lecteurs que je ne savais pas lire. Il est content : les benêts applaudissent en commentaire. L'effet de meute est mignon.
Ca m’a forcé à lire une fois de plus son billet.
Comme toujours, il a choisi la facilité et montre qu’il n’a
aucun fond.
Je vous laisse son illustration qui ne relève pas le niveau :
une photo de Najat VALLAUD-BELKACEM grimée
en homme.
Ca fait un peu guerre des égos tout ça: ne dis tu pas souvent que quand ça ne plait pas de lire chez quelqu'un, on y va pas? La lassitude nait de l'indifférence...
RépondreSupprimerC'est une démarche scientifique : j'étudie le blogueur réac.
SupprimerA part ça, je réponds à un blogueur de droite qui lutte contre l'égalité homme-femme.
SupprimerArrête donc avec ces histoires d'ego. Laisse la psychologie de comptoir au bistro.
Ah... alors là, ça se défend.
SupprimerSi l'étude le justifie, alors là je dis rien. Tant qu'au final on se retrouve au bistro, ça me va.
SupprimerNon. Je ne veux pas retrouver Corto au bistro. Tu n'es pas assez présent dans la blogosphère (ce qui n'est pas un reproche), tu as loupé des étapes.
SupprimerCorto commentait chez moi, le number one et a acquis une certaine notoriété. Moi, je m'en foutais. Je pratiquais le blogage des copains. Le jour où il n'a plus eu besoin de moi, il a commencé à m'insulter. Il a été suivi par deux autres lascars (si tu veux des noms, tu m'envoies un mail) qui se sont assis sur l'amitié (éventuellement virtuelle) au nom des idées politiques, dans les jours qui ont suivi le 6 mai. Un dernier a suivi au moment des manifs pour tous.
Tu sais combien ce genre d'affaires me touche, moi qui met l'amitié et les copains avant tout. C'est sans retour.
Je me souviens d'épisodes (c'est pas parce que je commente pas que je ne lis pas)
SupprimerJe comprends.
Ouf ! Je n'en ai jamais douté...
SupprimerLa "Théorie du genre" n'a jamais existé, sauf dans le cerveau malades des réacs (ça vient des tea-partys amerlocs), en revanche, il existe des études du genre, nuance, grosse différence !
RépondreSupprimerC'est ce que je dis : une funeste connerie pour manipuler les esprits.
SupprimerOui, je l'ai lu mais seulement parce qu'il y avait ton nom dessus, sinon, j'évite soigneusement.
RépondreSupprimerJ'avoue que je n'ai toujours rien compris, même avec tes explications...
Cela me gonfle, tout cela. De toute manière, si c'est inné, dire le contraire à l'école ne servirait à rien, à moins que cela ne soit pas si inné que ça.
Il n'y a rien à comprendre. Il a fait un billet de blog pour plaire à des fanatiques abrutis.
Supprimer« Cette égalité doit commencer très jeune parce que la petite fille apprend à l’école que c’est elle qui fera les confitures pendant que son mari ira jouer à la belotte avec les copains. »
RépondreSupprimerPardonnez-moi, mais là vous insultez le million de Français qui sont morts les armes à la main pendant la première guerre mondiale. Et pas qu’eux malheureusement.
Je m'inscris en faux contre cette assertion. Sur le million de combattants morts entre 1914 et 1918, il a été récemment prouvé que 36 559 n'avaient pas les armes à la main : ils venaient de les poser pour pouvoir pisser tranquillement dans un coin sombre de la tranchée. Alors, je vous en prie, cessons de travestir le passé glorieux de la France !
SupprimerAh mais respectez les fous qui commentent chez moi. Je vais lui répondre :
SupprimerCher ami, vous confondez tout. Le monde a changé depuis 60 ans. C'est vous qui piétinez la mémoire des millions de morts qui se sont battus pour que la France reste ce qu'elle est. Une terre de liberté.
Et en plus, ces cons d'Allemands se laissent diriger par une bonne femme.
Peut-être n’avez-vous pas compris où je voulais en venir.
SupprimerVous colportez cette idée selon laquelle de tout temps, les hommes auraient été des sacs à bière passant leur temps à taper le carton dans un bistrot, tandis que madame travaillait dur, enfermée au foyer. Elle est une insulte à la mémoire d’à peu près tous les hommes qui ont vécu avant 1960. Aussi bien de ceux qui sont allés au combat, que de ceux qui sont descendus au fond des mines, ont construit les voies de chemin de fer, les routes, ont creusé des canaux, ou bâti les cathédrales.
Oh et puisque vous pensez que les poilus sont morts pour permettre à votre France d’exister, je vais faire un petite mise au point. Personne, ni vous ni un autre, ne risquera jamais sa peau pour les idées que vous défendez. C’est bien ce qui les caractérise.
Mais vous êtes fou ! Je défends seulement l'idée que la femme a été considérée pendant des années comme bonne pour les tâches ménagères alors que l'homme travaillait et ne s'occupait pas du domaine domestique. C'est une vérité historique.
SupprimerLes lignes bougent depuis longtemps mais cette vérité reste présente.
Si vous pensez que personne ne s'est jamais pour les symboles de la République, dont l'égalité, c'est votre problème. C'est vous qui me parlez de morts pour la France et d'insultes.
Vous êtes fou. Je ne vois pas autre chose. Je n'ai jamais dit que les hommes ont glandé.
Tiens ! Je fais un sondage grandeur nature. Je suis au bistro. Il y a des couples attablés. 4 précisément en terrasse. Je ne vois pas la salle d'où je suis. Il y a en plus deux fois deux hommes (dont moi et un copain) et un type tout seul. Il n'y a aucune femme seule et aucun groupe de femmes. C'est, non pas la preuve, mais un signe qu'il y a une différence comportementale entre les hommes et les femmes (mon sondage est évidemment imprécis mais vous pouvez faire le tour des bistros de France, le résultat sera le même). Les hommes passent plus leur temps de loisir ailleurs qu'à la maison.
Ce n'est pas très grave et les raisons sont diverses. Il n'empêche que quand un type me réponds que j'attaque la mémoire des poilus, je ne peux qu'être plié de rire.
Quant aux 36 559 qui sont morts sans avoir les armes à la main puisqu'ils les avaient posées pour pisser, précisons qu'ils pissaient debout. Histoire de se donner un genre.
SupprimerMême pas ! C'était des modernoeuds qui pissaient assis par habitude pour éviter de se faire engueuler par leurs grosses au cas où ils auraient pissé à côté. Des lâches ! Ils me donnent envie de vomir.
SupprimerElle est belle, la France...
À part ça, qu'est-ce qui vous prend de consacrer un billet aussi long à un sujet aussi dénué d'intérêt que ces histoires de bonnes femmes ?
RépondreSupprimerC'est pour qu'Eloooody et Olympe me fassent des pipes. Il fait bien qu'elles servent à quelque chose.
SupprimerAh ben, écoutez, si elles passent à deux et que je suis dans le quartier, ce s'ra pas d'refus !
SupprimerOk. Mais on se fait sucer d'abord et on picole après.
SupprimerOn ne pourrait pas commencer à picoler pendant ? Sinon, on risque de s'emmerder un petit peu…
SupprimerOui. Mais il va falloir travailler la position. J'aime bien picoler face au comptoir.
Supprimeret si corto nous expliquait le bien fondé du soutien scolaire dans les locaux UMP et par ses militants, ça serait chouette , non
RépondreSupprimerCorto, expliquer ?
SupprimerAu fait ! Quelqu'un pourrait-il lui expliquer des règles de typographie ? Ses billets sont chiants à reprendre : pas d'espace après les parenthèses "ouvrantes" et avant les parenthèses "fermentes".
Je suis allé lire ce blog. Je ne sais pas si je dois te remercier.
RépondreSupprimerLe contenu de l'article et surtout les commentaires font penser à une espèce de secte. Des gens qui font des prophéties d'apocalypse socialiste et qui se rassurent entre eux par des formules du genre "Mon Dieu, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font".
Ça fait peur...
Ben non. C'est rigolo.
Supprimermon dieu, Nicolas, que tu es courageux. J'ai arrêté de lire Corto quand j'ai cessé d'y lire autre chose que des borognymes. C'est-à-dire, très vite.
RépondreSupprimerQu'est ce tu fous dans mes archives ? Je vais finir par croire que tu ne me lis pas au quotidien. ;-)
SupprimerA part ça, il fait tout lire pour comprendre comment "fonctionnent" ces abrutis (je ne parle pas de mes copains reacs ou de droite normale mais bien de ces andouilles militantes). Ce sont les mêmes qui nous traitent d'Hollandolatres ou autres mais qui ne se rendent pas compte qu'il y a du fond derrière la posture politique. Eux : rien. Et il faut les lire pour s'en rappeler.
Mes copains reacs ou de droite ont du fond : de l'intimité, de la chaleur, de l'humour. Corto n'a rien. Il éructe. Il avait un fond dans le temps. Le virage est bizarre. Il faut se rappeler : ce genre de lascar n'a plus que la haine.
Et malheureusement les électeurs votent plus avec le cœur, donc la haine, qu'avec la raison.
je lis tard et de façon sélective. J'avais raté ce billet. ;-)
SupprimerArg !
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