Repéré par l'ami Politeeks, ce tweet du Point. "29 juin 1967. Une jolie paire de nichons monte au ciel : Jayne Mansfield se tue sur la route", suivi d'un lien vers un article chez eux.
Vous, je ne sais pas, mais j'ai déjà connu plus classe.
La presse va mal : obligée de parler de nichon dans Twitter pour capter des lecteurs. Est-ce que j'utilise le mot "nichon" dans le titre de mes billets de blog, moi ?
Il faut reconnaître que cette pauvre Jayne Mansfield, "inventée" pour pallier l'absence de Marilyn, ne fut guère autre chose que sa paire de nichons. Cinématographiquement parlant en tout cas.
RépondreSupprimerCertes...
SupprimerJe suis d'accord avec Didier Goux, elle était bien gaulée la bougresse.
SupprimerPar contre le Point est un repère de manche à couilles.
Encore cette expression !
SupprimerTu finiras réac.
Non, je ne leur laisserais pas cet expression!
SupprimerOuf.
SupprimerLu dans wikipédia (je n'en ai personnellement aucun souvenir) : " elle parlait cinq langues, était pianiste et violoniste classique (...) En 1957, elle donne pourtant un aperçu de l'actrice qu'elle aurait pu être, dans le film de Paul Wendkos Le cambrioleur (The burglar), où elle s'avère excellente dans un rôle dramatique"
SupprimerC'est une façon comme une autre de préparer l'avenir. Le prochain article sera sur le Fist-Fucking (le Point dans le cul)
RépondreSupprimerMes commentateurs ne sont que des obsédés sexuels.
SupprimerOui oui, tu utilises ce mot dans des titres ^^
RépondreSupprimerAh merde.
SupprimerCachez ce nichon que nous ne serions voir, il revient toujours au galop
RépondreSupprimerNon.
SupprimerVous auriez quand même pu mettre plutôt ça comme illustration de votre article, c'est plus sympa et vous auriez eu davantage de lecteurs:
RépondreSupprimerhttp://tinyurl.com/nwvw4z4