Cela étant, c'est la fin de l'article qui m'intéresse, avec des propos de Mme Royal : "Ce n'est pas le Conseil constitutionnel qui (met) en péril la démocratie. C'est la critique du Conseil constitutionnel par un ancien chef de l'Etat et par un parti de gouvernement (l'UMP) qui tient en péril la démocratie"
Elle a raison.
Chez certains, la triche est leur première nature... Ils foncent, foncent... Solution, les crocs-en-jambes.
RépondreSupprimerNeuilly sur Seine, le Chicago moderne : les discours remplacent les Thompson...
bien vu. Je te chipe la citation.
RépondreSupprimerOui.
RépondreSupprimerC'est dit, c'est tout, j'encombre pas davantage...
http://www.huffingtonpost.fr/2013/07/07/compte-campagne-sarkozy-savait-risques-encourus_n_3558142.html?utm_hp_ref=france
RépondreSupprimerPutain ! Mais personne ne répond aux commentaires,ici ?
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