Le GIEC va déposer un nouveau rapport où sera à nouveau
montré le réchauffement climatique du à l’activité humaine. Melclalex nous
rappelait récemment
certains chiffres. Je voulais faire un billet à propos de ceux qui nient ce
réchauffement, les « climato-sceptiques » pour me foutre de la gueule
de mes copains blogueurs réactionnaires.
Pour ma part, je n’ai jamais douté que toutes les
cochonneries que l’on rejette dans l’air finissent par avoir un impact sur la
terre.
Toujours est-il que je suis tombé sur cet
article récent du Monde : « De fait,
tout au long du mois de septembre, plusieurs articles de presse, tribunes et
blogs à tonalité climato-sceptique ont prétendu dévoiler les conclusions du
fameux rapport – avant même que celui-ci ne soit officiellement publié. Sur la
foi d'informations déformées ou imaginaires, la presse conservatrice
anglo-saxonne a présenté nombre de textes assurant que le GIEC s'apprêtait à
reconnaître avoir exagéré le réchauffement ou à avouer que ce dernier avait
fait une pause... »
Un passage m’a beaucoup amusé : « Ces derniers mois, la fuite de plusieurs documents
internes du Heartland Institute, un think tank conservateur fer de lance du
climato-scepticisme aux Etats-Unis, a montré que des blogueurs ou scientifiques
climato-sceptiques très médiatiques étaient secrètement rémunérés pour semer le
doute dans l'opinion. »
Il y a donc des blogueurs qui sont rémunérés pour démontrer
que les rapports du GIEC sont faux. Et des blogueurs français tombent dans le
panneau.
Ce que je ne comprends pas, c’est l’intérêt d’être sceptique…
A moins d’être industriel gagnant de l’oseille avec la pollution. Plus
précisément, je ne comprends pas l’intérêt de faire des billets de blogs pour
nier le réchauffement climatique et relayer des informations fausses, même si
on les croit vraies.
Qu’est-ce qu’en ont à foutre les Français ? Ils ont des
voitures qui polluent moins car elles consomment moins… Ils ont des maisons
plus chaudes, plus confortables,… Le GIEC et tous ces machins ne visent pas
spécialement la France mais tous les pays qui tentent d’arriver à notre niveau
de pollution.
Il faudra qu’on m’explique.
« Ce que je ne comprends pas, c’est l’intérêt d’être sceptique… »
RépondreSupprimerC'est bien ce qui est inquiétant.
J'ai précisé ma phrase juste après. Non, ce n'est pas inquiétant. Que vous ne soyez pas préoccupé par le réchauffement climatique est normal. Par contre, ne pas y croire revient à nier une évidence, d'autant qu'il est évident que les lobbys pétroliers sont puissants contrairement aux scientifiques.
SupprimerIl y a aussi toute une industrie intéressée par le catastrophisme climatique et susceptible d'agir comme un lobby. Un gros paquet d'argent est à faire avec l'éolien, le solaire et même l'isolation en général, financée largement par l'impôt.
SupprimerAlors tant mieux pour ceux qui font mieux isoler leur logement, mais c'est avec le pognon du million de nouveaux imposés sur le revenu, ces pauvres subitement devenus "riches" et imposables et qui, eux, appauvris par l'impôt, ne pourront faire isoler leur logement, même en bénéficiant d'aides...
Une politique socialiste, quoi.
Je me bats pour la suppression des niches fiscales. Aider les riches à isoler leurs maisons n'a rien de socialiste.
SupprimerOn est riche à partir de combien net par mois ?
SupprimerLa question n'est pas là. Et est conne. Un type qui est aidé a un logement et donc plus riche que celui qui n'en a pas.
SupprimerJe ne dirais pas que ma question est conne mais qu'elle n'a pas de sens, car elle se base sur votre phrase qui cite "les riches", une catégorie dont je voyais ce qu'elle représentait avant la venue de Hollande au pouvoir mais qui ne veut plus rien dire. Pour moi, les riches, c'était des gens qui auraient pu vivre sans travailler, qui avaient des domestiques, qui avaient les moyens de descendre une semaine dans un palace. Mais depuis que les socialistes ont repris le pouvoir, on est riche comme on était koulak sous Staline : il suffit de posséder un bien immobilier, n'importe son état, sa localisation ou le fait qu'on n'a pas les sous pour en refaire la toiture. Et si on ne possède rien, le fait de dépasser le SMIC commence à nous faire paraître suspects aux yeux de la nouvelle fiscalité.
SupprimerCe n'est pas ma phrase. Hollande a dit une connerie en 2007. Ce n'est pas depuis qu'on est au pouvoir (pouvoir par ailleurs légitime, contrairement à ce que laisse entendre tes réflexion).
SupprimerLe problème que vous avez à droite c'est que vous êtes persuadés que l'on emploie le mot "riche" comme un gros mot, peut être à cause de la phrase d'Hollande.
Je suis propriétaire de mon appartement qui vaut au moins 200 000 euros voire 300. Je m'en fous j'y habite. Ça lui fait donc une valeur supérieure à 1 millions de francs. Il y a douze ans ça aurait fait de moi un millionnaire. Je suis donc riche. Mais mon appartement fait 48m2.
Il faut donc arrêter de jouer avec ce mot, "riches", que j'ai utilisé dans une rapide réponse à un de mes commentateurs.
Je vais donc la refaire : ce n'est pas une politique socialiste de dépenser du pognon, surtout si c'est pour aider ceux qui en ont plus que les autres.
Pendant la campagne pour la primaire, j'ai eu "la chance" de rencontrer Hollande avec d'autres blogueurs. C'est le seul point de désaccord que j'avais avec lui : la politique du logement. Un type de gauche n'est pas là pour aider les gens à devenir propriétaire mais pour s'assurer que tout le monde a un toit.
Et quand la gauche arrêtera de faire des conneries de ce genre, elle deviendra majoritaire. Parce que la droite de Sarkozy aidait aussi les Français à devenir propriétaire (et, pour ce qui nous concerne, à accorder des réductions d'impôts aux propriétaires qui font des travaux).
Je suis ainsi beaucoup plus à gauche que la plupart des militants du FdG ou des Verts... qui me prennent pour un type de droite. Je me fous d'être riche ou pauvre, je veux un logement et je veux que tout le monde en ait un.
Sur la question de la nécessité que tout le monde soit propriétaire, je n'ai pas d'avis car je n'y ai pas réfléchi. Mais l'objectif que tout le monde ait un toit sur la tête n'est pas pour moi de droite ou de gauche, c'est juste le minimum que l'on peut attendre d'une civilisation qui n'a jamais été aussi riche globalement.
SupprimerSinon, non, je ne remets pas en cause la légitimité de Hollande. Il a été élu démocratiquement et sans fraude. Par contre un truc qui me fait rire, c'est que la grande majorité des voix de gauche (je ne dis pas que vous en faites partie, je n'en sais rien) qualifient plus ou moins Poutine de dictateur alors que même sans fraude, il aurait été élu à une large majorité et serait réélu aujourd'hui les doigts dans le nez.
L'argent n'a pas d'odeur, les fumées d'usines et des pots d'échappements non plus pour ces climato fosses septiques
RépondreSupprimerBah !
SupprimerEn écoutant France-culture j'ai entendu qu'il y a stagnation des températures depuis 1998. Les spécialistes en présence ( 3 réchauffistes) parlent d'un iatus qui ne remet pas en cause la théorie du réchauffement. En face, un sceptique joint au téléphone explique (sans être très convaincant car sommaire) le réchauffement par des cycles solaires de 60 ans, nous serions à la fin d'un cycle selon lui. Son meilleur argument -à mon sens- est qu'il ne faut pas diaboliser le CO2 puisque celui-ci entraîne un développement massif de la végétation, là où l'eau est suffisante bien entendu: le C02 finit par être stocké, d'où un retour à l'équilibre.
RépondreSupprimerD'autre part, pour ne citer que ce que je connais, le "monde" agricole se fait l'écho d'un réchauffement des températures: "remontée" du vignoble, des parasites tropicaux, précocité des cultures, plantations par l'ONF d'essences en vue de s'adapter au réchauffement, etc...
Les réacs ou certains libéraux qui contestent le réchauffement le font souvent par idéologie: si les gauchistes s'emparent du réchauffement pour en faire un enjeu politique, le camp adverse se sent obligé de prendre le contrepied.
Par ailleurs mon expérience personnelle et celles relatées par mes connaissances ( par exemple une Chinoise qui revient d'un séjour à Shanghaï où l'été a été exceptionnellement torride) plaident en général pour un réchauffement.
J'en arrive à la conclusion que la nature retrouve toujours un certain équilibre. C'est la même chose pour la démographie par exemple. les alarmistes qui parlaient de surpopulation ne semblent plus avoir la même crédibilité qu'autre fois. En attendant nous devons nous adapter au réchauffement ou à un éventuel... refroidissement, autrement que par des mesures coercitives ou la subventionnite. Si vous supprimez l'automobile (par ex.) et bien les gens utiliseront le pétrole pour autre chose, par exemple le chauffage et vous ne pourrez pas les en empêcher, le problème ne sera donc pas résolu pour autant.
Où est la réponse que j'avais faite ? Bref, je disais qu'on était à peu près d'accord.
SupprimerJ'ai été étonné en me mettant à fréquenter les blogs de droite du nombre de climato-sceptiques. Je ne savais même pas que ça existait, en-dehors des relations d'affaires de la famille Bush. Selon moi, l'explication est toute simple : on passe tellement de temps quand on est de droite à "interpréter" les articles des journaux pour essayer de retrouver la réalité que l'on en devient parano et qu'on ne croit plus à rien. Si Libération, qu a l'habitude de se tromper sur à peu près tous les sujet, s'inquiète du réchauffement, on a forcément tendance à se méfier. Et c'est très bien, il faut toujours qu'il y ait des gens qui doutent, ça oblige ceux qui croient détenir la vérité à être meilleurs.
RépondreSupprimerOui mais ça empêche de traiter les sujets sereinement.
SupprimerOù est leur intérêt ....?
RépondreSupprimerSimplement parce qu'ils ne comprennent pas la démarche consistant à passer d'un motif de recherche (le réchauffement) à une politique malthusienne (la réduction de 50%) sans véritable réflexion (TINA) !
Pour faire simple, je prends un exemple qui m'a fait passer d'un bord à l'autre :
- En 2009, une tempête en France a brisé des digues dans l'Ouest : plusieurs morts et des millions de dégâts.
- Or les Assureurs ont constaté que les plus gros des remboursements portaient sur... l'isolation des ces maisons récentes.
- Les publicités d'état affirmaient alors : "Isoler..., vite, ça chauffe !". Bien sûr, le Gouverment avait parfaitement ciblé le vrai danger à court/moyen terme...
Conclusion : une politique de Gribouille dans les faits, basée sur une interprétation où l'idéologie est absolument présente partout, sans une définition précise des priorités.
Tiens, cela me fait penser à la Grippe A: La France (et RoseBonbon) a suivi les plus pessimistes, tandis que la Pologne a écouté les optimistes...
Alors, les prédictions du GIEC variant de 0.3 (soit pas d'augmentation sensible avec les variations saisonnières) à 6°, comment définir une politique mondiale cohérente ?
PS: Et encore, je n'ai pas sorti les arguments critiques sur les travaux du GIEC, ni la propagande des réchauffistes (cf l'affaire 28gate de la BBC).
Amike
Ben on est presque d'accord. Sauf qu'il me semble que tu négliges la réflexion derrière et la nécessité d'avoir des objectifs. Par exemple, il ne me semble pas complètement con d'avoir moins de 50% de l'énergie produite par la même source (alors qu'on sait qu'elle peut être dangereuse et que la matière première, l'uranium, n'est pas produit par nous et n'est pas sans fin).
SupprimerIl est amusant de constater que tu cites en exemple uniquement des conneries de la droite.
Moi, je veux les noms de ces blogueurs... (Des plumes et du goudron)
RépondreSupprimerOui, à la fosse !
RépondreSupprimerL'état des glaciers d'Europe et ceux des Pôles sont alarmants et je ressens le scepticisme comme une injure de plus à la planète.
Le GIEC est aux mains des Témoins de Jéhovah...
RépondreSupprimerLa fin du monde par ci... la fin du monde par là...
Les climato-sceptiques dans leur grande majorité sont des vendus aux lobbys, et les quelques blogueurs comme l'ultra-libéral H16 sont des ânes zélés.
RépondreSupprimer'Ce que je ne comprends pas, c’est l’intérêt d’être sceptique'
RépondreSupprimerC'est avant tout un débat scientifique avant d'être un débat politique. Or des scientifiques indépendants nient le réchauffement climatique (ou son origine anthropique). Ils ne le nient pas par conviction ou parce qu'ils seraient à la solde de lobbies, ils le nient sur des bases scientifiques. Il y a un débat chez les scientifiques, ce n'est pas tranché. Le GIEC lui, a été fondé pour démontrer que l'homme est à l'origine du réchauffement climatique, alors il ne va pas dire le contraire. Cet organisme est condamné à avancer toujours la même thèse.
On en reparlera dans 50 ans. Moi, j'ai des doutes aussi. Mais ça n'empêche de faire avancer l'écologie. L'écologie n'a pas besoin du réchauffement climatique pour exister.
Non. Ils nient sur des bases idéologiques. C'est crétinisme et dangereux.
SupprimerComment le sais-tu ? Tu connais ces milliers de scientifiques sceptiques ? Ont-ils le droit de douter sans passer pour des idéologues ?
RépondreSupprimerOn peut être plus écolo que les écolos et néanmoins sceptique.
Moi je ne suis même plus sceptique, je n'y crois pas.
Cette histoire de plateau depuis 1998, c'es quand même fou...quand on sait les centaines de milliards de mètres cube de CO2 qu'on a rejeté dans l'atmosphère depuis 1998...et je ne sais plus où j'ai lu qu'on a rejeté plus de de CO2 au XXI siècle que le total cumulé d'avant...et malgré tout, les t° ne monteraient plus...bizarre quand même.
et les hivers froids qu'on ne devait plus subir en Europe (selon certains experts interrogés au début des années 2000).
Et après 2003, comme quoi les canicules allaient devenir monnaie courante...on attend toujours depuis.
Je ne suis pas scientifique mais force est de constater que les choses sont moins simples qu'elles en ont l'air. Etre sceptique ou pro-réchauffement climatique n'a rien à voir avec la politique ou l'idéologie. C'est un débat scientifique qu'il faut respecter (et non étouffer). Me concernant, c'est juste un ressenti..une impression.
Justement. Les scientifiques sont à peu près unanimes.
SupprimerNicolas, vous dites sottise sur sottise ! (Mais le sujet veut ça.) Si les scientifiques sont "à peu près" unanimes (ce qui est déjà très exagéré), cela signifie qu'ils ne le sont pas et que, donc, le réchauffement climatique cesse d'être une vérité scientifique pour demeurer une hypothèse.
RépondreSupprimerD'autre part, une science (surtout aussi balbutiante et incertaine que l'est la climatologie) qui ne peut plus être remise en cause cesse du même coup d'être une science pour devenir un dogme.
(Je passe sur les stupidités affligeantes de certains de vos commentateurs : vendus aux lobbys, etc.)
Ne passez pas au contraire, il faut être sacrément borné pour nier le réchauffement climatique. A moins d'être grassement rémunéré par un lobby pollueur, je ne vois pas l’intérêt de défendre la cause des climato-sceptiques.
SupprimerSi 95-97% c'est pas de l'unanimité, je sais pas ce qu'il te faut Didier. Regarde de près le CV des dissidents les plus vocaux dans les media, filtre les vendus et ceux qui ne sont pas spécialistes du climat (genre les mathématiciens qui ne l'ouvrent que pour critiquer la pertinence statistique de certains graphiques) et revient nous dire combien de climatologues il te reste pour contredire l'unanimité. Oui c'est une science et pas un dogme, donc on n'aura que des quasi-certitudes ou de fortes probabilités. Le GIEC a son lexique entre "very likely", "most likely", chacun a sa marge d'erreur. Ils ont reconnu s'être trompés sur certains points, ils ne sont pas sûrs de tout, p.ex. sur la quantité de réchauffement absorbée par les océans, mais la quantité de points sur lesquels les sceptiques peuvent ergoter se réduit comme peau de chagrin tous les ans.
SupprimerMonsieur Camino : on ne peut pas mettre en doute le réchauffement, alors que la température est stable depuis presque 15 ans ?
SupprimerLe doute est la condition même de la science, et les bornés ne sont pas forcément du côté où vous aimeriez les trouver…
Je crois que vous êtes plus ébloui que moi par Evelyne Délhiat, allez voir les quelques chiffres dans l'excellent billet de Melclalex.
SupprimerComme dit Myles Allen, l'un des auteur du rapport du GIEC: "Ce n'est pas une bible, c'est une revue scientifique, un rapport sur la littérature. Franchement, les deux camps sont sont sérieusement confus sur la manière dont la science marche, les critiques du GIEC tout comme les environnementalistes qui prennent sa parole pour évangile." La capacité de certains sceptiques auto-proclamés d'ignorer les faits est assez incroyable. Néanmoins, face à la litanie univoque servie par les media classiques, ils servent à poser des questions intéressantes: quelle part du réchauffement est dû à l'homme/au soleil? Les mesures pour atteindre les objectifs de réduction de CO2 en valent-elles le coût? Dans quelles énergies/technologies investir pour réduire le CO2, peut-on se permettre de sortir du nucléaire? Mais il est vrai que certains 'sceptiques' mériteraient de déménager aux Maldives ou à Kiribati...
RépondreSupprimerCessons de nous quereller. Il est évident que la climatologie n'est toujours pas une science exacte, donc il n'existe, quel que soit l'auteur de celles-ci que des hypothèses. On ne sait même pas si le CO² est scientifiquement la cause principale d'un réchauffement encore à prouver. C'est pourquoi pour le moment on ne sait rien. Il y a eu par le passé des périodes plus froides et des périodes plus chaudes. Même s'il est évident que la production humaine modifie les données, on ne sait pas du tout encore dans quelle mesure.
RépondreSupprimerAlors, isoler, pourquoi pas ? Pour moi, le seul intérêt est qu'on entend moins les bruits extérieurs, ou que de la rue on entend moins un groupe de rock en pleine inspiration dans le salon d'un pote. Quant à la pollution, elle est bien plus importante aux States, par exemple, et encore plus dans les régions côtières chinoises. Pour le reste...
Non. Continuons à nous quereller. La plupart des preuves sont là.
SupprimerA mes yeux, la question est assez simple : y a-t-il ou non un réchauffement climatique d'origine "anthropique"?
RépondreSupprimerSi oui, il est urgent, comme il est fait depuis des années, d'agiter le chiffon rouge pour tenter d'enrayer le réchauffement.
Si non, il est urgent de ne pas le faire, du moins pas pour cette raison.
Or, sauf erreur de ma part, le réchauffement climatique anthropique n'est pas démontré.
Alors, si je dois me contraindre ( économiser l'eau, isoler sa maison, trier mes déchets, subir un cathéchisme cucul-la-praline sur toutes les ondes, prendre les transports en commun, etc...), je veux bien, mais uniquement si l'on m'explique pourquoi.
Si c'est dans un soucis de bonne gestion, par exemple, cela pourrait m'aller. Mais qui se soucie de bonne gestion de nos jours, sans se voir reprocher "une logique comptable"?
Alors, en attendant mieux dans la rigueur écolo-politique, j'ai décidé d'être climato-sceptique, et de m'en balancer assez largement.
Quant aux pays en voie de développement, ils ne se privent pas de répondre qu'ils ne comprennent pas pourquoi ils devraient se contraindre aujourd'hui, alors que jadis les pays actuellement riches ont fait fortune en s'affranchissant de telles sujétions. Je vois mal que leur rétorquer, sinon que lesdits pays riches ( dont la France, évidemment) vont les aider ( financièrement ) pour y parvenir.
Au bout du compte, devinez qui va payer ?
Bref, et pour résumer, je dirais qu'être climato-sceptique sert à éviter de fonder une politique mondiale sur du sable. Ce n'est pas rien tout de même !
( ah, oui, j'oubliais, je suis bien sûr grassement payé par tous les lobbys pétroliers pour écrire ce commentaire !)
Raisonnement par l'absurde sans intérêt. Il y a évidemment intérêt par exemple à prendre les transports en commun pour des raisons de pollution dans certains coins nocive pour la santé et n'ayant rien à voir avec le climat.
SupprimerJe ne vois pas ce qu'il y a d'absurde dans mon propos. Dommage que vous ne vous expliquiez pas d'avantage.
RépondreSupprimerQuant aux transport en commun, vous n'évoquez ce point précis que pour indiquer qu'il peut y avoir des raisons locales de les favoriser.
Mais c'est exactement le contraire de la politique mondiale sur le réchauffement climatique, ça !
Et c'est aussi ce que je tente d'expliquer : on peut avoir des bonnes raisons de fonder une politique destinées à préserver l'environnement.
Pourquoi avoir recours à un hypothétique réchauffement planétaire et anthropique ?
Pourquoi consacrer tant d'énergie à le démonter ?
N'y a-t-il pas mieux à faire, franchement ?
Tu es toujours aussi absurde. Tu demandes pourquoi démontrer un truc auquel tu ne crois pas et que tu as décidé qu'il était faux. La discussion ne m'intéresse pas. Sans compter le fait que dans une discussion tu démontres que ta décision est purement de principe.
SupprimerJ'ai rarement lu des commentaires rechauffistes qui n’étaient pas dogmatiques avec toujours en filigrane "l'homme est mauvais, il faut faire pénitence".
RépondreSupprimerA l'inverse j'ai rarement lu des commentaires sceptiques qui étaient dogmatiques: en général ceux-la sortent des chiffres ou des raisonnements.