La première réflexion que j'ai eue est probablement malheureuse mais, la semaine dernière, les blogueurs réactionnaires pleuraient sur la censure, la liberté d'expression. On voit aujourd'hui que la liberté de la presse est remise en cause par une espèce de fou. D'important dispositifs de sécurité ont été mis en place mais les journalistes ne peuvent pas travailler dans des bunkers ce qu'à rappelé Nicolas Demorand.
Mes pensées vont au blessé. Je ne peux rien faire de plus. Un fou a ouvert le feu dans un journal et sur la voix publique à 1,6 km de mon lieu de travail.
« On voit aujourd'hui que la liberté de la presse est remise en cause par une espèce de fou. »
RépondreSupprimerJ'espérais fortement ne pas lire ce genre de sottises chez vous : c'est raté…
Oui mais je tenais à me foutre de la gueule de ceux qui hurlaient à la censure.
SupprimerJ'attend avec hâte l'arrestation de ce cinglé.
SupprimerC'est le far west, tout le monde peut être armé et se faire justice lui même, c'est ce que demandaient les gens après les attaques de bijouteries chez Etrosi
RépondreSupprimerUn acte de résistance, à n'en point douter, finalement très normal, dans le cadre d'une dictature.
RépondreSupprimerTireur à Paris
RépondreSupprimerLa police recherche un individu qui regarde BFMTV, qui lit Libération et qui a un compte à la Société Générale.
Sûrement
Supprimerla "voix publique" écrivez-vous... intéressant lapsus.
RépondreSupprimerArc.
SupprimerEspérons qu'il s'agisse d'un blanc à cheveux très courts : les sauveurs de république-en-danger vont pouvoir repartir au front.
RépondreSupprimerC'est un chauve, je crois...
SupprimerUn défenseur de la liberté de la presse, à n'en point douter. Grand dommage, oui, grand dommage, que comme d'habitude ce soit un innocent qui trinque.
RépondreSupprimerLa presse n'est plus libre depuis longtemps, Libé comme les autres, voire plus encore que certains autres.
C'est plus que la presse.
Supprimer"Un défenseur de la liberté de la presse, à n'en point douter."
SupprimerNon. Un malade mental. Point.
Et la liberté de la banque remise en cause par une espèce de fou, qui en parle ?
RépondreSupprimerTiens, c'est marrant, ce n'est pas la république qu'on assassine, ce n'est pas je ne sais quel machin qui est remis en cause.
Si ça se trouve c'est un type qui trouve seulement que Libé est devenu un torchon qui ne vaut plus le prix auquel il est vendu et qui voulait signifier à la SG que le tarif des agios est trop élevé.
Much ado about almost nothing.
Petit fait à relever : Valls parle de véritable scène de guerre lorsque c'est un journal qui est visé. A Marseille ça tombe comme à Gravelotte, et pire encore dans les DOM-TOM, mais c'est ce qui se passe à Libé qui mérite les grandes envolées creuses et somme toute drôlatiques à force d'emphase.
Ce qui s'est passé est très grave, j'en conviens, mais en regard de ce qui est presque le quotidien de milliers de gens dans certains coins, en faire des caisses m'apparaît comme déplacé. Je serais marseillais, guadeloupéen ou guyanais je l'aurais mauvaise.
Vous auriez grise mine... ;-)
SupprimerRaciste !
SupprimerJe résume. J'ai fait ce billet quand j'ai vu que la fusillade a eu lieu à 2km de mon bureau. Mais j'ai eu cette pensée quand j'ai vu que Libé avait été la cible.
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