En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
Les mêmes lunettes et visiblement le même mètre à penser : Henry Queuille. Quelques unes de ses maximes sont communes aux deux bougres :
- Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. - Toute réforme fiscale consiste à supprimer des impôts sur des choses qui étaient taxées depuis longtemps pour les remplacer par des nouveaux plus lourds, sur des choses qui ne l'étaient pas. - Quand vous êtes embêtés, embrouillez tout.
En fait, ce n'est pas le retour de Chirac, mais avec ces deux-là, se confirme le retour à la IVème république. Certains douteront, pourtant la bronca des parlementaires qui entendent bien retrouver leur pouvoir perdu, est un signe qui ne trompe pas. Si jamais cela arrive, la maison France pourra définitivement mettre la clef sous la porte. Le parlementarisme a toujours fait partie des maux récurrents frappant notre nation.
La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...
Saisissant! C'est la Corrèze ça!
RépondreSupprimerÇa creuse.
SupprimerLes mêmes lunettes et visiblement le même mètre à penser : Henry Queuille. Quelques unes de ses maximes sont communes aux deux bougres :
RépondreSupprimer- Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout.
- Toute réforme fiscale consiste à supprimer des impôts sur des choses qui étaient taxées depuis longtemps pour les remplacer par des nouveaux plus lourds, sur des choses qui ne l'étaient pas.
- Quand vous êtes embêtés, embrouillez tout.
En fait, ce n'est pas le retour de Chirac, mais avec ces deux-là, se confirme le retour à la IVème république. Certains douteront, pourtant la bronca des parlementaires qui entendent bien retrouver leur pouvoir perdu, est un signe qui ne trompe pas. Si jamais cela arrive, la maison France pourra définitivement mettre la clef sous la porte. Le parlementarisme a toujours fait partie des maux récurrents frappant notre nation.
Bah ! Les députés socialos sont un peu cons.
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