Il y a cent ans, Jean Jaurès était assassiné et Louis de
Funès venait au monde mais il ne va pas beaucoup mieux maintenant. L’avocat de
Nicolas Sarkozy, Me Thierry Herzog, a voulu lui rendre hommage dans cette
scène racontée par Médiapart.
« Le 4 mars, une escouade de policiers débarque dans les bureaux et
au domicile de Me Herzog, à Paris et à Nice. Ils sont chargés d’exécuter les
actes d’instruction des juges Patricia Simon et Claire Thépaut, qui enquêtent
sur les liens troubles de Nicolas Sarkozy et de son avocat avec le haut
magistrat de la Cour de cassation, Gilbert Azibert. »
« Thierry Herzog était si sûr de sa stratégie téléphonique, digne
d'un épisode de The Wire, que ce 4 mars, quand un enquêteur lui demande en
pleine perquisition combien de téléphones il possède, il répond sans ciller : «
Un seul. » L’enquêteur se permet d’insister, lui demandant s’il est vraiment
certain de n’utiliser qu’une seule ligne. L’avocat est formel. Oui, une seule.
C’est alors qu’un enquêteur tape le numéro de son téléphone secret, qu’il
utilise avec “Paul Bismuth”, pensant ainsi tromper la vigilance des policiers.
Une sonnerie retentit alors à quelques mètres de là. Le téléphone était caché
dans un peignoir de l’avocat, suspendu dans sa salle de bains. »
Imaginez Louis de Funès dans la scène, jouant le rôle de l’avocat,
est à mourir de rire.
malheureusement il est plus là pour faire le film
RépondreSupprimerdommage
Je ne serais pas étonné de voir un jour Nicolas Sarkozy faire une petite carrière d'acteur, un peu comme Bernard Tapie.
RépondreSupprimerC’est alors qu’un enquêteur tape le numéro de son téléphone secret, qu’il utilise avec “Paul Bismuth”, pensant ainsi tromper la vigilance des policiers.
RépondreSupprimerHeu…, c'est moi, ou cette phrase est mal formulée ?
He he he je vois tout à fait la scène :-)
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