En salle

03 novembre 2014

Encore une inégalité hommes-femmes !

Je pense que vous ne savez pas que le « shampoing, coupe, coiffure » du Franck Provost de Bourg-en-Bresse coûte 23 euros pour les hommes et 36 pour les femmes. Ceci est révoltant et nous devons lutter pour l’égalité plutôt que de passer notre temps au bistro. Je vais participer à la cause.

Mais tout d’abord, je tiens à présenter mes excuses au personnel et aux dirigeants du commerce que je viens de stigmatiser avec une rare virulence. Franck Provost est la chaîne que je fréquente et le classement des salons par ordre des départements puis par ordre alphabétique du nom de la commune fait que ce commerce est en premier sur le site web. Et les prix ne sont pas affichés pour le mien.

Toujours est-il qu’un « collectif a mis en lumière une différence de prix entre les produits et services destinés aux hommes et ceux qui s'adressent aux femmes. Bercy lance une enquête. » C’est le Point qui nous le dit. Soyons honnêtes : quand j’ai vu cela, j’ai retenu mon hilarité par principe, mais bon. Surtout que l’article est le premier de la une de Google News.

Outre la coiffure, l’article cite quelques exemples comme les rasoirs et le pressing. Faire laver un chemisier est plus cher que faire laver une chemise. Je suis un blogueur consciencieux. J’ai pris mon Google préféré et j’ai fait un sondage auprès d’un pressing. Le lavage d’une chemise homme coûte 3 euros pour le bas de gamme et 6€50 pour du machin de luxe. Le lavage d’un chemisier coûte 10€50. La différence est en effet extraordinaire. Menant un véritable travail d’investigation, j’ai cherché ce qu’était un chemisier. La différence saute aux yeux de tous les observateurs de la mode, même moi, c’est vous dire. C’est donc dans le Larousse que mis toute ma confiance : « Corsage de femme dont la coupe s'inspire de la chemise d'homme», le corsage étant : « Vêtement féminin qui habille le buste. »

Je ne suis pas que blogueur d’investigation mais aussi blogueur de déduction, de réflexion, d’analyse.

Pour les rasoirs, la question ne se pose pas. La différence de prix est strictement un phénomène de marketing mais répond aussi à une logique financière habituelle : la loi de l’offre et de la demande. Les hommes ayant plus de poil que les femmes – ce qui est une inégalité assez peu dénoncée à sa juste valeur, ils consomment plus de rasoir, le coût de production est donc moins élevé et, en plus, il y a beaucoup plus de concurrence puisque le marché est juteux. Plus de demande mais aussi plus d’offre.  Les rasoirs pour homme sont en vente au rayon des machins pour que les hommes se lavent, les rasoirs pour femmes sont venus au rayon « hygiène et beauté féminine ». Les rasoirs pour homme sont bleus ou verts, les rasoirs pour femme sont rose. Ce n’est pas un choix de la nature, nous en conviendront aisément, mais un truc marketing qu’il faut dénoncer avec une très grande véhémence. C’est mal. Il n’empêche que ça explique la différence de tarif.

Ce raisonnement ne doit pas s’arrêter là. Si les rasoirs pour hommes sont les mêmes produits que les rasoirs pour femmes, les femmes peuvent utiliser des rasoirs pour homme, voire piquer le rasoir de leur mari mais ce n’est pas hygiénique (c’est beaucoup plus mauvais pour la santé que d’échanger les brosses à dents, à cause des microcoupures susceptibles de générer des saignements et donc l’échange de méchant virus comme celui du sida ou de la jambe cassée).

Ainsi, si elles payent plus cher leurs rasoirs, c’est uniquement par bêtises ce qui prouve bien que nous ne pouvons pas être réellement égaux. Par ailleurs, il faudrait faire une étude pour savoir si les hommes et les femmes homosexuelles utilisent des rasoirs pour l’autre sexe, notamment s’ils sont dans la catégorie des passifs pour les hommes voire des actives pour les femmes mais vous m’expliquerez plus tard  ce que cela veut dire, ce n’est pas l’heure de se taper une branlette, nous traitons un sujet sérieux.

Ainsi, si la femme peut acheter et utiliser un rasoir pour homme, je ne vois pas pourquoi elle ne pourrait pas aller chez le coiffeur et demander : « bonjour, je voudrais une coupe pour homme, s’il vous plait ». La coiffeuse avisée ou le coiffeur homosexuel répondrait : « hé ho, vous n’êtes pas un homme ». Ce en quoi la dame pourrait répondre : « Et alors, si je veux une coupe pour homme, hein ? Qu’est-ce que vous avez à répondre à cela ? ». L’honnête commerçant se dirait alors qu’il est tombé sur une casse-couille et abandonnerait immédiatement. La dame aurait en plus le plaisir d’être coiffée en silence par un lascar faisant la gueule. Parce que les discussions des coiffeurs, hein…

Poussons un peu plus loin. Imaginons un homme avec une coiffure particulière, un brushing, les cheveux longs, ou que sais-je ? Cela ne choquerait strictement personne qu’on lui fasse  payer le tarif femme. Nous sommes donc, dans ce combat, dans une discrimination à l’envers. Ce sont bien les hommes qui sont discriminés parce qu’il est affiché « tarif hommes » sur la devanture d’un commerce. En fait, les féministes qui dénoncent cette histoire de tarifs différents, stigmatisent directement les hommes alors qu’elles devraient stigmatiser les coiffeurs.

Le sujet est intéressant. Un homme va chez le coiffeur parce qu’il le faut ou parce qu’il est temps, ou parce qu’il va se faire engueuler par sa femme, ou parce qu’il se fait chier au bureau. Il choisit de préférence un coiffeur sans rendez-vous, qu’il connait un peu parce que ça l’emmerde de répondre à la question « il se coiffe comment ? » et tout ça. La femme va chez le coiffeur pour se faire belle. Elle prend rendez-vous à l’avance pour être sûr d’être prise et va toujours chez la même coiffeuse car elle la coiffe bien, elle, et elle se rappelle toujours de la référence de la couleur.

Vous me direz que ceci est immonde cliché machiste et vous aurez probablement raison. Il n’empêche que le jour où les femmes trouveront que cela fait distingué d’être chauve, on pourra étudier à nouveau le problème et elles pourront acheter un rasoir à sabot qui pourront à la fois leur permettre de se raser le crâne et tous les endroits qu’il est d’usage de se raser, ce qui n’est pas l’objet du billet, bien que l’on pourrait rigoler. La pilosité des femmes est un éternel sujet de réjouissance.

Nous avons traité le cas des poils à un détail près : je n’ai pas consulté les tarifs sur internet pour les rasoirs mais uniquement pour les coiffeurs et le pressing.  Je vous laisse faire les recherches vous-mêmes. C’est un peu chiant parce qu’il faut pouvoir comparer des produits et conditionnements identiques, dans des même gammes. Notons d’ailleurs que nos féministes du jour sont un peu fainéants de même que les gens des ministères : l’étude est assez facile à faire avec Google ou dans le supermarché du coin.

Il nous reste le cas du lavage des chemisiers.

S’il est avéré que les femmes peuvent utiliser des rasoirs pour homme et quasi avéré qu’un coiffeur ne rechignerait pas à faire une coupe pour homme à une femme, le lavage des chemisiers est un cas particulier. Certes, une femme pourrait mettre des chemises pour homme mais elle aurait un problème, ne le cachons pas mais faites sortir les enfants, au niveau des nichons, du moins celles qui ont des nichons normaux ou gros.

Ainsi, la principale différence entre les chemisiers et les chemises est provoquée par les nichons. Si on parle de pressing, nous sommes dans des fringues de haut de gamme. Une personne avisée ne confie pas des chemises de bas de gamme ou de milieu de gamme ne confie aucunement ses chemises à laver à un pressing et trouve une solution pour le repassage.

Les chemisiers ont une coupe particulière à cause des nichons avec des tissus particuliers. Cette coupe particulière provoque des difficultés complémentaires pour l’entretien et notamment le repassage. C’est donc plus cher.

Nous pourrions évoquer les solutions comme nous l’avons fait pour le rasoir et le coiffeur mais je n’en trouve aucune qui ne soit pas tirée par les cheveux. Nous avons évidemment des solutions rigolotes comme forcer les hommes à porter des faux seins ce qui permettrait, en plus, aux homosexuels de pratiquer la cravate de notaire à moindre prix mais elles ne sont pas sérieuses.

Nous pourrions proposer une loi qui obligerait les pressings à pratiquer une égalité tarifaire. Cela serait évidemment complètement grotesque mais je m’en fous : faire laver des chemises en pressing est une solution de riches. Il n’empêche que le coût pour le lavage des chemises pour homme augmenterait, ce qui serait une forme de discrimination inacceptable.

Puisque nous avons une solution par la loi pour le pressing, qu’en est-il du reste ? Je ne plaisante pas. C’est bien le ministère de l’économie qui a été saisi par ce collectif féministe, pas celui du droit des femmes. Ce dernier aurait pu faire des campagnes, négocier avec les industriels et professionnels concernés. Le sujet étant pris en main par Bercy, cela sent bon la volonté des féministes de faire légiférer. Du genre : il est interdit de :

Petit 1 : faire des produits réservés à un genre quand les deux genres peuvent utiliser le même. Le cas des préservatifs donnera lieu à une exception. Pas les sous-vêtements. Les consommateurs ne sont pas assez idiots pour voir que les petites culottes de dentelles sont plus spécialement conçues pour les femmes et les slips kangourou pour les hommes même si une exclusivité d’usage ne peut pas être affirmée. En plus, les rayons de lingerie ne pourront plus être séparés dans les magasins et on aura des érections en regardant la lingerie fine en choisissant des caleçons.

Petit 2 : afficher des tarifs différents pour les hommes et pour les femmes.  Ceci pourrait fonctionner pour les rasoirs et nous resterions becs dans l’eau pour les chemisiers. La politique tarifaire des coiffeurs deviendrait délirante et le prix de la coupe homme pourrait augmenter ce qui inciterait de plus en plus de lascars à se couper les cheveux eux-mêmes. Nos rues seraient remplies de types rasés de près.

Avec ce genre de billet, je ne vais pas calmer ma réputation de réactionnaire. Il n’empêche qu’il me serait agréable de savoir que mes impôts ne sont pas utilisés à payer des fonctionnaires faisant des études idiotes.

Néanmoins, je vous propose un exercice : regardez l'illustration de ce billet. Si une femme peut mettre un caleçon homme sans problème (a priori, ce vêtement n'est pas destiné à être montré à tout le monde), un homme pourrait mettre un caleçon de femme mais aurait la bite à l'étroit.

Voila une discrimination qu'il faut combattre.


34 commentaires:

  1. Les hommes et les femmes ont exactement le même nombre de poils. Mais ceux des femmes – hormis en certains endroits – sont minuscules, extrêmement fins, transparents, et dont invisibles à l'œil nu. Il en va d'ailleurs de même pour les hommes, aux endroits où on les pense glabres.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je vois que vous êtes allé vérifier cela de très près....

      Supprimer
    2. À une lointaine époque, oui…

      Supprimer
    3. Cela étant c'est la preuve que Dieu a parfaitement conçu l'égalité et qu'il n'était pas saoul. Lui. Contrairement au militants feministes.

      Supprimer
  2. Réponses
    1. Merci mais c'est parce que vous croyez voir du second degré dans ce billet alors que c'est plutôt du 12 degrés 5.

      Supprimer
  3. Tu pourrais utilement comparer le prix du soutien-gorge pour homme ( https://xdress.com/ ) avec le prix du soutien-gorge pour femmes.....

    RépondreSupprimer
  4. La longueur de ce billet est proportionnel au plaisir que sa lecture procure.
    Tu as vraiment du succès auprès des réacs ? Je deviens un peu réac alors ?
    Cela dit, pour le nettoyage du chemisier, c'est un pu tiré par les cheveux. Il ya des chemises hommes dix fois plus compliqué a repasser que les petits plis pour les nichons. En même temps, il y a beaucoup d'hommes qui ne lavent pas ses chemises alors que peu de femmes ne le font pas ou alors c'est du a un textile particulier et délicat d'ou le prix ! Voilà !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci. Généralement les types qui aiment mes conneries sont reacs. De droite comme de gauche.

      Pour les chemises homme, tu as raison. J'ai voulu en faire un billet une fous mais je n'ai pas eu l'inspiration ou la matière. Bossant à La Défense, je vous un tas de types dans le métro avec des chemises qu'ils ont récupérées au pressing. Ça me fait pitié.

      Supprimer
    2. Je vous approive tellement qie désormaus , comme vous, je remplacerau les u par des i . Là dessis, je vaus aller me faire enculer avant que vois ne m'untumuez l'ordre de le faure

      Supprimer
    3. Les voyelles sont vraiment des salopes. Je suis SUR qu'elles couchent le premier soir.

      Supprimer
  5. Je recommence mon commentaire car je n'étais pas identifié.
    En plus court :
    Ton billet est proportionnellement aussi long que le plaisir que sa lecture procure.
    Tu as maintenant beaucoup de succès auprès des réacs ? Le deviens je ?
    Enfin, le truc pour le chemisier justifié a cause des nichons...j'avais trouvé une autre explication mais bon ....textile délicat, tout ça.....

    RépondreSupprimer
  6. Grandiose! Je suis en total accord avec ce que t'as écrit! Et j'ai bien ri!!

    RépondreSupprimer
  7. Bravo !
    (mais l'échange de commentaires de Jégoun/Jacques Etienne est très bien aussi !)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci. C'est parce que Jacques Etienne a des gros nichons.

      Supprimer
  8. Bon, j'ai tout bien lu, en long, en large et un peu aussi en travers pour faire bonne mesure et j'ai à peu prés tout bien saisi sur le pourquoi du comment le prix du nettoyage du chemisier est proportionnel à la difficulté inhérente à la complexité de repassage induite par la taille des nichons de la propriétaire du dit chemisier (pas clair tout ça....je n'ose même pas relire, c'est dire....).
    D'ailleurs est-ce que le prix du nettoyage-repassage tient compte de la taille des attraits de la dame ?
    J'ai juste un doute, et là il faudra qu'un jour tu nous fasse un billet pour nous expliquer : comment s'attrape le virus de la jambe cassée ?

    RépondreSupprimer
  9. Amusant !
    (Juste un bémol il est hors de question que je prête ma brosse à dents)

    RépondreSupprimer
  10. On parle beaucoup de cette enquête, sur les ondes et dans la presse.
    Et je prédis que les rasoirs roses n'ont pas de beaux jours devant eux. J'ai lu dans Ouest France que le surcoût du rose serait de mille euros par femme et par an.
    Mille euros de surcoût de rasoirs ? à 1,50€ les dix ? J'espère qu'ils se sont trompés. Ou alors je me demande à quel genre de monstres ils ont eu affaire.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. eh Suzanne le surcout de 1000€ / an serait sur des articles ou services de mêmes fonctions mais " genrés" (destinés à lui ou elle ) donc les exemples donnés par Nicolas coiffure, pressing, déodorant à la rillette .....

      Supprimer
    2. Ok, Fidel. Même si c'est pour le tout, je trouve ça quand même énorme. Plus de 80€ par mois, alors qu'il n'y a MEME PAS de bière spécifiquement féminine ?

      Supprimer
    3. oui j'ai tilté hier sur la somme mais les abrutis qui font ce genre de reportage prennent l'info pour faire du buzzzzzz et comme on dit plus c'est gros plus ça passe alors quand c'est énorme :)
      mais on nous la fait pas à nous

      Supprimer
  11. Tout le monde ricanne mais cette difference a ete mise en evidence notamment aux usa, pour les mutuelles par exemple alors meme qu'en prenant en compte la maternite et la longevite, les femmes en moyenne coutent moins chers que les hommes en frais medicaux. Pour l'accès aux prets, pour les voitures, l'immobilier, ect...a revenu egal, une femme aura de moins bonnes conditions. Pour les noirs aussi mais la tout le monde trouve ca choquant.
    Les produits de beaute, on peut rigoler mais il existe tres peu de produit a odeur neutre, et le shampoing a fleur coute bien plus cher que celui au santal. Les yaka acheter ceux au santal seraient les premiers a hurler contre le djendeur ou faire des blagues aux femmes portant des odeurs dites masculines.
    Couplé aux salaires moins eleves, oui il y a une taxe feminine de plusieurs milliers de dollars/euros par an.
    Aux usa, ils ont fait une etude chez un concessionnaire, où il y avair un vendeur qui explosait les ventes depuis des annees par rapport à ses collegues. La difference etait qu'il proposait les memes ristournes aux noirs jeunes ou femmes qu'aux hommes blancs d'un age raisonnable. Il avait travaille sur ses prejuges inconscients. Et alors meme qu'on a montre a ses collegues qu'ils travaillaient avec un biais du a des prejuges inconscients, et qu'ils perdaient donc du chiffre d'affaires, la situation n'a quasiment pas evolue. C'est absurdland, on peut ricaner mais finalement ca ne profite a personne.
    Les rasoirs c'etait un message simple pour buzzer (surtout mis en valeur par les medias ricaneurs et occulter l'etude plus approfondie), mais c'est quand meme une realite.

    RépondreSupprimer
  12. Ce billet m'étant gentiment dédié sur Twitter, je me dois de le commenter et je suis d'accord avec toi Nicolas... Mais aussi avec Lyly.
    Cette histoire de chemise-chemisier est complètement débile. J'en porte tous les jours et il m'arrive de repasser et bien franchement, j'ai plus vite fait de repasser mes chemises que celles de Monsieur qui sont deux fois plus grandes en long et en large.
    Par ailleurs, je ne connais pas une seule gonzesse autour de moi qui parle de "chemisier". Nous portons des chemises et basta.
    Quant au tarif chez les coiffeurs, c'est complètement débile aussi. Monsieur a les cheveux aussi longs que moi et il paie 10 € de moins pour le même genre de coupe.
    Et les assurances voiture qui sont (à moins que ce ne soit plus le cas) moins chères pour les femmes sous prétexte qu'elles ont moins d'accident. C'est très con aussi puisque c'est un préjugé qui se base sur une époque où les femmes n'avaient pas ou peu le permis. Or, aujourd'hui, elles conduisent autant que les hommes. Je suis donc opposée à une sur-tarification masculine.
    Le problème avec ce genre de problème, c'est que les prix vont être nivelés par le haute et qu'on sera tous perdants.
    Sinon, en ce qui concerne les rasoirs, tu as raison, nous sommes tous-tes des victimes du marketing parce qu'un rasoir quelle que soit sa couleur, rase et c'est bien là le principal.
    Par contre, là ou Lyly a raison, c'est que dans notre société, un homme qui sent l'Air du Temps de Nina Ricci ou une femme qui se parfume avec Terre d'Hermès, et bien ça gène, c'est pas "normal", c'est louche...
    Idem pour les gels douche, Monsieur a beau être ouvert d'esprit, jamais il ne se lavera avec un truc qui sent la vanille...

    RépondreSupprimer
  13. J'avais fait une longue reponse à Lyly et Elooooody mais ca a planté

    Merci !

    RépondreSupprimer
  14. ça fait longtemps que certain homme ont adopté l'égalité homme-lingerie femme en portant de la lingerie fine au lieu de ces caleçons peu attrayant.
    www.culotte.me
    un blog sur les hommes en lingerie .

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...