Et évidemment les éternels analystes en culotte courte ou string rose ont commencé à critiquer la presse qui ne vérifie pas l'information et qui publie rapidement pour avoir des lecteurs.
Je rappelle à ces imbéciles qu'en RTant l'information sans la vérifier ils ont participé à la circulation de la rumeur. Je rappelle à ces imbéciles que ça ne sert à rien de RT une telle information puisqu'elle est à la une de l'actualité.
Ils me rappellent les abrutis qui mettent plein de ha stages dans les titres de leurs billets pour montrer qu'ils connaissent la communication moderne et vont faire du buzz.
Et ils critiquent les journalistes alors qu'ils ne font que se croire du métier.
Tiens, j'en connais qui abusent des # dans le titre, c'est vrai que c'est naze je trouve.
RépondreSupprimerC'est grotesque.
SupprimerC'était du délire hier ce truc... On s'emballe médiatiquement d'un rien en ce moment. C'est effrayant
RépondreSupprimerJ'ai vu ton billet...
Supprimer#je n'ai #pas pu #participer à la #curée j'avais #utilisé mon #quota de ## pour le #mois de #février
RépondreSupprimerAh #merde.
SupprimerIl y en a qui en ont profité pour dire "laisse béton" ... :)
RépondreSupprimerHeu.
SupprimerCurieux de connaître les gros mouvements boursiers qui ont dû immédiatement suivre cette fausse nouvelle, puis son démenti une demi-heure plus tard, et combien de mecs se sont fait (ou ont perdu) un paquet de fric .
RépondreSupprimerPas le samedi...
SupprimerL'information sur la mort de Martin Bouyghes n'était pas fausse. Elle était juste anticipée.
RépondreSupprimerCertes...
SupprimerC'est d'autant plus stupide, cet emballement, que c'est arrivé des dizaines et des dizaines de fois, et à des époques où ni internet ni les réseaux dits sociaux n'existaient pas. C'est ce qu'on appelle : l'erreur humaine ; pas de quoi grimper aux rideaux.
RépondreSupprimerCela me rappelle que, durant la Seconde Guerre, Paul Léautaud a vécu ce rêve de tout écrivain (de toute personne connue en général) : lire ce qu'on dirait de lui à sa mort. En effet, en 1941 ou 1942, les journaux de la zone "nono" ont annoncé sa mort, lui vivant tout tranquillement à Fontenay comme avant la guerre. Vu la difficulté des communication entre les deux zones, il s'est bien passé deux ou trois jours avant que la vérité fût rétablie ; si bien que les journaux de la France de Pétain ont eu le temps de publier des articles de fond, des portraits, etc., autant d'articles que Léautaud a eu tout le loisir de lire ensuite.
On est d'accord, Didier. Mais ce qui me gêne est le côté faux cul des twittos qui se sont empressés de vouloir faire le buzz et condamnent ensuite les journalistes dans leur globalité alors que c'est uniquement ce que vous appelez une erreur humaine.
SupprimerJe n'arrive pas à me rappeler quel autre écrivain avait vu, lui aussi, sa mort annoncée dans un journal. Il avait aussitôt fait passer un écho dans la presse, affirmant que la nouvelle était "très exagérée"…
SupprimerMark Twain a dit ça. Il me semble que Sherlock Holmes l'a dit aussi quand Conan Doyle a été oblig de le ressuciter.
SupprimerIl ne manquerait plus que Didier Goux le dise.
SupprimerTwain, exact !
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