C'est une proposition sympathique des élus de l'opposition mais je me pose des questions. Tout d'abord quoi faire ces journées ? Je mets un pagne et je bois du rhum avec Tonnégrande pendant qu'il boit du rouge de comptoir. Mais la question n'est pas là. Trois ou quatre jours par an en pagne, je pourrais assumer. A condition qu'on me trouve un gros pagne. Cela étant, je pourrais multiplier les clichés racistes mais mon seul but est de poser une question. Ou plusieurs.
Qu'est-ce qu'on fait les journées qui ne sont pas du vivre ensemble ? On se fout sur la gueule ? Je ne parle plus à Tonnégrande ? J'interdis à ma concierge portugaise de faire le ménage à mon étage ? Je ruse pour ne pas croiser mes voisins juifs sur le palier ? Et les samedis soir, hein, les samedis soir ? J'évite les bistros kabyles ? Ah ! Le dimanche midi. J'arrête de manger à la Cométe où le cuisto me paraît de souche sri lankaise ?
Est-ce que ces clowns ne pourraient pas demander 365 jours par an de vivre ensemble ? On se foutrait sur la gueule le 29 février tous les quatre ans.
Cela étant, je revendique le droit de manger du couscous plus d'une fois par an.
Un de ces jours, les députés de droite vont nous sortir une loi pour interdire d'être racistes un jour par an. On avance.
Toujours.
RépondreSupprimerQuand ils s'y mettent à l'UDI c'est des oufs.
RépondreSupprimerOui. Ils sont très forts.
SupprimerPour perpétuer l'esprit du onze janvier ils serait bien que dans la Meuse les gens sortent voter au prochaines législatives pour sortir ce procastinateur de compète. Bobillet
RépondreSupprimerMerci.
SupprimerSi les députés de droite (enfin, de droite…) pouvaient éviter de reprendre les conneries et le vocabulaire stupide des députés de gauche, ce serait déjà bien.
RépondreSupprimerNe jouez pas à Droite de Combat.
SupprimerC'est quand ils n'ont rien à dire, d'intelligent, qu'ils ouvrent leur gueule
RépondreSupprimerC'est souvent.
SupprimerOn peut toujours vivre ensemble, mais pas avec n'importe qui...
RépondreSupprimerEt ?
SupprimerVivre à côté, j'dis pas; Mais vivre avec les cons, faut voir.
RépondreSupprimerAu bistro, on n'a pas le choix.
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