En salle

27 avril 2015

Le burn out du blogueur politique de droite

Dans son blog, Pierre Parrillo a fait cinq billets pour critiquer le gouvernement parce que l’attentat machin avait été déjoué par hasard. Aujourd’hui, entre autres âneries, il fait un billet pour critiquer la mère du terroriste en peau de zob en question parce qu’elle défend son fils, qu’elle dit que ce n’est pas possible qu’il en arrive là et tout ça.

Et il enfonce la dame.

Qui défend son fils.

Lamentable. Abject. Idiot. Inutile. Vous pouvez ajouter des adjectifs.

A cause de ce billet, je crois qu'il vient de battre le record du blogueur qui méritait le plus de mépris.

Ce type frôle probablement le burn out (lisez ses derniers billets et la vitesse de production de billets sur les mêmes sujets, on dirait moi à l’époque où je n’avais que ça à foutre). Il a néanmoins un intérêt : donner des sujets de billets assez faciles à rédiger.

33 commentaires:

  1. Tu n'en as pas marre de faire de la pub pour ce sombre con ?

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    1. Non. Ça m'amuse. Et relativise. D'une part ça le fait passer pour un con auprès des blogueurs qui me lisent. D'autre part, ce billet sera lu par 300 lecteurs sur 45000000 d'électeurs.

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    2. Vu comme ça...
      Mais être aussi con à ce niveau, c'est Olympique !

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  2. Pauvre femme, stigmatisée uniquement parce que son fils a tué et préparé un attentat.

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    1. Connard. Elle stigmatisée parle qu'elle ne croit pas son fils capable d'avoir fait ça.

      Demande à ta mère si elle te croit assez con pour avoir laissé un tel commentaire.

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    2. Hu hu hu ! Pan dans les dents !

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  3. Camus disait qu'entre la justice et sa mère, il choisirait toujours sa mère. Il me semble bien normal que l'inverse soit vrai aussi.

    Si demain vous vous pointiez chez moi en me disant que, suite à l'ingestion de 48 demis consécutifs, vous avez sottement violé un petit garçon de huit ans et que vous avez la maréchaussée aux trousses, je vous planquerais chez moi et dirais aux flics que je ne vous ai pas vu.

    Pourtant, vous n'êtes ni mon fils, ni ma mère.

    Enfin, j'espère.

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    1. Quel Camus ? Quel inverse ?

      Je ne peux pas être votre fils. Mon père buvait et fumait.

      Et c'est quand je bois moins de 40 bières que je pense à violer des petits garçons. Après, c'est des types de dix ans de plus que moi.

      Trêve de conneries : évidemment que vous avez raison. Une mère est une mère et un ami un ami. Tant pis pour l'éventuel délit de complicité ou je ne sais quelle connerie.

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  4. A propos de record, n'auriez-vous pas lu un peu rapidement, et commis une infime erreur d'interprétation sur les Twitts de Madame Rivka à qui vous faites dire l'exact contraire de ce qu'ils disent ? De plus, si elle prônait ce qu'elle décrit comme l'aboutissement logique de l'obsession antisioniste, cela relèverait-il de l'antisémitisme ordinaire ?

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    1. Gné ? Il me semble que vous commentez un de mes billets d'un autre blog. Mais j'ai lu vu que j'ai fait une copie d'écran. Le coup de l'humour est trop facile. Seuls les juifs pourraient rire des juifs. Et si j'avais écrit la même chose ? J'aurais un procès ? Cela dit avec du recul. Elle n'a même pas le prétexte de l'humour, son tweet n'est pas drôle. Il faut arrêter les conneries. Si je dis qu'il faut exterminer les sionistes qui ne veulent pas arrêter de coloniser et tout çà, je vais en prison pour incitation à la haine raciale. Pas un juif parle qu'il fait de l'humour ? Et vous voudriez lutter contre l'antisémitisme ? C'est grave.

      Cela étant, je revendique la liberté d'expression, son droit de dire des conneries, mon droit de dire des conneries. Mais pas le droit des juifs de dire du mal des juifs en interdisant aux autres d'en dire ou celui des gros de dire du mal des gros en interdisant aux autre d'en dire.

      Et je suis gros pratiquant.

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  5. Désolé, j'ai essayé de vous répondre mais la technique ne suit pas !

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  6. Où donc voyez-vous que Rivka dit du mal des juifs ? Je persiste à dire que vous faites un énorme contresens ( pas un gros, hein !) sur ses propos.

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    1. Elle ne dit pas de mal. Elle dit qu'elle veut les exterminer.

      Maintenant : stop. Commentez le bon billet. Ça doit être il y a deux ou trois jours sur http://macomete.com.

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  7. Mille excuses, je n'arrive pas à placer un commentaire sur le bon billet.
    Elle ne dit pas qu'elle veut exterminer les juifs, elle dit que les antisionistes le veulent, ou du moins que ce serait la conséquence obligatoire de leur position politique. Il est manifeste qu'elle-même n'est pas antisioniste !
    Ne publiez pas ce commentaire, mais, s'il vous plaît, relisez posément les twitts eN question. Merci par avance !

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  8. Tu es hors sujet. On parle de l'imbécile de blogueur.

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  9. Oui. C'est encore moi qui décide des sujets de mes billets. Mais ta mère te pardonnerait de penser autrement. Si tu as une mère, hein ! Vu ta connerie, on pourrait plutôt concevoir que tu as été conçu dans une éprouvette.

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  10. Il est particulièrement énervant lorsqu’il parle de ce qu'il ne connait pas.
    Mais faut croire que c'est sa marque de fabrique

    (Sinon, je me pose la question, c'est un exilé fiscal ce gars ou il vit en Suisse par plaisir ?)

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    1. Ça n'est qu'un con ordinaire.

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    2. Ah parce qu'il vit en Suisse en plus?

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    3. Ah merde. Pourquoi croyais-je donc qu'il vivait chez les Helvètes...J'ai dû lire ça un jour...

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  11. Du moment qu'il a deux courtisans qui pensent comme lui, il pense détenir la vérité, pauvre Madame Parrillo mère qui doit subir cela et affirmer qu'elle aime bien son rejeton

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    1. Pauvre dame... J'espère qu'elle ne lit pas son blog.

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  12. C'est le mal du blogueur, le nez dans le guidon, toujours prêt à rebondir sur l'info, il est tellement dans son truc qu'il en oublie l'essentiel. Une mère sera toujours une mère pour son enfant, quoi qu'il ait pu commettre. Ceci dit, je m'en fiche, je ne lis pas ce type.

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  13. Arrêtez de nous parler de cet âne bâté, ça m'oblige à chaque fois, par curiosité, a d'effectuer une recherche. Ou d'aller chez Goux pour trouver le lien...

    C'est d'un déprimant...

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  14. Si je tuais quelqu'un, je ne suis pas sûr que ma mère m'approuve aveuglément.

    Je ne suis pas non plus très sûr qu'elle ne me livre pas à la justice, si tant est que je cherche refuge chez elle, ce qui est très prévisible.

    Je ne suis d'ailleurs pas sur, moi-même, de vouloir l'utiliser comme alibi ou point de chute.

    En fait, je ne vois pas très bien en quoi ma mère serait impliquée d'une façon ou d'une autre dans la commission d'un acte criminelle dont je serais l'auteur. On pourrait vaguement lui reprocher un manque dans mon éducation, mais, vu que mon éducation a été placée dans la main de l'éducation nationale, je ne vois pas pourquoi on n'adresserait pas le même reproche à cette légion d'instits ou de profs qui m'ont formé, dès que j'ai eu l'âge de tenir ma queue pour pisser.

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    1. Tu es hors sujet. Et ma mère l'herbergerait.

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    2. Il ne s'agit pas, pour la mère, d'approuver ou de désapprouver, ce qui n'a guère d'intérêt : il s'agit de protéger, de défendre.

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    3. Oui. J'ai répondu rapidement par ce que les tartines de l'autre tordu, hein ! Il nous fait de la philosophie sans rien comprendre à la vie. A ce niveau, à part l'internement, je ne vois pas.

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