Ces braves gens sont entrés dans la zone euro suite à je ne sais quels événements démocratiques. Ils ont ont voté pour des gens qui ont voté patati patata.
Ils n'ont pas respecté leurs engagements (ce que je ne critique pas, ils se font entuber et tout çà). Par contre, ils font un référendum pour savoir, en gros, s'ils peuvent ne pas respecter les engagements en question.
Changer les termes du contrat après la signature n'est pas honnête. Et je me répète, je n'ai pas d'avis sur ce qui doit être fait. Mais les glandus qui parlent au nom du peuple pour défendre le peuple en se foutant des autres peuple. D'ailleurs je me demande s'ils ecoutent réellement le peuple.
Après tout, Marine Le Pen recueille beaucoup de voix dans notre démocratie.
Toijours est-il qu'il serait temps d'arrêter de mettre la démocratie en avant. 10, 15, 30 millions de Grecs ont choisi de rentrer dans l'Europe de 450 millions de types.
Dire que leur parole est démocratique revient à oublier ce détail.
Je suis opposé aux décisions de Europe mais j'évite de prendre les gens pour des cons. Qu'ils respectent leurs engagements et après on pourra les aider. Ce qui ne nous empêche pas d'envoyer chier le FMI, par exemple qui n'a pas à se mêler de nos histoires.
Un peu de sérieux bordel. Je sais, le capitalisme, c'est mal, mais ce est pas en son nom que les Grecs ont accepté de rentrer dans la zone euro. Ils ont voté pour.
Changer les termes du contrat, c'est mal, ok.
RépondreSupprimerMais quand la France a décidé de ne pas honorer la commande de la Russie, qui a dit ce genre de choses?
Moi je crois.
SupprimerJe crois surtout que les Grecs sont rentrés dans l'euro sur un gros bobard monté par leurs dirigeants de l'époque (élargie) avec la complicité des responsables de la zone euro et aussi surtout avec la complicité des ricains qui voyaient d'un très mauvais œil l'arrivée d'une monnaie qui allait concurrencer le billet vert. Sinon Goldman Sachs ne leur aurait pas racheté leur surendettement pour le planquer moyennant la modique somme de quelques 700 millions d'€ au passage. Leur situation politique actuelle découle logiquement de cette situation.
RépondreSupprimerMais ce qu'il faudrait faire ? Je n'en sais rien.
15 ou 30 millions de Grecs, ça fait beaucoup. Pour l'instant, ils ne sont que 11 millions ;)
RépondreSupprimerPour une fois, je partage ton avis! Si. T'as écris: "Ils n'ont pas respecté leurs engagements (...) Changer les termes du contrat après la signature n'est pas honnête. Vrai! Je ne sais pas le nom du type qui a changé notre contrat signé le 06 Mai 2012... Si, c'est pareil, n'insiste pas, " Écrit, moral ou de confiance, (même chez Darty) un contrat reste un contrat et ça se respecte!". Donc, t'as raison.
RépondreSupprimerAussi, faire porter les "chapeau" à la Grèce, c'est pas très ortho.......
(de rien)
[.]
Lorsqu'un pays demande du fric au FMI, il lui pose ses conditions, comme tout prêteur; s'il ne lui demande rien, il n'a pas le pouvoir de se mêler de ses affaires.
RépondreSupprimerle problème grec,il se résume simplement : restructurer sa dette, économiquement insoutenable ( 300 milliards d'euros comparés aux 10 000 milliards des autres pays de la zone euro, comparés aux 1000 milliards de l'assouplissement quantitatif,qui n'est pas appliqué à la Grèce ), ce que pensent tous les économistes un peu sérieux , y compris Lenglet, le roi des graphiques...Le problème est donc purement politique donc idéologique... Castor
RépondreSupprimerBeaucoup de communes ont signé des emprunts toxiques à des taux variables qui les étouffent aujourd'hui, elles demandent bien à changer les termes du contrat. Ça n'a aucun rapport je sais mais c'est juste pour dire.
RépondreSupprimerj'ai le sentiment d'une grande mise en scène......le peuple grec est amené a faire de la figuration ...et tout se passe comme s'ils n'avaient pas déjà fait de nombreux efforts....les dés sont truqués dès le départ....mais pas de panique notre tour arrive !
RépondreSupprimerIl y a deux problèmes:
RépondreSupprimer- le remboursement des intérêts des dettes deja contractées. Les annuler? Pourquoi pas ils ne sont pas en état de les rembourser et la prime de risques avec taux d'intérêt élevé a quand même permis aux prêteurs de rentrer dans leurs frais deja. (Mais bon après tout le monde va faire pareil)
- le financement de leur déficit de leur budget de fonctionnement. Qui va leur prêter? C'est bien beau de dire que les méchants les écrasent sous la dette mais à partir du moment où ils ont moins de recettes que de dépenses ils vont faire comment sans les méchants preteurs?