En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
D'un autre côté, remettre un peu de morale dans une société qui a fait une vertu de l'amoralité ne serait pas un mal. Et puis, ce qui faisait tout le sel de la pornographie c'est justement qu'elle se transmettait sous le manteau, que l'amateur ressentait le frisson de l'interdit bravé, le risque de l'opprobre. Alors que de nos jours elle est devenue banale, sans parler des dégâts qu'elle cause auprès des jeunes qui grandissent avec l'idée que la sexualité est ce qu'ils voient dans les films qu'ils téléchargent. Qu'on le veuille ou pas, la licence, le libertinage nécessitent d'avoir une expérience préalable, une éducation et pas que sexuelle. Sans cela, qui donne le sens de la mesure et des limites, elle n'est jamais que dépravation et perversité.
"Qu'on le veuille ou pas, la licence, le libertinage nécessitent d'avoir une expérience préalable, une éducation et pas que sexuelle."
Vous voulez dire comme DSK ?
Sinon, que de temps gagné pour le parlement si on leur expliquait que le filtrage parental ça prend deux secondes sur n'importe quel navigateur internet.
Pour ce que j'ai pu en juger de par mes fréquentations passées, je trouve les cocos plus portés sur la morale que les socialistes. Je ne suis donc pas étonner. On se rappellera que les communistes, au début des années 70, avaient envoyé les homos du FLH se faire foutre en les traitant de malades à interner.
La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...
encore un père la morale qui veut déborder les curetons sur leur gauche
RépondreSupprimerD'un autre côté, remettre un peu de morale dans une société qui a fait une vertu de l'amoralité ne serait pas un mal. Et puis, ce qui faisait tout le sel de la pornographie c'est justement qu'elle se transmettait sous le manteau, que l'amateur ressentait le frisson de l'interdit bravé, le risque de l'opprobre. Alors que de nos jours elle est devenue banale, sans parler des dégâts qu'elle cause auprès des jeunes qui grandissent avec l'idée que la sexualité est ce qu'ils voient dans les films qu'ils téléchargent. Qu'on le veuille ou pas, la licence, le libertinage nécessitent d'avoir une expérience préalable, une éducation et pas que sexuelle. Sans cela, qui donne le sens de la mesure et des limites, elle n'est jamais que dépravation et perversité.
Supprimer"Qu'on le veuille ou pas, la licence, le libertinage nécessitent d'avoir une expérience préalable, une éducation et pas que sexuelle."
SupprimerVous voulez dire comme DSK ?
Sinon, que de temps gagné pour le parlement si on leur expliquait que le filtrage parental ça prend deux secondes sur n'importe quel navigateur internet.
Gadebois
Oui mais de la part d'un communiste... Et il a oublié de préciser les moyens techniques.
SupprimerPour ce que j'ai pu en juger de par mes fréquentations passées, je trouve les cocos plus portés sur la morale que les socialistes. Je ne suis donc pas étonner. On se rappellera que les communistes, au début des années 70, avaient envoyé les homos du FLH se faire foutre en les traitant de malades à interner.
SupprimerBah !
SupprimerCe qui m'amuse dans cette dépêche est l'aspect saugrenu de la chose dans l'actualité de nos jours.
Chacun essaie de se faire remarquer comme il peut. C'est là le travers malheureux de notre société médiatique.
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