02 juillet 2016

Un Rocard, sinon rien

On vient d'apprendre la mort de Michel Rocard. Les hommages vont se succéder. Il aura des hommages nationaux avec un tas d'imbéciles qui vont tenter de récupérer. 

Alors, je vais tenter d'être un des premiers à lancer un hommage. Michel, j'ai appris votre mort quand j'étais à Aéro. Je suis rentré à la Comète. 

N'allez pas croire que je déconne. Il était à peine froid que je voyais déjà des glandus de droite verser des larmes dans Twitter. Il me fallait récupéré le Wifi. 

Rocard était une référence pour les imbéciles comme moi qui pensaient que la gloire de la gauche ne peut se faire qu'au centre. 


3 commentaires:

  1. Michel Ricard était un grand homme (Gaffe, il y a des fautes de frappe dans ton post aussi.)

    Sérieusement, ce qu'on perd avec lui, c'est une gauche capable d'aller vers le centre sans oublier ses racines, une gauche profondément ancrée dans l'Histoire et toujours tournée vers le progrès, avec un savant mélange d'ambition et de réalisme, une tentative sincère et réfléchie de social-démocratie à la française.

    Rien à voir avec le social-libéralisme hors-sol de certains et l'archaïsme dogmatique de certains autres.

    Il nous manque depuis 20 ans, ça ne va pas s'arranger.



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    1. Ce soir il est récupéré par la vrauche. Même pas le temps de se retourner Davis sa tombe.

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  2. Paix à son âme.
    ...On va se marrer avec tous ces hypocrites
    vincent

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