Jusqu'à ce matin, un seul homme politique métropolitain connaissait le kwassakwassa. Tout le monde lui tombe dessus alors qu'il montre qu'il connaît le dossier, par une excellente plaisanterie, qui plus est.
C'est presque surréaliste ?
Ca va durer longtemps vos conneries ?
J'ai critiqué les attaques minables contre Hollande, que je soutenais fortement. Je soutiens moins Macron, bien moins, mais je vais continuer à critiquer ces attaques minables contre lui.
Je suis fatigué de voir tirer la politique vers le bas. Et ne me dites pas que c'est de la faute de Macron, qu'il n'avait qu'à se taire. Vous dites qu'on ne peut pas rigoler de tout mais vous n'arrêtez pas de prétendre la liberté d'expression... et le droit, justement, de rire de tout.
Mais pas avec n'importe qui, me direz-vous. Sous-entendu pas avec les cons. Vous avez montré qu'on ne peut pas rire avec vous.
C'est ballot.
Vive Macron, les Comores et les kwassa-kwassa. Pourchassons les salopards qui vendent des traversées sur ces rafiots dangereux en faisant miroiter le paradis à des pauvres gens.
Pendant sa campagne, Macron est allé à Mayotte. Il a parlé des kwassamachins.
Vous étiez où ?
Faudrait peut être aussi arrêter avec le terme bashing, que même Melenchon emploie pour faire arrêter les attaques contre les outrances et les merdes qu'il sort.
RépondreSupprimerAprès sur la forme, les gens s'opposent et utilisent tous les moyens pour critiquer l'autre. Qu'il soit Fillon, Baroin, Macron, Hollande ou Camabadelis.
Même si en effet cette polémique sur kwassamachin est ridicule, et que les émois des insoumis qui acceptent toutes les saloperies de leur gourou est consternante.
Bon dimanche
Tu confonds le fond et la forme.
SupprimerJe ne pense pas. Mais peut être qu'on ne voit pas les choses sous le même angle et avec la même sensibilité, c'est possible.
SupprimerY'a pas à croire. Le terme utilisé est la forme, le reste c'est le fond.
SupprimerEntre le dithyrambe et le "bashing" il n'y a pas de milieu pour les médias.Il faut juste se demander quand va commencer le second ? Pour Macron ça frémit de ce côté là, faut dire que pour Hollande ça avait démarré sur les chapeaux de roue...
RépondreSupprimerP.Cstor
C'est juste un mot d'humour et, franchement, le sortir de son contexte comme le font les "politicaillons" de droite et de gauche me semble d'une grande, très grande malhonnêteté intellectuelle.
RépondreSupprimerDonc, pour faire simple, bel article !
Merci !
SupprimerVous avez oublié de rappeler que vous critiquiez, en leur temps, les attaques minables contre Sarkozy.
RépondreSupprimerÀ moins que, là, au contraire…
Je ne bashais pas Sarko sauf quand il était d'une vulgarité crasse (casse toi pov con). 15 jours après son investiture, je parlais du gouvernement, des premiers actes politiques,... A la limite, j'ai plus critiqué Hollande après son investiture que Sarko, à cause des noms idiots des ministères.
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