Cela étant, cette gauche qui se bat entre ceux qui défendent le principe que l'islam est la cause de tous les maux et ceux qui leur tapent dessus m'attriste. La gauche sera incapable de se réconcilier avec elle-même.
Je me fous de certains débats. Dans Facebook, ce soir, j'ai encore vu un type qui disait que les tarés (pardon, ceux qui souffrent de troubles psychologiques) n'ont rien à faire derrière les barreaux. J'ai tendance à penser que tout criminel est un troublé machin. Restons sereins. Sortons des oukases. On s'en fout de savoir si le chauffeur qui fonce sur la foule s'appelle Mohamed ou Roger. C'est un taré. Il n'est néanmoins pas interdit de penser que l'islamisme fanatique soit responsable de son geste.
Il n'est pas interdit de penser qu'il faut arrêter de se voiler la face. Qu'il faut arrêter de débattre du sexe des anges. De penser que les fous catholiques ne sont pas influencés par des actes de fous islamistes que l'on voit au quotidien à la télé. Qu'il n'y a pas un travail de longue haleine à faire au niveau de l'éducation et tout çà. Que je n'ai pas la solution et que personne ne l'a.
Il n'est pas interdit de penser qu'ignorer une cause des attentes et autres massacres à la camionnette peut être liée à une religion que l'on pourrait penser qu'elle vient d'autre part que de chez nous et qu'il faudrait peut-être arrêter de défendre par un idéologisme idiot qui vise à défendre les opprimés.
Comme si les victimes n'étaient pas opprimées. Comme si les femmes voilées n'étaient pas opprimées.
La gauche crèvera de son musulmanisme. Et les attentats continueront. Je me souviens de ma grand-mère maternelle, née en 1901, racontant comment elle a vécu sa jeunesse juste après 1905, pour ce qu'elle se rappelait des débats de cours d'école à cet âge. Elle était de gauche. Fondamentalement.
Et les types de gauche qui ne mettent pas la laïcité avant tout me navrent. Tout autant que ceux qui oublient de modérer leurs propos, empêchant tout débat à gauche.
Mal barrés.
La gauche a déjà crevé de son "musulmanisme" et les collabos seront tondus à la libération.
RépondreSupprimerVoila.
SupprimerMais fichez donc la paix à ce pauvre Adolfo Ramirez, qui accompli, chaque jour que Dieu fait, un travail de titan, puisqu'à lui tout seul il repousse de ses petits poings les hordes nazies qui déferlent un peu partout dans le monde. Et que, quand c'est fini, il lui faut encore dénoncer à la police et aux tribunaux tous les déviants de la pensée qui pullulent comme salafistes en Catalogne. Un peu de charité, merde !
RépondreSupprimerEt qui vous dit qui je ne cherche pas moi même à me faire dénoncer, hein ?
SupprimerJ'espère qu'ils nous colleront dans la même cellule et qu'on pourra faire descendre des mousses (celles qu'on boit, pas ceux qu'on encule…).
SupprimerIl n'y a pas de bière dans les prisons : il ne faut pas stigmatiser les islamistes.
SupprimerJ'ai soutenu l'interdiction du voile intégral dans la rue. Après, sur cette question, il est difficile d'aller plus loin, même si c'est, à chaque fois, une véritable déchirure de voir une femme voilée dans nos rues au XXIe siècle. Que faire ?
RépondreSupprimerUne chose est sûr est que nous sommes en train de céder sur l'essentiel. Oui, il faut défendre notre identité laïque et républicaine, comme l'a sans doute fait ta grand-mère.
Il faut surtout arrêter cette espèce de négation de faits qui fait qu'on ne peut plus réfléchir...
SupprimerLe problème est que ni la laïcité ni le "républicanisme" ne sont des valeurs assez fortes, assez enracinées, pour constituer une identité. Comme disait Flannery O'Connor : notre mal vient de plus loin. Et nous sommes en train de devenir, vitesse V, un troupeau festif et sans mémoire.
SupprimerEnfin une touche d'optimisme dans ce monde de brutes...
SupprimerQuand il s'agit de rendre le sourire aux masses laborieuses, on peut toujours compter sur moi !
SupprimerJe remarque surtout que l'usage de certains mots comme : merde, encule, identité... me fait penser à un gentil craquage mental auquel il faudra rapidement remédier en prenant quelques jours de vacances dans ces lieux de retraite religieux devenus à la mode.
Supprimer