Objectivement, on aurait pu accueillir ces 58 gugusses mais ils seraient arrivés à Marseille et auraient pu tomber sur Mélenchon. On leur a rendu service, en fait.
Cela étant, tout cela est profondément ridicule. On a réussi à négocier. On va en prendre 18 et l’Allemagne et l’Espagne 15 chacun. C’est quoi ces négociations de chiffonnier ? Avec nos trois pays, on frôle les 200 millions d’habitants et j’ai du mal à imaginer qu’on dépense du pognon à négocier une soixantaine.
Cela dit, les gugusses de la vraie gauche qui tentent de faire du buzz avec ces pauvres gens me cassent les couilles. N’ayant pas grand chose à dire, ils ciblent les cas particuliers sans penser au sujet dans sa globalité. Tant pis. Ils savent tous qu’on a largement les moyens d’accueillir toute la mise du monde alors que quand je vois la moindre crevure au comptoir, ça m’énerve.
Nous sommes encore quelques uns; nombreux?.. A trouver cela ridicule. Mais de grâce ne tombons pas dans l'angélisme où certains se complaisent ou bien l'extrémisme mortifère des autres.
RépondreSupprimervincent
Bah. Le fond de mon billet n'est pas la nécessité ou pas d'accueillir des migrants mais le ridicule de cette négociation de chiffonnier.
SupprimerAlors qu'il aurait été si simple d'envoyer par le fond ce rafiot de merde depuis déjà un bon moment : on est vraiment gouverné par des sans-couilles, moi j'vous l'dis !
RépondreSupprimerFaudrait rappeler Charles Hernu.
SupprimerDis donc , mine de rien:
RépondreSupprimer- allusion discrète à Jean Ferrat,
- un coup de griffe bien senti au révolutionnaire phocéen,
- une attaque en règle d'une forme de pensée étique ( ce n'est pas une faute d'orthographe l'absence de H à étique).
P.Castor
Le tout à près de 22h...
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