En salle

28 août 2019

Restons phobes entre nous !

A force de dire n’importe quoi avec les mots en « phobe », on arrive à une résultat grandiose. On le voit avec l’homophobie dans les stades qui a fait parler d’elle récemment (voir le billet de David dans Causeurs : ce n’est pas parce qu’on traite l’arbitre d’enculé qu’on est homophobe). On l’a vu aujourd’hui avec une andouille du parti unique actuel avec l’islamophobie. 


Il faut voir la signification de ce « phobe » mais vous avez parfaitement le droit d’avoir de la répulsion pour l’islam ou l’homosexualité. La bien-pensance vous interdit de le dire et la loi condamne à juste raison (chacun fait bien ce qu’il veut) les actes « phobes ». Et surtout l’invitation à la haine « phobe ». 


Tout est dit dans ce slogan idiot de la gauche :  « le racisme n’est pas une opinion mais un délit. » Déjà, ça n’est pas une opinion mais, disons, un sentiment. Et ce n’est pas un délit : tout le monde a parfaitement le droit de ne pas aimer les gens « d’une autre ethnie ». Pour ma part, je n’aime pas les tomates et les mots croisés trop faciles. La décence m’évite de dire que les types qui aiment les tomates ou les mots croisés trop facile sont des dégénérés. Et pourtant... Le délit est l’incitation à la haine raciale. C’est bien différent. 


Les mots ont un sens. 


Et ce n’est pas avec des slogans idiots qu’on résoudra l’incitation à la haine des homosexuels ou des musulmans. Si on m’explique que je suis un connard parce que je n’aime pas les tomates et les mots croisés trop faciles, j’ai une certaine tendance à me braquer. Voire à dire « halte à la pensée unique des amateurs de tomates ou de mots croisés trop faciles ». 


Rassurez-vous :

- je suis islamophobe autant que christianophobe,

- je ne suis pas homophobe mais grossier donc j’utilise le mot « enculé »,

- je n’ai aucun ami homosexuel musulman ; allez savoir pourquoi,

- je n’aime pas les mots croisés trop difficiles,

- j’aime bien la sauce tomate,

- j’ai une prédilection pour les religions antiques où les dieux étaient multiples et se sodomisaient dans la bonne humeur. 

63 commentaires:

  1. Vous me rassurez, vous aimez les tomates finalement!

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  2. Mais, on peut pas être grossier autrement ?
    Tomate, ça peut être une injure sans faire injure aux tomates.
    Quoique ... c'est insoluble.

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  3. Black yum-yum, c’est pas mal aussi !

    http://tomodori.com/fichephoto.php?nom=Black%20Yum%20Yum

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  4. Histoire de faire méchamment court-circuiter les quatre ou cinq neurones qui errent comme des âmes en perdition sous la calotte crânienne des progressistes, je propose d'adopter l'expression : « Pédé comme un phobe ”. Ils vont en perdre le peu de latin qu'ils ont, garanti.

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  5. Je signale à tous ces jeunes sportifs qui semblent l'ignorer ( mais que leur a-t-on enseigné, aux cours d'éducation sexuelle, à l'école ?) qu' un enculage peut se réaliser lors d'un rapport hétérosexuel,et qu'il ne justifie pas alors le caractère homophobe des pancartes si elles sont rédigées au féminin (enculéEes), à l'adresse des seules joueuses ou arbitres femmes .

    Elie Arié

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    1. Elie, le féminin n'est pas nécessaire, y compris quand il s'agit de faire référence à un enculage hétérosexuel. Une femme bien outillée saurait parfaitement t'enculer, avec ou sans ton consentement

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  6. Sauf qu'en France, le droit pénal réprime les actes qui sont une manifestation de racisme, donc le racisme - pas seulement l’incitation à la haine raciale. Ainsi l'auteur de paroles, écrits ou images à caractère raciste est punissable. La diffamation et l'injure publique raciale sont des infractions. La discrimination raciale également. Le slogan correspondant ne serait pas si idiot, finalement... En fait, ce n'est pas un slogan, c'est un fait : le racisme est un délit.

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    1. « c'est un fait : le racisme est un délit. »

      Tutafé, tutafé ! c'est même ce qu'on appelle, depuis toujours, le "délit d'opinion", lequel a toujours été tout puissant dans les régimes totalitaires, qu'ils soient avoués ou larvaires.

      Ce qui est nouveau, sans doute, c'est de voir de bonnes âmes vertueuses s'indigner qu'il n'y en ait pas davantage et qu'ils ne soient pas plus sévèrement réprimés.

      C'est le mouton qui exige du boucher un couteau mieux aiguisé…

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    2. Dedalus,

      Pour le début de ton commentaire (que je n’ai pas reçu par mail...), on est d’accord. Commettre des actes racistes est illégal.

      Mais je suis d’accord avec Didier : on ne peut pas considérer une pensée comme un délit.

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    3. Non, pas un délit d'opinion, mais de l'expression publique d'une idéologie postulant une hiérarchie entre de supposées races différentes d'humains. On peut discuter d'en faire ou non un délit. Le fait est qu'en France, c'en est un. En revanche, l'argument du totalitarisme est au mieux risible.

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    4. Oui, Nicolas, pas la pensée, juste son expression publique. On France, on ne condamne encore personne pour ses mauvaises pensées.

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    5. C’est ce que je dis dans mon billet.

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    6. Personne ne nie que le “racisme” (je mets le mot entre guillemets car il est devenu une véritable auberge espagnole, dans laquelle chacun vient cuisiner son petit fricot personnel) soit un délit : ce serait aller contre l'évidence des textes. Mais, tout délit qu'il soit devenu, il n'en reste pas moins une opinion, au sens large du mot. Nous sommes donc, bel et bien, en présence d'un délit d'opinion.

      D'autre part, je ne vois pas ce que peut avoir de "risible", l'évocation du totalitarisme : sous quel genre de régime politique le délit d'opinion est-il le plus puissant et le mieux réprimé, généralement ? D'ailleurs, plus un régime tend vers le totalitarisme et plus ces délits se multiplient. Pour en arriver au pire du pire (communisme, nazisme), où le fait même d'avoir une opinion se mue automatiquement en délit.

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    7. Non, visiblement, vous ne voyez pas. Ce qui est risible également.

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    8. On verrait peut-être mieux si vous argumentiez, développiez un minimum, sans vous contenter de balancer un simple mot au petit bonheur…

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    9. Peut-être. Mais est-ce que ça m'intéresse de vous servir de lunettes à double foyer ? Apparemment pas. Ni de loin, ni de près...

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    10. « Repli stratégique sur des positions préparées à l'avance » : ainsi qualifiait-on, chez les militaires, la fuite en rase campagne…

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    11. Dans les cours d'école, les gamins disent « même pas cap' » en espérant le même résultat que vous. Essayez de trépigner maintenant, en tapant bien fort du pied par terre, on ne sait jamais...

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    12. Débilus ? Ah que non ! Cliquez donc sur son prétentieux pseudonyme et partez à la découverte des merveilleux textes de cet écrivain méconnu : c'est beau comme du Marie Darrieussecq, avec le manche à balai en plus. On y découvre que les non-dit ont des ombres, et plein d'autres choses poétiques et profondes de ce tonneau. Une expérience dont on revient changé à jamais…

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  7. C’est un spécialiste. C’est ça ou la ponte de tartines. Le provoquez pas.

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  8. Disons que j'ai au moins eu le mérite de tenter un début d'explication, contrairement à mon “contradicteur”, qui ne contradicte rien du tout, pour des raisons qui n'appartiennent qu'à lui (mais qu'on discerne un peu tout de même…).

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  9. On voit clairement que tu n'as rien à ajouter, comme dans chaque échange avec toi. Ce qui me rappelle pourquoi je t'ai bloqué : tu es insupportable et pédant.

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  10. Tu peux réécrire l'histoire, si ça te chante, mais tu ne m'as pas bloqué, je t'ai prié de te taire parce que tu insultais un pote sur ma page FB. Ici, en revanche, je n'ai moi insulté personne, je signifie simplement à un type que je ne souhaite pas débattre avec lui, parce qu'il ne m'intéresse pas. Visiblement ça le défrise, mais ce n'est pas mon problème. Après, tes petits jugements sur ce que je suis, je pourrais t'en retourner une liste bien sentie, moi aussi bien à l'abri derrière mon petit clavier, mais quel intérêt ? D'ailleurs, je connais désormais un peu tes manières de faire, tu vas t'empresser de supprimer ce commentaire, parce qu'au fond tu n'es pas bien courageux. Surtout, tu ne supportes pas la moindre contradiction. Allez, j'aurais même peut-être droit à une dernière petite insulte façon cour d'école... Fais-toi plaisir.

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  11. Il y a beaucoup de gens qui refont l'histoire, alors...

    Tu as raison : une dernière insulte. Tu es assez con pour croire que je vais me fatiguer à supprimer un commentaire alors que les autres andouilles présentes l'ont reçu par mail.

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  12. « je signifie simplement à un type que je ne souhaite pas débattre avec lui, »

    C'est pourtant bien ce que vous aviez commencé à faire, un peu plus haut, ainsi que chacun peut aller le constater. Avant de vous replier crânement sur la position du type qui juge tout cela de tellement haut que, du haut de Sa Grandeur, il préfère se taire de pitié, face aux êtres minuscules et misérables qui ont osé d'être pas tout à fait en accord avec sa très-sainte parole. C'est beau. On se courbe de respect, front dans la poussière, devant tant de magnanimité.

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  13. Non, pas « tout cela », juste vous et je n'ai pas tellement haut à m'élever.
    Ha, et ce n'est pas non plus de la pitié...

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  14. Ah ben j'ai bien fait de reprendre le blogage, moi...

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    1. En plus, votre ex-ami théâtreux et littéromane se charge, avec mon amicale complicité, d'assurer l'animation : c'est pas beau, ça ?

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    2. Oui mais c’est le bordel. Arié et Maque tombent sur un ancien pote gauchiste comme tout mais avec lequel je suis fâché pour les mêmes raisons que je le suis avec eux (en l’occurence ce sont des casses couilles idiots et pompeux). Ils le font en partie par suivisme de votre serenitude DG Premier, mon troll réactionnaire officiel depuis plus de 10 ans en vente dans toutes les bonnes librairies.

      Comment voulez-vous qu’une andouille normale s’y retrouve ?

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    3. Grâce au Ciel, vous n'êtes pas une andouille normale…

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  15. @ dedalus
    Extraordinaire, votre billet de 15 h.,de loin le plus long de tous, adressé à Didier Goux pour lui expliquer pourquoi vous ne voulez pas débattre avec lui, ce qui peut lancer un long débat...

    Elie Arié

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  16. Au fait, ça n’intéressera personne mais Dedalus m’accuse de refaire l’histoire. On va donc l’écrire dans les tables, pour la postérité. Pas la sienne. Pas la mienne. Seulement si des historiens veulent faire des recherches dans 50 sur la dégénérescence des fans d’Hollande dans les années 2010.

    J’ai sans doute effectivement insulté un de ses commentateurs. Pardon. Un de ses fans. Vous le connaissez. Il est tard. On m’a forcé à boire. J’ai peut-être par mégarde traité un type de connard. Oui, moi. Le @jegoun célèbre pour sa grossièreté.

    J’ai totalement oublié cet épisode. Dedalus avec ses billets pontifiants de son ex blog politique avait sans doute approché les leftblogs pour rigoler avec nous et profiter de la visibilité que nous avions à cette époque.

    Toujours est-il qu’on a un groupe Google de discussion où on s’engueulait joyeusement entre nous, les leftblogs. Ce machin était une machine si je puis dire à lutter contre Sarko mais Hollande a remplacé l’excité et ça devenait assez difficile de défendre pépère dans un truc de gauche. Je le faisais néanmoins sur mon blog. Un jour, pépère a décidé de l’augmentation de la TVA. J’ai raconté des conneries dans mon blog. Mais dans le groupe, Dedalus, blogueur officiel de gauche a commencé à me critiquer, à m’engueuler, à justifier l’augmentation de la TVA au nom des valeurs de gauche. Ça fut notre première grosse bisbille. Rien de grave. La routine au sein de notre groupe. Il a arrêté d’intervenir régulièrement. Mais il est revenu un jour et s’en est pris à moi.

    Jusque là, c’est ma parole contre la sienne et au fond, on s’en fout.

    La vérité est qu’en tant qu’administrateur des leftblogs, je l’ai viré du groupe sans respecter nos règles qui n’intéressent personne et surtout pas les membres du groupe. On est là entre copains et évitons de me faire chier.

    Et je n’en ai pas viré beaucoup.

    Toujours est-il qu’il me faut répondre à l’accusation de négationnisme qui m’est faite.

    J’ai bloqué l’andouille plusieurs mois après quand je suis tombé sur un de ces tweets. Je pensais l’avoir déjà bloqué et j’ai corrigé.

    Amen.

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    1. J'imagine que tu te rends compte ce matin comme tout ceci est pathétique...

      Je vais tout de même corriger, ta mémoire te faisant visiblement défaut :

      - je n'ai jamais été un fan de Hollande, juste un fan du dégagement de Sarkozy. je n'ai jamais été suffisamment social-libéral pour être fan de Hollande, et je n'ai d'ailleurs pas voté Macron (à aucun des deux tours)

      - sur FB, je n'ai pas de fans, ni ailleurs d'ailleurs... et si je me suis permis de te prier de te taire, c'est parce que il s'agissait d'un proche que tu insultais, sur ma page, et que parfois il est important de comprendre qu'on ne peut pas insulter tout le monde n'importe où et sans savoir...

      - ton petit sous-entendu sur pourquoi j'aurais rejoins les LB est mesquin et pitoyable. tu crois encore que quelques centaines de visiteurs donnaient de la visibilité, sans même parler d'influence, au moindre d'entre nous ? Voyons...

      - sur la TVA, pfff... allez, on ne va pas y revenir, d'ailleurs ça n'a jamais été l'objet de notre "brouille". plutôt ton comportement de petit chef imbu de lui-même et de son petit pouvoir dans un groupe de discussion entre potes et qui se permettait de virer ou de pousser vers la sortie tous ceux qui ne filaient pas droit. tu vois, Nicolas, ce n'est pas la politique qui est en cause, juste ta conception d'un groupe de potes et de la discussion

      - oui, une fois ça a été mon tour, tu m'as viré, mais tu oublies de dire que tu as dans la foulée été contraint de me réintégrer sous la pression amicale de nos petits camarades

      - c'est à partir de là que j'ai commencé à intervenir moins régulièrement. un petit salut amical de temps à autre. jusqu'au jour, il y a quelques mois, où j'ai découvert que j'avais de nouveau été viré, en douce. ça m'a amusé, j'en ai fait un petit tweet et là encore, pression amicale, tu as fini par me dire que tu avais fait une erreur en faisant le ménage et qu'il me suffisait de refaire une demande pour que tu puisses me réintégrer. Pas tellement dupe et fatigué par tes méthodes, je n'ai pas donné suite...

      - enfin, bloqué sur Twitter ? je ne m'en suis pas rendu compte. je viens de vérifier, apparemment pas. mais fais-toi plaisir... ou alors grandis un peu et cesse de jouer à "toi je te causes plus d'abord"

      Tout ça pour les historiens, n'est-ce pas :-D

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    2. Ce n’est pas que ma mémoire me fasse défaut, c’est que je me fous de ce genre de détail.

      Tu ne faisais pas un petit coucou amical, tu venais me chercher. Alors basta. Désolé d’avoir loupé ton blocage...

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    3. "je me fous de ce genre de détail" : et pourtant à 1h du mat, tu te soudain sens obligé de pondre un long commentaire pour détailler ce genre de détails, en les travestissant

      “tu venais me chercher" : tu t'accordes décidément trop d'importance...

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    4. 1h du matin. Le bistro ferme. J’attends la serveuse qui finit le ménage avant de me ramener à la maison. Je ne travestis pas. Je romance. Pendant tes trois dernières années aux leftblogs tu ne faisais que me chercher donc basta.

      Tu as une drôle de conception des « groupes de potes ».

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  17. j’ai une prédilection pour les religions antiques où les dieux étaient multiples et se sodomisaient dans la bonne humeur. tout à fait ! de délicieuses histoires, qui enverraient au bucher leur auteurs quelques siècles plus tard, après que les "évangélisateurs" aient passé par le fil de l'épée les adeptes des dites religions..

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  18. Tout est dit...
    Je trouve qu'il y a une vraie discrimination envers les musulmans de penser qu'ils ne sont pas capables d'accepter nos critiques envers l'islam.si est le cas pour certains ils n'ont rien compris à la laïcité qui est pourtant limpide.
    Sylvie

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  19. Je tombe sur cet article, qui me semble avoir un lien direct avec ce que je disais hier à propos du totalitarisme et du délit d'opinion. Ça fait tout de même plaisir de savoir qu'on n'est pas le seul à être "risible"…

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    1. Faut pas critiquer le camp du bien.

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    2. Un peu de sérieux. Je suis en train de lire le machin en 6 volets du Monde à propos du quinquennat d’Hollande. Je vous le faxe. Toujours est-il que ça illustre assez bien « la fin » de la sociale démocratie décrite dans votre truc (guillemets car cette fin est mon interprétation).

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  20. Putain une bonne engueulade, c'est reparti... cool.

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  21. Dites donc : il y a combien de siècles que vous n'aviez pas eu soixante commentaires sous un billet ? Décidément, ce M. Mann (c'est le nom de Dedalus : il le donne sur son blog) accomplit de véritables miracles dès qu'il paraît !

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    1. Vous, vous tendez des verges pour vous faire battre !

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    2. Je vais tout effacer. Faudrait pas créer un précédent ou faire croire que je suis aimable et supporte les cons.

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  22. C’est quoi ce bordel ? Plus personne ne dit de méchanceté à cette heure ?

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  23. Et ouais, tous des ploucs, des poseurs...

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  24. Tomatophobe, pédalophobe et dédalophobe sont dans un bateau...

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  25. Ca fait du bien de voir tous ces commentaires bande d'enculés!

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