Pendant ces dix jours de fin d’année puis de début d’une autre, j’ai beaucoup pensé à des billets que je pourrais faire pour montrer mon désaccord avec les partis de gauche actuels qui ne font que se réfugier dans un passé exigu conservateur au nom du progressisme patati patata. C’est à mourrir de rire.
Ce soir, grâce à Facebook, j’ai trouvé deux combats qui vont m’occuper au moins 35 minutes.
Le premier n’amène aucun commentaire :
Le deuxième non plus, finalement.
J’ai enfin trouvé des raisons de finir féministe. Pour mon premier billet de l’année. Rassurez-vous, je vais me remettre.
Une université populaire à Breil-sur-Roya ? On sent que ça va drainer des foules immenses ! Surtout si l'illustre philosophe Denis Collin y prend la parole…
RépondreSupprimerOn ne louperait ça pour rien au monde. Ca me fait penser que j'ai pas lu de blog depuis 10 jours : j'ai donc loupé votre journal. Je vais y venir...
SupprimerUn femme dans le bâtiment, c'est l'équivalent d'un gars de la jaquette : http://www.barbieturix.com/2018/03/21/etymologie-du-lexique-lgbt2-les-expressions-idiomatiques/.
RépondreSupprimerQuant à en finir en beauté avec le sexe autant que la conférence soit suivie d'une partouze plutôt que "d'un repas partagé".
C'est une idée, l'un dans l'autre.
Supprimer« Quant à en finir en beauté avec le sexe autant que la conférence soit suivie d'une partouze plutôt que "d'un repas partagé". »
SupprimerÀ moins qu'on y boulotte de l'abricot…
Bah j’ai lu et relu, mais ça n’empêche pas qu’il n’y a pas 3 r à mourir ! :P Sinon sur le fond, moi je suis toujours prêt à être féministe quand le jeu en vaut la chandelle 😎
RépondreSupprimerLa conférence a l’air fascinante...
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RépondreSupprimerUn petit pour vous dire que votre blog est super!
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