24 mars 2020

#Journalduconfinement Jour 8 - Soignons le palud par les plantes

Résultat de recherche d'images pour "paludisme"
Incompris vecteur de virus

La deuxième semaine de confinement commence un mardi, comme il se doit. Ma journée a été marquée par la confection d’un risotto de poulet à l’ail et des problèmes de connexion de mon PC à internet.


Je vais commencer par ce dernier point au cas où un aimable lecteur ait une idée. Ceux qui ne sont pas du tout geek peuvent sauter ce paragraphe. N’ayant pas internet à la maison, je me connecte au wifi avec mon PC portable du bureau en utilisant soit mon iPhone en partage de Connexion soit le Galaxy A3 du bureau, en partage ou comme Modem. A noter qu’en moyenne les performances sont les mêmes (sachant que je ne fais rien de consommateur).
Pour me connecter, je passe par un VPN « Pulse » et la mise en place de la connexion n’est pas toujours au top. Parfois, ça marche à merveille avec l’iPhone mais pas avec le Samsung et parfois (dont aujourd’hui) vice versa. C’est troublant. Je n’ai pu me connecter qu’à 16h30…
Si quelqu’un a une idée.
Cela étant avec l’iPhone, on fait des miracles, j’ai pu changer les paramètres, tout en discutant avec un collègue dans Teams, en assistant à une audio « webex » et en consultant les slides qui étaient dans mon Outlook.

Les non geek, revenez.

Côté actualité, je ne regarde plus trop. Je sais qu’on a eu un premier mort du COVID-19 à Loudéac ce qui explique probablement le confinement des résidents de la maison de retrait de ma mère dans leurs chambres. Un type de 80 qui était assesseurs lors du premier tour des municipales. Je sais aussi que le professeur Raoult a claqué la porte du conseil scientifique machin (mais je n’ai lu que le titre d’une dépêche).

Entre vous et moi, Je ne suis pas toubib, pas scientifique, pas complotiste, j’applique les mesures à la lettre même si je suis sorti deux fois hier parce que j’avais oublié un truc. Je ne suis pas yakafocon mais je me demande bien pourquoi un médicament qui était en vente libre depuis toujours est maintenant prescrit uniquement sur ordonnance suite à un décret paru en décembre alors qu’il est possible qu’il permette de soigner ce putain de virus. Je veux bien qu’on n’en soit pas sûr. Je veux bien qu’il ait des dommages collatéraux possibles mais il est pris depuis 70 ans (de mémoire) par tous les lascars qui vont se faire bronzer les fesses où il y a du paludisme. Alors trois ou six mois de plus, hein ? D’ailleurs on remarquera que dans les patelins où j’ai été après avoir pris de la Nivaquine, il y a peu de cas de Robert Corad 19.

J’aimerais bien comprendre. Je sais, c’est pas gagné.

A part ça, aujourd’hui, j’ai fait ma toilette… Vu qu’hier j’avais constaté une légère irrégularité depuis que je glande at home.

12 commentaires:

  1. Prends soin de toi et des tiens.

    Ce week-end nous avons le premier mort dans le petit patelin de Falconette dans le Forez. Au milieu de rien. C’est flippant.

    Bon courage

    RépondreSupprimer
  2. si un médoc est retiré de la vente libre, comme les anti-inflammatoires c'est que ses effets secondaires sont trop nombreux par exemple. Enfin j'ai compris comme ça.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Topol oui mais le faite durer trois mois de plus alors qu’il existe depuis 70 ans n’aurait pas été dramatique.

      Supprimer
  3. Fredi, arrête donc de jacasser, tu me recommences à me barber.

    RépondreSupprimer
  4. La nivaquine était bien moins dangereuse que le paludisme ( surtout chez les enfants), mais elle est - jusqu'à présent- plus dangereuse ( surtout que prescrite à doses plus fortes) que ce nouveau virus beaucoup plus infectieux mais dont la mortalité semble se situer entre 2 et 4 % ( et sans doute moins compte tenu des cas non diagnostiqués, surtout chez les enfants ).

    RépondreSupprimer
  5. Le mot "Nivaquine" a fait surgir des souvenirs dans mes cortex embrumés… En 1965, mon père étant muté en Guadeloupe, tous les jours on devait prendre un comprimé de "Nivaquine" au cas où le paludisme nous guetterait.

    RépondreSupprimer
  6. De ce que j’ai lu (mais je ne suis pas toubib), il ne faut pas de fortes doses. Je comprends qu’i y ait un risque d’abus qui serait dangereux mais pas pourquoi on n’y va pas plus vite. Et je comprends aussi les protocoles et tout ça.

    RépondreSupprimer
  7. moi je dis que la rivalité entre carabins parigots et marseillais pour le chlorobidule remonte au dernier match PSG/OM... hummm !

    RépondreSupprimer
  8. L'ordonnance permet d'éviter que certains vident les stocks d'hydrotruc( comme d'autres se ruent sur le PQ ) alors qu'ils n'en ont pas besoin. Ces stocks seront très utiles si l'hydrobidule est prouvé efficace contre le couillono virus.

    RépondreSupprimer

La modération des commentaires est activée. Je publie ceux que je veux. On ne va pas reprocher à un journal de ne pas publier tous les courriers des lecteurs...