Mon joli bureau |
La crise a commencé il y a environ 15 mois au cours desquels
nous sommes passés au travers de différentes périodes, voire de mode ! Le
masque inutile voire néfaste est passé précieux et obligatoire et j’en passe.
Au début, nous suivions méthodiquement l’actualité. Chaque information donnait
lieu à des interprétations avec des « anti » et des « pour ».
Malgré ma farouche opposition à « l’attestation », je me suis
toujours efforcé d’aller dans le sens du « consensus scientifique »
et donc, souvent dans celui du « consensus politique » si tant est
que cela veut dire quelque chose. Ma désapprobation était à la marge et dans un
« esprit constructif » quitte à plomber mon stock de guillemets.
Par exemple, à la fin de l’été ou au début de l’automne, j’avais
plaidé pour un reconfinement plus rapide et basé sur notre calendrier (pour
avoir la paix en décembre puis pour les vacances de février). D’autres choix ont
été faits. Tant pis.
Pendant les premiers mois du confinement, nous regardions
ainsi tous les jours la presse pour avoir des nouvelles. Et que lisons-nous, ce
matin ? Par exemple : « Angleterre : dépassé par le variant
Delta, Boris Johnson décale d'un mois le déconfinement. » Il y a un mois,
on nous disait que les rosbifs ayant été très bons sur la vaccination, ils
étaient sauvés !
Ainsi, permettez-nous de douter de l’information en
général ! Ca ne fait pas de « nous » des complotistes : on
sait fort bien que pour se débarrasser de certaines maladies, la vaccination est
obligatoire. On peut même ajouter qu’on est d’accord sur le fait qu’elle est
indispensable pour arriver à un bon niveau d’immunité… Mais on apprend que le
vaccin n’empêche pas d’être malade ou que sais-je ?
Alors, à un moment, on peut dire « stop ».
Toujours est-il qu’on continue à nous inciter à nous faire
vacciner mais j’aimerais bien que l’on fasse un sondage auprès des vaccinés et
qu’on leur demande pourquoi ils ont accepté la piquouze ! On pourrait
parier que personne ne répondrait « pour ne pas être malade » ou « pour
participer à l’immunité collective ». On aurait beaucoup de personnes qui
répondraient « pour avoir plus de libertés » (j’imagine les anglais à
nouveau confinés…) ou « pour pouvoir voyager » ou « pour pouvoir
assister à des grands rassemblements » (quasiment rien n’est encore
possible et on imagine que l’obligation d’être vaccinés va simplement remplacer
l’obligation d’être testés).
On fonce vers une très grosse désillusion et je vous
présente mes excuses de vous communiquer ma dépression.
On voit quand même des gens annoncer dans les réseaux
sociaux qu’ils sont enfin vaccinés. Je les imagine très contents. Ils vont
pouvoir envisager de faire un voyage qu’ils n’auraient jamais fait… Mais
ont-ils en tête que de diffuser l’information sur les réseaux sociaux est une
divulgation des données de santé ? Ce sont pourtant les mêmes qui hurlent
généralement car les réseaux font assez peu de cas de nos données privées !
On imagine aussi des acteurs privés vérifier des certificats de vaccination,
par exemple pour rentrer dans des bistros. Est-ce le rôle de tout un chacun de
faire la police de la santé, de s’assurer que les gens sont bien « aux
normes » ?
Je conçois que des adeptes de la science croient dur comme
fer aux vertus des annonces officielles en termes de médecine mais je pense qu’ils
devraient respecter les sceptiques…
Revenons sur quelques annonces délirantes que nous avons
eues depuis le début de cette crise. Par exemple, un jour, le préfet des Côtes
d’Armor (ou sa concierge) a décidé que le port du masque serait obligatoire
dans la rue. J’imagine qu’il serait très difficile de mettre en place des
conditions plus précises sur la densité des passants, par exmple, mais le type
qui a signé cet arrêté se rend-il compte que j’ai été obligé de mettre un
masque pour sortir ma poubelle au bout de l’impasse de cinq maisons où j’habite
après 22h ?
En ce moment, nous avons une coupe d’Europe de football.
Savez-vous que les écrans géants sont autorisés à l’intérieur des bistros mais
interdits à l’extérieur ? Quand on sait que le virus circule bien plus en
milieu fermé, on dépasse les sommets du ridicule.
Comment voulez-vous que de braves citoyens gardent un minimum
d’espoir ou même de respect.
Nous sommes actuellement à une époque où l’on aurait dû être
dans le monde d’après mais on ne voit toujours pas grand-chose, ou, du moins,
rien en relation avec la crise. Pour ma part, j’ai eu beaucoup d’espoir dans le
télétravail. Il parait que 25% des Français peuvent en faire quasiment à 100%.
Ce n’est pas surprenant : tous les emplois de bureau sans contact physique
avec les clients peuvent se tenir à distance… et le nombre de boulot avec
contact physique diminue. Pour autant, on a rien appris ! Le « 100%
télétravail » favorisé par le gouvernement et les entreprises vont pour
remettre en place le système bâtard qui existait avant : un ou deux jours
de télétravail par semaine.
J’aurais imaginé que les changements s’inscrivent dans l’histoire,
dans la modification de notre rapport au travail… Par exemple, je vais être
obligé d’aller au bureau deux jours par semaine (et encore, il a fallu que je
négocie pour les choisir) mais pas quand on a besoin de moi au bureau, comme au
cours de certains périodes (formation des nouveaux arrivants, lancement de gros
projets, expertises à mener…). On aurait pu entrer dans une autre vision de l’annualisation
du temps de travail, comme au bon vieux temps des RTT mais les réticences sont
trop fortes et les entreprises (côtés patronat comme syndical) sont incapables
de bouger.
On a reçu nos nouvelles instructions. Les RH nous rappellent
qu’il faut un masque et éviter de se croiser. A part ça, rien.
Aucun changement. Attendons le monde d'après-demain !
Si encore il n’y avait que les têtes en l’air qui divulguaient leurs données de santé, ce ne serait pas bien grave, malheureusement il y a pire :
RépondreSupprimer« - La moitié des pharmacies françaises transmettrait nos prescriptions à la société Iqvia, le plus gros revendeur de données médicales au monde. On fait le point sur cette révélation de l’émission Cash Investigation. »
https://www.01net.com/actualites/quel-risque-pour-votre-vie-privee-representent-les-donnees-medicales-recoltees-par-certaines-pharmacies-2043373.html
Hélène
Oui. Récemment, il y a eu un scandale avec une chaîne de laboratoires qui avait été piratée...
SupprimerElie,
RépondreSupprimerFacebook est plein de spécialistes en génétiques avec des avis différents. Ce sont tous des trous du cul les uns comme les autres.
Elie,
RépondreSupprimerTu es de plus en plus ridicule : tu viens d'envoyer un lien pour dire que ce n'était pas fini, ce que je dis dans mon billet. Ce billet dit qu'il ne faut pas alléger les mesures. Je n'ai pas dit qu'il fallait alléger les mesures, au contraire (je dis par exemple que c'est complètement con d'autoriser les écrans géants dans les bistros).
Ton problème est que tu ne sais pas lire.
J'aime beaucoup vos dialogue avec le fantôme d'Arié…
SupprimerA mon avis, pour le télétravail on va doucement vers du 100 % mais c’est difficile de libérer tous ces bureaux en laissant les bailleurs le bec dans l’eau :
RépondreSupprimer« Dans un scénario post-Covid où 41% des entreprises passeraient à deux jours de télétravail par semaine, le gain de surface envisagé serait de 27% soit 3,3 millions de m2 de bureaux dans les 10 prochaines années en Ile-de-France, estime l'Institut d'épargne immobilière (IEIF) dans une étude publiée en janvier. «
L’article est trés intéressant :
https://www.lavieimmo.com/bureau/avec-l-essor-du-teletravail-les-bureaux-vides-vont-ils-etre-transformes-en-logements-50588.html
Hélène
Oui. Ce n’est pas simple.
SupprimerJe suis avec délectation vos démêlés avec Elie Arié. Mais là, je suis frustré : vous parlez dans le vide. Qu'est-ce qu'il a dit, Elie ?
RépondreSupprimerMais je ne sais plus !
SupprimerElie, il n’est pas question de dialogue. Tu parles tout seul depuis des années dans les commentaires de ce blog. Cinq ans pour être précis.
RépondreSupprimerCinq ans que tu es comme un voisin qui n’arrête pas de me causer par dessus le muret du jardin. Cinq ans que tu m’importunes. Pourquoi aurais-je la moindre envie (sauf comme maintenant pour rigoler) de dialoguer avec toi alors que tu ne tiens jamais compte de ce que je dis.
Mais tu dois être bien con pour perdre ton temps ainsi...
Elie, où ai-je écrit que je refusais de me faire vacciner ? Tu ne comprends rien, décidément... Tu m'as même reproché, l'autre jour, les motifs que j'invoquais pour me faire vacciner...
RépondreSupprimerDans votre précédent billet :" Le pire, dans cette histoire, est que je serai probablement obligé, pour ma santé, de me faire vacciner pour éviter les risques dans le train." . Autrement dit: vous n'avez rien compris aux raisons de la vaccination ( votre santé, on s'en fout, ça vous regarde !); et sur votre appréciation élogieuse du billet anti-vaccins complètement délirant de Seb Musset (que j"aime bien en général
SupprimerVous feriez mieux d'exercer votre pulsion pathologico-castatrice et juan sarkofranciste de censures sur les conneries de vos billets que sur mes commentaires, ça relèverait sacrément le niveau de votre blog.
J'ai publié pour montrer. Tu expliques qu'écrire que je serais obligé de me faire vacciner veut dire que je refusais de me faire vacciner. C'est de la folie...
SupprimerC'est pour ça que je ne veux pas discuter avec toi : tu ne comprends rien et tu déformes tout. C'est impossible de discuter : tu es vraiment trop con, je suis absolument désolé.
Le niveau de mon blog sera remonté quand des crevures comme toi arrêterez de me cassez les couilles et la blogosphère en général ne s'en portera pas plus mal quand tu arrêteras d'avoir pour seul argument que tu es plus intelligent que les autres. Tout le monde a compris les raisons de la vaccination et la polio n'a pas disparu en buvant des bières. Mais tu es persuadé être le seul à savoir...
C'est intéressant votre question relative à la police de la santé, j'avoue je n'y avais pas songé et ça fait écho à une vidéo que je suis en train de visionner.
RépondreSupprimerJ'aurais aimé écrire ton billet. Rien à redire, à commenter, à rajouter.
RépondreSupprimerAprès nos situations sont différentes. Mais sur le fond...
J'avoue que même si je partage beaucoup de choses sur mes réseaux (et tu es sur les personnels et amicaux), certaines choses, comme la santé ou autre, je n'ai pas envie de partager.
Le côté "hashtag je suis vacciné" ça m'interroge.
J'aurais aimé écrire ton billet. J'ai rien de plus à dire.
Merci !
SupprimerElie, sois raisonnable : ça fait bientôt 5 ans que je te demande de ne plus fréquenter mon blog car tu me casses les couilles. Alors ne viens pas t'offusquer de mes propos à ton encontre. Ton cas relève de la psychiatrie.
RépondreSupprimerA cause de deux connards dont toi, je suis obligé de fermer les commentaires de mon blog pour que je puisse avoir la paix, pour que ce blog soit "mon espace personnel". Tu donnes des leçons à tout le monde mais tu es un des pires néfastes que je connaisse. Un des pires cons.
Elie,
RépondreSupprimerReste calme. Tes commentaires ne m'apprennent rien : je ne les lis que parfois, et en diagonale, pour chercher des perles.
Par ailleurs, mes commentaires ne sont plus jamais avinés vu que je n'ai pas pris une cuite depuis le premier confinement.
Je ne censure pas les commentaires : je publie dans mon espace personnel ce que j'ai envie de publier.
Quant à l'image de mon comportement ? Tu devrais y réfléchir toi même