Je n’ai pas grand-chose à dire sur la nomination d’Elisabeth
Borne comme premier ministre. On peut se féliciter qu’il s’agisse d’une femme
mais je ne vois pas en quoi ça la rendrait plus ou moins compétente. Donc, il n’y
a pas à se féliciter mais on peut ou doit déplorer, pour faire plaisir aux
copines féministes, que les femmes soient si rares à ce poste.
L’intérêt avec elle, c’est qu’on peut faire un tas de jeux
de mot avec son nom de famille. L’intérêt ou pas. C’est dramatique : les résossocioteurs
ont tenté de battre des records d’inventivité, hier, mais tout ce qu’on peut
constater est le déclin de l’humour. C’est bien triste. Les plaisanteries
étaient d’une nullité sans borne.
Il y a quelques réactions politiques mais uniquement du
genre « ah ben elle est de gauche » ou « ah ben elle est bien à
droite ». Le tout était évidemment ridicule tant on s’en fout, aujourd’hui !
Les gens de gauche, en particulier, sont réellement déments : ils
espéraient que Macron allaient nommer un premier ministre de gauche pour leur
faire plaisir.
Toutes ces mélenchonneries commencent à bien faire. Il faut que
ça cesse. La gauche a perdu les élections. Elle perdra les prochaines. Et une
raison de ces pertes est la nullité de ses acteurs incapables de penser autrement.
Pour ma part, je lui souhaite un bon courage et une réussite.
Cela ne m’empêche pas de penser que je ne serai probablement pas d’accord avec
les mesures que prendra son gouvernement mais il est temps que l’on nous foute
la paix.
J'avais demandé à Macron de nommer une jeune femme bien en chair mais il ne m'écoute jamais.
N.B. : vous m'excuserez de faire plusieurs billets ce matin mais, d'une part, l'actualité est assez riche et, d'autre part, j'ai oublié de diffusé mon billet d'hier (le troisième que je ferai ce matin).
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