J'ai alors consulté, un peu par défaut, le programme détaillé de la Fête de l'Huma : il n'est plus question que j'y participe.
En politique, l'important, c'est d'être d'accord avec le patron de bistro d'autant que son métier consiste essentiellement à taire ses désaccords avec les clients.
14 septembre 2024
La fête de l'Huma sera toujours sans moi
12 septembre 2024
Jeter l'éponge ?
Avec mon hospitalisation (pour une opération lourde), j’ai
un peu l’impression que le temps s’est arrêté. D’une part, je suis très fatigué.
C’est vraiment surprenant (mais si évident, pensez donc, se faire scier les
côtes…). D’autre part, je passe la moitié de mon temps à dormir et l’autre
moitié à gueuler parce que je ne dors pas. Mais je ne suis pas ici pour
raconter mes problèmes, j’ai un autre blog pour cela. C’est bien de la
situation politique dont je veux causer et des espèces de guignols qui tentent
de faire un gouvernement qui, quoi qu’il arrive, sera contraire aux attentes de
la population qui a voté à l’extrême droite ou à gauche, majoritairement (mais
sans majorité absolue).
Ainsi, tous les analystes à la petite semaine disais ce que
je craignais : voir le camp présidentiel prospérer et dire « gnagnagna
c’est la faute au RN » si un gouvernement est possible « gnagnagna c’est
donc la faute à Macron).
Pour ma part, je me fous de ce genre de polémique même si ça
permet de remplir des pages de blogs. Barnier va lancer un gouvernement contre le
peu. La gauche a toute légitimité pour le censurer. Ca je ne crois pas l’avoir
déjà dit. Il y a eu un changement : les députés hors PS (dont Hollande)
ont dit « basta ! On censure ». J’avais espéré qu’on ne viendrait
pas là. Que Barnier finirait par trouver un vice premier ministre bien à
gauche. Il a échoué. Tant pis. Il aura été le plus vieux premier ministre.
S’il ne merde pas trop, il pourrait bien devenir le plus
éphémère…
Mes confrères, blogueurs politiques sérieux, semblent désespéré. Je leur conseille un bonne vieille opération de l'aorte. Mais ça fait mal.
10 septembre 2024
L'abbé Pierre de la Mémère
Je suis désolé, il ne fallait arrêter, sans cesse, de nous
tomber dessus pendant des années…
Vous savez ce qu’il y avait sur France 3, hier soir ?
Non ? Les compères, excellent film avec Gérard Depardieu que le directeur
des programmes nous avait pourtant juré qu’on ne le verrait plus sur nos
antennes publiques.
Vous êtes des guignols, des malséants. J’en passe.
Cela ne réhabilité pas l’icone Depardieu, pourtant. Mais, maintenant,
tombez donc sur le poil des gens qui ont eu besoin, pour se sortir de la merde,
des services de l’association Abbé Pierre.
Et quand c’est un curé qui tombe, on doit aussi rigoler. Icone ou pas. Sans compter qu'on lui doit un immense respect vu l'âge dont au sujet duquel il bandait encore.
N’
05 septembre 2024
Le Barnier au comptoir neuneu
Emmanuel Macron a fini par nommer Michel Barnier Premier
Ministre. On passe du plus jeune de la Cinquième au plus vieux… Nous avons
notre Jo Biden !
Les commentaires vont bon train dans les réseaux sociaux :
je ne vais donc pas en faire une tartine mais me limiter à quelques points dans
la mesure où je serai loin des réseaux sociaux jusqu’à ce que je sorte de réanimation…
Alors deux choses, seulement.
Pour la première, je vais commencer par citer le nombre de
députés du parti de « droite de gouvernement » (l’UMP, LR et,
maintenant, le groupe Droite Républicaine ») à chaque législative
(scrutins nationaux) depuis 2002 : 356, 314, 185, 95, 59, 41… Je ne vois
pas ce qui a pu passer par la tête de Macron pour filer les clés du
gouvernement à un parti qui connait une telle débandade ! Je ne vais pas
crier à l’atteinte à la démocratie et tout ça, comme mes copains de gauche. N’empêche
que s’il avait fallu montrer aux électeurs à quel point il se fout de leurs
choix, Macron n’aurait pas pu trouver mieux.
Vous me direz qu’il n’avait peut-être pas le choix. Je vais
y revenir.
Pour la deuxième, mes confrères de gauche continuent à
sortir différents arguments du genre, c’est bien la peine d’avoir fait le front
républicain si c’est le RN qui finit par choisir le Premier ministre. Au fond, ce
n’est pas faux mais si la gauche n’avait pas promis de censurer tout
gouvernement qui ne serait pas dirigé par Lucie Castets, y compris un
gouvernement qui le serait par un type de gauche, Bernard Cazeneuve, donc,
Macron n’aurait pas été obligé de s’allier avec le diable.
Evidemment, des confères pensant comme moi leur envoie cet
argument dans la gueule mais ils continuent à jouer aux abrutis comme cette
illustre chouineuse de Twitter qui a sorti : « Ce qui me fait
sourire ? Les pleurnicheurs de gauche en mode ouin ouin «Ah , si on avait laisse #Cazeneuve » ou «Ah si vous nous aviez
écouté vu qu’on sait plus mieux bien que vous tous » , dédouanant ainsi #Macron
de toute responsabilité dans cette mascarade pitoyable et ces clés laissées au #RN
. Parfois , j’ai un peu honte de cette gauche mais … je m’accroche hein ?! »
Elle mérite clairement qu’on se foute de sa gueule. La
vérité est que le peuple de gauche a honte de ces élites politiques de gauche
qui se sont imaginé gagner les élections et pouvoir gouverner avec 30% des
voix.
« On sait mieux que vous tous ». Oui. On dit que
vous allez dans le mur depuis au moins 2017. Et vous y amenez toutes la gauche
avec vous. « On sait mieux que vous tous ». Oui. Les résultats des
élections le montrent et la pantalonnade d’aujourd’hui le prouve.
Allez donc chier.
04 septembre 2024
Le jour d'après ?
Je vais tenter de vous remonter le moral. On va laisser une semaine ou deux passer après la nomination du nouveau premier ministre pour permettre cette des ministres, leur installation, la désignation chefs de cabinets et on aura oublié le psychodrame estival qui, au fond, ne mériterait même pas de générer un film burlesque…
On ne connait pas « le nom » et on ne peut donc prévoir
plus. « Le nom » en question va sans doute tenter de faire un projet
et de le présenter au cours d’un discours de politique générale ou un truc
comme ça, de manière à présenter ce qu’il veut faire par la suite pour
satisfaire tout le monde et éviter une censure.
On déduira de la période que Macron a probablement fait une
connerie. Edouard Philippe a annoncé sa candidature à la prochaine présidentielle.
C’est un peu comme s’il annonçait quitter le camp Macron mais, au fond, quoi de
neuf ? Macron ne pourra pas se présenter : la candidature de Philippe
est un peu évidente. En coupant l’herbe sous le pied de tous les zozos qui n’ont
pas un parti à leur botte, il vient de dézinguer l’idée d’une primaire à
droite, Bertrand est torpillé, Wauquiez est seul et je ne sais pas quelle
ânerie supplémentaire je pourrais sortir.
Plein d’enseignements sont à notre disposition pour pondre
des tartines dans les réseaux sociaux. Prenez les partis du NFP prêts à donner
un budget de plus de cinquante mille boulles par mois pour maintenir une structure
avec une candidate à rien mais néanmoins putatives. Tant pis pour le travail des
militants et tout ce qu’on pourrait attendre avant de prochaines élections
nationales. Les enragés vont pouvoir hurler et dire « de toute manière, on
a notre candidate ».
Macron n’est pas le seul à avoir fait une connerie,
visiblement.
Marine Le Pen a annoncé, je crois, qu’elle est prête à censurer
tous les gouvernements… Est-ce une connerie. Je ne sais pas.
Mais les autres partis doivent redescendre, remettre les
pieds sur terre. Au second tour de la législative, ils ont fait un célèbre
barrage au nom du Front Républicain mais s’ils déposent une motion de censure,
maintenant, elle sera votée par les députés du RN et, logiquement, devrait
passer.
Vous êtes nuls. Vous vous dites, à juste titre, que c’est Macron qui a foutu
la merde mais ne l’avez-vous pas un peu aidé ? Au fond, dans son discours
après les élections, il cherchait à bâtir une majorité pour éviter le chaos et
vous avez tout fait pour favoriser le bordel.
03 septembre 2024
Dès tôt c'était plus Beaudet ?
Ce matin, je voulais faire un billet de blog au sujet de l’alors
probable futur premier ministre, Thierry Beaudet, mais l’infirmière est arrivée
avec l’insuffisant plateau repas et j’ai du remiser mon ordinateur. De fil en aiguille
de piqûre d’anticoagulant, j’ai complètement oublié la politique (ce qui est
très rare, chez moi). Je reprends mon PC à midi moins dix (je suppose que le
repas va arriver et que je vais abandonner) et me rends compte que M. Beaudet
est oublié et que, ce matin, Didier Migaud (que j’ai bien mais je ne sais plus
pourquoi) et Xavier Bertrand étaient à nouveau favoris.
C’est un peu le bordel mais, au moins, avec Macron, le
blogueur n’a qu’à ouvrir Google News pour trouver un nouveau sujet de conneries
à dégoiser…
En fait, ce matin, je ne voulais pas parler de M. Beaudet
que je ne connais pas du tout à part que c’est loin d’être un âne mais je
voulais revenir sur mon billet d’hier et la vantardise qu’il comprenait. En
effet, depuis plusieurs semaines, maintenant, je dis que Macron devrait nommer
à Matignon une personnalité de centre gauche, expérimentée, qui ne soit pas
connotée « Nouveau Front Populaire ». Bernard Cazeneuve rentrait
évidemment dans les clous alors. Hier, je jubilais un peu en début d’après-midi,
vu qu’il était donné favori. Patatras ! M. Beaudet est arrivé.
A ma décharge, j’ai toujours dit qu’Emmanuel Macron devrait
nommer Bernard Cazeneuve ou quelqu’un avec un CV proche, je n’ai jamais dit qu’il
le ferait… Ce blog s’appelle « partageons mon avis » et non pas « partageons
mes prédictions », hein !
Je voulais tout de même dire quelque chose à propos de M.
Beaudet ou, du moins, de son profil, c’est qu’Emmanuel Macron faisait une
double erreur en le nommant. D’une part, comme il est inconnu, loin des partis
et de la vie politique, Macron paraitrait rester le chef et vouloir tout
maitriser. C’est tout de même contraire à ce qu’ont exprimé les électeurs
(attention, je ne braille pas sur le fait que c’est anticonstitutionnel ou antidémocratique,
le Président fait bien ce qu’il veut) et il sera en première ligne pendant
trois ans (si ça tient…). Si j’avais été président en dernier mandat, pas bien
aimé des citoyens, j’aurais nommé une personnalité forte pour rester peinard,
faire des bouffes à l’Elysée, aller faire le guignol chez nos voisins, inaugurer
des chrysanthème ou jouer au père de la nation pendant quelques cérémonies
officiells…
D’autre part, M. Beaudet risque de n’avoir aucun répit :
s’il fait un discours de politique générale, il devra subir une motion de
censure dans la foulée. Elle ne passerait sans doute pas mais la seconde serait
fatale ! Or, il me semble que c’est exactement ce qu’il faudrait éviter
pour éviter le sentiment de gros bordel déjà bien alimenté par les clowns de
LFI qui ne se rendent même pas compte qu’ils perdent toute crédibilité auprès
des gens normaux.
Notons tout de même que les andouilles gauchistes se réjouissaient un peu de la probable nomination d'un inconnu proche du président vu que ça évitait celle d'un type de gauche qu'ils n'aiment pas. Ils sont de même un peu siphonnés, non ?
Finalement, je n’ai pas été interrompu par l’arrivée du plateau repas mais par une kiné, fort charmante, qui m’a appris à respirer. J’avais vécu 58 ans sans savoir… Ensuite, une infirmière s'est pointée pour "les gaz du sang". J'aime moins...
Sûrement à très bientôt...
02 septembre 2024
Le changement (de PM et de logique militante), c'est maintenant !
On peut logiquement imaginer qu’Emmanuel Macron nommera un premier
ministre dans les prochains jours mais je crois bien que je pourrais commencer
mes billets de blog par cette phrase depuis un bon mois et demi. Je ne suis pas
un farouche adepte de la précipitation et j’ai même écrit ici qu’il était
normal qu’on laisse passer les JO « normaux » voire le mois d’août
mais je crois bien qu’on est en septembre, tout de même… On va finir par donner raison à ceux qui
estiment qu’il abuse ! La dernière que j’ai entendue : il va attendre
mardi soir pour laisser passer la rentrée des classes. Comme si ça pouvait
intéresser nos chères têtes blondes.
Je vais tout de même
essayer de terminer ce billet avant 8 heures pour être à peu près sûr de « coller »
à l’actualité.
Le prochain premier ministre pourrait bien être Bernard
Cazeneuve. Il parait qu’il va être reçu à l’Elysée aujourd’hui.
En plus, Ségolène
Royal lui chie dessus ce qui est de très bon augure. Il parait que François
Hollande et Nicolas Sarkozy vont être reçus également. J’espère que ce ne sont
pas des entretiens d’embauche.
Je souhaite que Nanard soit nommé mais surtout, voire uniquement, pour pouvoir dire que j’avais eu raison… Je n’en tire aucune gloriole mais je suis fatigué des erreurs d’analyses de congénères. Je ne tirerai pas beaucoup de gloriole de la nomination du lascar : j’admets que, si je suis assez bon pour dire à mes camarades ce qu’il ne faut pas faire et aux autres ce qu’ils devraient faire, je ne dis à peu près jamais ce que la gauche devrait faire pour gagner. La raison est simple : je n’en sais rien.
Mais encore faut-il le reconnaitre.
Par contre, j’aimerais bien avoir eu raison pour pouvoir
dire « ah ben les gars, il m’arrive d’avoir raison, écoutez donc ce que j’ai
à dire. »
Prenez Olivier Faure. Il a déclaré (samedi, je crois) qu’il
fallait organiser des primaires ouvertes à toute la gauche pour désigner un
candidat unique pour la présidentielle de 2027. Il n’a toujours pas compris que
l’unité n’est pas l’unicité. Cela pourrait fonctionner si le candidat élu par
les militants était suffisamment au centre pour aller chercher des voix de tous
les bords mais s’il est au centre, les types de la gauche de la gauche iraient
chercher ailleurs.
La dernière fois où il y a eu une espèce de candidature
unique, c’était en 2007 (j’abuse un peu mais les candidats de gauche autre que
celui du PS étaient vraiment anecdotiques). Bilan des courses : Ségolène
Royal fait un très bon score au premier tour (meilleur que celui de Mitterrand
en 1981, de Jospin en 1995… et en 2002) mais s’est retrouvée sans « réserve
de voix » pour le second.
Il faut donc que ces andouilles du PS arrêtent de croire au
mythe de l’unité. Avant de gagner, Mitterrand avait envoyé chier les
communistes…
Ils sont terribles, nos militants de gauche. Il faut voir
les âneries qu’ils peuvent dire. Tenez ! Au sujet de Cazeneuve (je vous
laisse chercher). En fait, ils veulent l’unité mais uniquement à leur condition :
le premier ministre doit être Lucie Castets. Ils ne viennent même plus s’interroger
de la légitimité de celle-ci. Leur seul argument est « ça doit être elle ».
On va leur rappeler le temps qu’ils ont mis à la trouver… Et que c’est archétype
de ce qu’il faut éviter : la bobo parisienne… Lesbienne, directrice
financière à la mairie de Paris. Et ça voudrait représenter le peuple…
On m’accusera « d’haïr ». Ce n’est pas vrai, j’ai
même dit du bien de la dame. L’ami Denis, lui, jure ne pas haïr Cazeneuve mais
a tout de même fait un billet à charge. Parmi ses arguments, il y a le fait que
Cazeneuve n’ait pas soutenu Ségolène Royal (on y revient…) en 2006 et 2007.
Forcément, il soutenait un autre candidat à la primaire, Laurent Fabius. En gros, Cazeneuve, en 2006, estimait que
Royal ne pouvait pas gagner en 2007, contrairement à Fabius et à DSK.
Objectivement, près de 20 ans après, qui pourrait lui donner tort ? Royal
pouvait-elle gagner ? La réponse est : « non ». En
conséquence, les militants ont-ils eu raison de la nommer candidate ? La
réponse est : « non ».
Il n’y a, à mon avis, aucun sujet de discussion autour de cela.
Ce n’est pas la peine d’accuser les socialistes de ne pas avoir soutenu la
dame. Même avec le plus fort des soutiens, elle ne pouvait pas gagner.
On dit qu’il faut prendre du recul. Chiche. Mathilde Panot a
déclaré très récemment : « une des choses
qui a fait le plus de mal à la gauche ces dernières années, c'est le
quinquennat de François Hollande. » On peut disserter pendant des heures,
comme au sujet de Ségolène Royal, mais la seule vérité est que la gauche perd
tout depuis qu’une grande partie de ses cadres a tourné le dos à François Hollande.
On peut s’interroger sur ces raisons et être parfaitement d’accord
avec toutes ces andouilles mais les faits sont là. Et 12 ans après la dernière victoire
de la gauche aux élections nationales, entraînée par un François Hollande qui
avait gagné des primaires sur la base d’un projet somme toute un tantinet « social
libéral », la gauche, ou, du moins, les espèces de débiles qui restent à
la diriger, sont en train de tenter d’avoir le pouvoir via l’exigence de la
nomination d’une première ministre, qui n’existait pas dans l’arène politique
au moment des élections et alors que la gauche est très loin d’avoir une
majorité absolue.
L’enjeu n’est plus d’appliquer le programme du NFP mais d’assurer
la stabilité de nos institutions. Les partis politiques doivent se montrer
adulte. Si l’on considère normal l’exclusion du RN de l’arc républicain (et on
ne peut ne pas le faire), le centre de gravité de l’Assemblée nationale se
trouve au centre gauche. La nomination de Cazeneuve a un sens.
Mais il ne s’agit pas de préparer, pour un parti, la
prochaine échéance électorale, celle qui aura lieu, il faut l’espérer en 2017.
D’ailleurs, aucun premier ministre sortant n’a réussi à gagner les élections
présidentielles…
Par ailleurs, j’ai d’autres espoirs que celui de miser sur l’arrivée
du RN au second tour pour permettre l’élection de mon candidat voire pour considérer
l’élection d’un autre comme un moindre mal.
Les partis politiques traditionnels doivent prendre leurs
responsabilités et montrer qu’ils sont capables de diriger le pays autrement qu’il
y a vingt ans, loin d’un duel entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal.
Les partis de gauche doivent grandir et déclarer qu’ils
acceptent de ne pas censurer par principe un gouvernement dirigé par Bernard
Cazeneuve.
Mathilde Panot a fait le contraire. Elle est nulle. Et le
fait que les militants croient en ses erreurs d’analyse et à celles des autres fous
furieux qui ne pensent qu’à exister par le bruit poussent la gauche à pourrir
dans la fosse septique.
L’Histoire, si elle gardera des souvenirs de cette période,
ce dont on peut vraiment douter, les rendra ridicules…